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LIBAN, FIL-INFO-LIBAN
©, 2007, ARCHIVES, JUILLET 2007
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- Mardi
3 juillet 2007 : La société publique
d'électricité "Electricité du Liban"
(EDL) a démenti lundi 2 juillet 2007 les rumeurs
selon lesquelles "une rupture de stock en
mazout soit à lorigine du rationnement que
subissent actuellement ses clients".
Plusieurs régions subiraient jusqu'à 12 heures
de coupures de courant. Selon EDL, ces coupures
seraient dû aux fortes chaleurs qui ont
provoqué un augmentation par 4 de la
consommation électrique du fait de l'utilisation
de climatiseurs. EDL a également dénoncé des
branchements illégaux sur les câbles publiques
provoquant une pression supplémentaire. **
Dans le cadre de l'enquête sur
l'assassinat de lancien premier ministre
Rafic Hariri le 14 février 2005, dans un
attentat à la voiture piégée à Beyrouth qui
avait fait 22 autres victimes, lancien
responsable de la sûreté générale, le
général Jamil Sayyed, a une nouvelle fois
accusé le procureur de la République Saïd
Mirza et le juge dinvestigation Elias Eid
"de transformer le système politique en
instrument de détentions" et a dénoncé
"les pressions politiques exercées sur les
magistrats libanais". Jamil
Sayyed s'est déclaré surpris dêtre
toujours en détention après que la commission
denquête internationale ait déclaré à 5
reprises que larrestation des 4 généraux
était de la responsabilité des autorités
judiciaires libanaises et que "le devoir de
Mirza et dEïd est détablir la
justice et de ne pas être sujet à toute
influence politique". Arrêtés le 30 août
2005, Jamil Sayyed, ancien chef de la sécurité
publique, Ali Haj, ancien directeur général des
forces de sécurité intérieure, Raymond Azzar,
ancien directeur général du renseignement
militaire, et Mustafa Hamdan, commandant de la
Garde présidentielle, avaient été inculpés
jeudi 1er septembre 2005 de "eurtre par
préméditation, tentative de meurtre par
préméditation, perpétration dactes
terroristes et possession darmes et
dexplosifs". NDLR. Par
l'intermédiaire de son avocat, lancien
responsable de la sûreté générale, le
général Jamil Sayyed, avait accusé, le 21 mars
2005, lancien responsable de la commission
denquête internationale, Detlev Mehlis,
davoir fabriqué de fausses preuves pour
prouver limplication de lancien
responsable de la sûreté générale dans ce
crime. Son avocat avait indiqué avoir envoyé
une lettre au Secrétaire général de l'ONU, Ban
Ki-Moon, selon laquelle son client serait un
prisonnier politique en raison dune
application erronée de la résolution 1559 (2004) du Conseil
de Sécurité de l'ONU. Il déclarait également
que le procureur de la République Saïd Mirza et
le juge dinstruction Elias Eid ont été
victimes de pressions politiques au sujet de
lenquête sur lassassinat de
lancien premier ministre libanais, Rafic
Hariri, pour le garder en prison. Il note
également que dans son dernier rapport, le juge
belge Serge Brammetz, dirigeant actuellement la
commission denquête dans laffaire
Rafic Hariri, na pas fait état de
limplication de son client dans
lenquête en cours. Source : Libnanews. Plus de
détails : Le premier rapport de la Commission
Detlev Mehlis sur lassassinat de Rafic
Hariri en date du 20 octobre 2005
Vendredi 6 juillet 2007 : L'armée a
procédé à de nouveaux bombardements du camp de
réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared dans le
nord du pays "à présent détruit à près
de 80 %" selon un responsable du Front
populaire de libération de la Palestine (FPLP),
Samir al-Libbani, et où sont retranchés depuis
le 20 mai 2007 des combattants du mouvement Fatah
Al-Islam. Plusieurs centaines de réfugiés
palestiniens sont menacés d'une pénurie d'eau
et de vivres.
