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vendredi 6 mai 2011, france benjamin netanyahu recu par nicolas sarkozy pour denoncer la creation d un etat palestinien en septembre 2011



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Vendredi 6 mai 2011 :

Benjamin Netanyahu reçu par Nicolas Sarkozy pour dénoncer la création d'un Etat palestinien en septembre 2011FRANCE - ISRAEL - Benjamin Netanyahu reçu par Nicolas Sarkozy pour dénoncer la création d'un Etat palestinien en septembre 2011 : Alors que l'accord signé le mercredi 4 mai 2011 au Caire en Egypte entre le Fatah et Hamas regroupe désormais tous les membres de l'OLP (Organisation de libération de la Palestine), en vue de la reconnaissance par l'ONU en septembre 2011, d'un Etat palestinien, Benjamin Netanyahu, Premier Ministre d'Israël, a été reçu par Nicolas Sarkozy, président de la République. Jeudi 5 mai 2011 dans l'après midi, le CRIF, le Conseil représentatif des institutions juives de France, annonçait la présence du Benjamin Netanyahu au journal de 20 heures de la télévision privée TF1, première audience nationale de France. "Le coeur du conflit israélo-palestinien, ce n'est pas l'absence d'un Etat palestinien, c'est l'absence de reconnaissance d'un Etat juif (sic) par les Palestiniens", a déclaré Benjamin Netanyahu. "Mon ami Nicolas Sarkozy est tout à fait d'accord avec moi", a rappelé le Premier Ministre israélien qui s'est adressé aux Français en expliquant que l'Etat juif (sic) devait toujours faire face au terrorisme arabe, ajoutant : "Ils ont tué Daniel dans un bus scolaire". "Vous aussi, vous avez eu une tragédie en France", dit-il, "avec la petite "Camille" qui a été victime d'un attentat". "Ce sont des gens qui ne sont pas pour la paix", a insisté Benjamin Netanyahu. "La mentalité qui a tué Camille, c'est la même qui tue des enfants israéliens, c'est la mentalité du Hamas", a affirmé Benjamin Netanyahu devant des millions de téléspectateurs. (NDLR. Camille, âgée de 10 ans, a été tuée jeudi 28 avril 2011 lors de l'attentat de Marrakech, au Maroc. Nicolas Sarkozy a rendu un hommage mardi 3 mai 2011, dans l'après-midi, au pavillon d'honneur de l'aéroport d'Orly, aux 8 Français rapatriés victimes d'un attentat au café Argana à Marrakech au Maroc). "Les Nations Unies peuvent adopter 100 résolutions, 1000 résolutions, ce n'est pas cela qui engendre la paix. Ce qui engendre la paix, c'est lorsque vous avez 2 parties qui ont la volonté de mettre fin au conflit qui les opposent et qui sont prêts à définir des conditions de négociation", a martelé Benjamin Netanyahu. Interrogé par la présentatrice vedette de TF1, Laurence Ferrari, sur la question "cruciale", l'arrêt de la colonisation de la Palestine, demandé par les Palestiniens et la communauté internationale", Benjamin Netanyahu a répondu : "Nous avons fait un gel de la colonisation pendant 10 mois et cela n'a servi