Mardi 10 juillet 2007 : L'armée a
bombardé lundi 9 juillet 2007 par 2 fois le camp
de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared, dans
le nord du Liban, où sont retranchés depuis le
20 mai 2007 des combattants du Fatah al-Islam.
Près de 400 réfugiés sur les 40 000 qui
habitaient le camp sont restés vivant dans des
conditions misérables du fait du manque d'eau et
de vivres.
Mercredi 11 juillet 2007 : Le
secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a publié
mardi 10 juillet 2007 son quatrième rapport sur
l'application de la résolution 1701 (2006) du Conseil
de sécurité de l'ONU qui avait
mis fin provisoirement au conflit entre le
Hezbollah et Israël. Le document souligne les
tensions actuelles dans le pays et le trafic
d'armes, jugé préoccupant. et regrette qu'alors
"que nous approchons de la date marquant le
début des hostilités en 2006, il y a presque un
an, que nous ne soyons pas parvenus à établir
un cessez-le-feu permanent entre Israël et le
Liban". Il déplore "qu'aucun autre
progrès n'ait été fait vers la libération des
soldats israéliens enlevés, ni sur d'autres
questions telles que les violations de l'espace
aérien libanais par Israël". Ban Ki-Moon a
également appelé "le Liban, Israël et les
Etats jouant un rôle clef, la République arabe
syrienne et la République islamique d'Iran,
ainsi que la communauté internationale, pour
qu'ils contribuent à la mise en oeuvre de tous
les aspects de la résolution 1701". Le
secrétaire général de l'ONU s'est dit
consterné "qu'Israël n'ait toujours pas
fourni de renseignements détaillés sur
l'emplacement, la quantité et le type de bombes à sous-munitions utilisées
pendant le conflit qui a éclaté au cours du
deuxième trimestre de 2006", indiquant que
"la communication à la FINUL d'informations
à ce sujet serait très utile pour le Centre de
coordination de l'action antimines des Nations
Unies qui s'efforce de neutraliser les bombes à
sous-munitions non explosées, dont le nombre est
estimé à 1 million". Lire notre édition du 31 août
2006. Ban Ki-Moon précise : "En
dépit des progrès accomplis par les Forces
armées libanaises, les organismes des Nations
Unies et les équipes financées sur une base
bilatérale, il faudra attendre jusqu'en 2008
pour décontaminer les 36,6 millions de mètres
carrés sur lesquels sont disséminées des
bombes à sous-munitions" et souligne que
"ce type de bombe continue de tuer et de
blesser des personnes parmi la population civile
libanaise, sans parler des pertes enregistrées
dans la production agricole dans les régions
touchées, ce qui ne fait qu'exacerber
l'antagonisme de la population locale à l'égard
d'Israël". La guerre lancée par Israël
contre le Sud Liban du 12 juillet au 14 août
2006 a causé la mort de 1 000 Libanais et en a
blessé plus de 3 500 autres. 900 000 Libanais
ont été déplacés, dont 220 000 ont quitté le
pays.
Jeudi 12 juillet 2007 : Plusieurs
dizaines de réfugiés palestiniens accompagnés
de 150 combattants de lOrganisation de
Libération de la Palestine (OLP) ont quitté le
camp de réfugiés palestiniens de Nahr al-Bared
mercredi 11 juillet 2007 alors que l'armée
libanaise poursuivait ses bombardements sur le
camp. Selon une source palestinienne, cette
évacuation pourrait laisser présager une
intervention de l'armée contre les islamistes du
Fatah al-Islam, retranchés à Nahr al-Bared. Ce
mouvement sunnite, qui reconnaît des liens
idéologiques avec Al-Qaïda, est accusé par les
autorités libanaises dêtre un outil des
services de renseignement syriens pour tenter de
déstabiliser le Liban.
Vendredi 13 juillet 2007 : Le Fonds
des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) a
indiqué jeudi 12 juillet 2007 dans un
communiqué "qu'un an après le conflit de
2006 le Liban est en reconstruction mais chez les
enfants, les séquelles émotionnelles
subsistent, une constante instabilité rend le
rétablissement plus difficile et les menaces à
la sécurité - notamment les attentats à la
bombe et la crise dans les camps de réfugiés
palestiniens dans le nord du pays. D'après les
statistiques du Gouvernement du Liban, la guerre
allait faire plus de 1 100 morts, plus de 4 000
blessés, et obliger 900 000 personnes à fuir
leurs foyers dans le sud du pays. On estime qu'un
tiers des personnes touchées par le conflit
étaient des enfants. L'UNICEF juge important de
rappeler que "les enfants souffrent des
séquelles invisibles de la guerre. Le
rétablissement émotionnel prend bien plus de
temps que la reconstruction d'un pont et, dans un
pays en situation de crises chroniques, ce
processus va prendre du temps. Des milliers
d'enfants ont été affectés par la crise et
l'UNICEF, en partenariat avec la Croix-Rouge
libanaise, est rapidement intervenu pour aider
les familles piégées dans le sud du pays ainsi
que celles qui avaient réussi à fuir leurs
villages. La priorité était de garder les
enfants en bonne santé, en leur donnant de l'eau
potable, des trousses sanitaires et d'hygiène et
des médicaments pédiatriques essentiels et en
assurant leur vaccination contre la rougeole et
la polio". ONU/FERMES DE CHEBAA : L'ONU a transmis
à Israël les conclusions de ses cartographes
qui certifient que les fermes de Chebaa,
contrairement à la thèse qu'elle soutenait
auparavant, étaient bien libanaises. D'après le
quotidien Haaretz, lONU aurait proposé à
Israël de transformer le secteur en zone
internationale, sous contrôle de la FINUL, une
proposition rejetée par le premier ministre Ehud
Olmert et la ministre des Affaires étrangères,
Tzipi Livni. Israël occupe les Fermes de Chebaa
depuis la guerre israélo-arabe de 1967 et
soutient qu'il s'agit d'un territoire syrien, qui
ne pourrait être restitué que dans le cadre
d'un éventuel règlement de la question du
Golan. Israël occupe ce secteur de 25 km2 depuis
la guerre d'octobre 1973 durant laquelle l'Etat
hébreu a conquis puis annexé le plateau syrien
du Golan.
Samedi 14 juillet 2007 : A
l'occasion du premier anniversaire de la guerre
déclenchée par Israël au Liban sud, le 12
juillet 2007, l'organisation de défense des
droits de l'homme, Amnesty
International, a rendu public, jeudi 12
juillet 2007, un rapport qui condamne l'absence
complète de toute mesure dans les deux pays
concernés, ou à l'échelle internationale, pour
poursuivre les responsables de crimes de guerre
et autres graves violations des droits humains
commises lors du conflit, de 34 jours, du 12
juillet au 14 août 2006. Amnesty International
appelle l'ONU "à établir une enquête
exhaustive, impartiale et indépendante, dotée
du pouvoir d'enquêter sur les éléments
attestant de violations du droit international
par le Hezbollah et Israël, en prenant des
dispositions pour octroyer des réparations aux
victimes. Cependant, la communauté
internationale n'a pas montré la volonté
politique de prendre les mesures nécessaires
pour ouvrir cette enquête". L'ONG poursuit
: "En Israël, l'enquête sur le
comportement des forces israéliennes pendant la
guerre s'est limitée à la stratégie militaire,
sans se pencher sur les violations du droit
international humanitaire, notamment les crimes
de guerre commis par les forces israéliennes, ni
établir un mécanisme pour traduire en justice
les responsables de ces violations. Au Liban,
aucune enquête officielle n'a été menée. Une
enquête lancée par le Conseil des droits de
l'homme des Nations Unies n'a reçu qu'un mandat
unilatéral, portant sur les seules violences
commises par les forces israéliennes".
Selon Amnesty, plus de 1 000 civils ont été
tués lors de cette guerre. Depuis la fin des
combats, 24 autres personnes ont péri au
Sud-Liban dans des explosions dues aux munitions à fragmentation. Amnesty
exige d'Israël qu'il fournisse les cartes des
zones visées par les bombes à fragmentation au
Sud-Liban, et du Hezbollah qu'il donne des
informations sur les 2 soldats israéliens dont
la capture avait déclenché la guerre.
Répondant à ces critiques, le porte-parole du
ministère israélien des Affaires étrangères,
Mark Regev, a assuré que "le système
judiciaire israélien est indépendant,
professionnel et transparent". **
L'armée a bombardé de nouveau
vendredi 13 juillet 2007 le camp de réfugiés
palestiniens de Nahr Al-Bared, dans le nord du
Liban, où de violents échanges de tirs l'ont
opposée à des combattants du Fatah al-Islam,
retranchés dans ce camp depuis le 20 mai 2007.
11 soldats libanais ont été tués au cours de
ces 2 jours de combats. Le camp, qui regroupait
près de 40 000 réfugiés palestiniens, a été
détruit à plus de 80 %. Selon des personnes
évacuées, il resterait encore une centaine de
civils à l'intérieur du camp.
Lundi 16 juillet 2007 : Pour la
première fois depuis le début des affrontements
entre des combattants du mouvement Fatah
al-Islam, retranchés depuis le 20 mai 2007 dans
le camp de réfugiés palestiniens de Nahr al
Bared, les troupes de larmée libanaise
sont entrés dans le camp, dimanche 15 juillet
2007. En 1969, un accord a été conclu entre les
délégations libanaises et l'Organisation de
Libération de la Palestine (OLP) réunies au
Caire en Egypte, empêchant larmée
libanaise dentrer dans les camps
palestiniens. Au milieu des années 80, le
parlement libanais a abrogé les accords du
Caire. Ils restent appliqués par lEtat
libanais.
Mardi 17 juillet 2007 : L'armée
libanaise poursuit son avancée à l'intérieur
du camp de réfugiés palestiniens de Nahr
al-Bared où sont retranchés depuis le 20 mai
2007 des combattants du mouvement Fatah al-Islam.
4 soldats libanais ont été tués durant
l'assaut. ** Un engin a
explosé lundi 16 juillet 2007 au passage d'un
contingent tanzanien de la FINUL, Force
intérimaire des Nations Unies au Liban, dans la
localité de Kassmiyeh à proximité de Tyr au
Sud Liban, ne faisant aucune victime. Un
véhicule a été légèrement endommagé.
Vendredi 20 juillet 2007 : Larmée
libanaise poursuit son opération contre les
miliciens du Fatah al-Islam, dans le camp de
réfugiés palestiniens de Nahr-al-Bared. Selon
un porte-parole, les militaires traquent les
derniers résistants dans un carré de 300
mètres.
Lundi 23 juillet 2007: Les
offensives menées par l'armée pour tenter de
faire sortir les combattants du parti Fatah
al-Islam du camp de réfugiés palestinien de
Nahr al-Bared se sont poursuivis dimanche 22
juillet 2007. 3 soldats libanais ont été tués
et 5 autres blessés lors d'échanges de tirs.
Mardi 24 juillet 2007 : Dans une
interview diffusée par la chaîne satellitaire
qatariote Al Jazeera lundi 23
juillet 2007, le secrétaire général du
Hezbollah Hassan Nasrallah a annoncé que son
parti était capable de bombarder nimporte
quelle zone israélienne. Il a également
indiqué qu'il ne donnerait des informations sur
les 2 soldats israéliens enlevés le 12 juillet
2006 par le mouvement chiite libanais que dans le
cadre de négociations sur un échange de
prisonniers. ONU : Dans un courrier transmis
au premier ministre néerlandais, Jan Peter
Balkenende, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a
demandé aux Pays-Bas d'accueillir sur son sol le
tribunal international chargé de juger les
assassins présumés de l'ancien premier ministre
libanais Rafik Hariri. Dans un rapport
intermédiaire publié le 12 juillet 2007, Serge Brammertz, chef de
la Commission d'enquête internationale
indépendante sur les attentats commis au Liban,
avait indiqué que les enquêteurs de l'ONU avait
identifié plusieurs personnes impliquées dans
l'assassinat de Rafik Hariri.
Jeudi 26 juillet 2007 : L'armée a
repris le pilonnage mercredi 25 juillet 2007 du
camp de réfugiés palestiniens de Nahr Al-Bared
au nord Liban afin d'y déloger les derniers
bastions de résistance des combattants du Fatah
al-Islam retranchés dans le camp depuis le 20
mai 2007. ** Un soldat
français de la Force intérimaire des Nations
unies au Liban (FINUL), âgé de 39 ans, a été
tué mercredi 25 juillet 2007 dans une opération
de déminage dans la région de Naqoura dans le
sud du Liban.
Vendredi 27 juillet 2007 : Le ministre
français des Affaires étrangères et
européennes, Bernard Kouchner, effectuera une
visite au Liban du 27 au 29 juillet 2007, qui
fait suite à la rencontre entre les dirigeants
libanais et les chefs des 14 formations
politiques, dont le Hezbollah, pourtant qualifié
d'organisation terroriste par le président Nicolas Sarkozy, à La
Celle Saint-Cloud en région parisienne, les 14
et 15 juillet 2007. Bernard Kouchner sera reçu
par le premier ministre, Fouad Siniora, et
rencontrera les responsables des diverses forces
politiques libanaises, afin de poursuivre les
discussions engagées en France sur la reprise
d'un dialogue autour de l'échéance de la
prochaine élection présidentielle et de la
constitution éventuelle d'un gouvernement
d'union nationale. Il aura des contacts avec la
Force intérimaire des Nations unies au Liban
(FINUL) et rendra hommage au soldat français
membre de cette force tué le 25 juillet 2007. Il
achèvera sa visite par une conférence de
presse. Le ministre français se rendra ensuite
en Egypte au Caire pour des entretiens avec les
ministres égyptien et saoudien des Affaires
étrangères, Ahmed Aboul Gheit, et le prince
Saud al-Fayçal, ainsi qu'avec le Secrétaire
général de la Ligue arabe, Amr Moussa.
Samedi 28 juillet 2007 : Le porte
parole du Département dEtat américain,
Sean McCormack, a annoncé vendredi 27 juillet
2007 que le projet de construction dune
nouvelle ambassade américaine dans la région de
Baabda à proximité de la banlieue sud de
Beyrouth a été suspendu, indiquant que "le
nouvel emplacement serait une cible facile pour
le Hezbollah". 22 millions de dollars
avaient été débloqués pour financer ce projet
de déménagement vers un nouveau siège dans la
localité de Baabda. ** 2 soldats
libanais ont été tués dans la nuit de jeudi 26
à vendredi 27 juillet 2007 dans des combats avec
les combattants du Fatah al Islam, retranchés
dans le camp de réfugiés palestiniens de Nahr
al-Bared dans le nord du pays, portant à 122 le
nombre de soldats libanais tués depuis le début
des affrontements. 85 islamistes et 41 civils ont
été également tués lors de ces combats.
Lundi 30 juillet 2007 : Les combats
se poursuivaient dimanche 29 juillet 2007 dans le
camp de réfugiés palestiniens de Nahr Al-Bared
dans le nord du Liban entre l'armée et un groupe
de combattants du mouvement Fatah al-Islam,
retranchés dans le camp depuis le 20 mai 2007.
Un soldat libanais a été tué au cours de ces
combats.
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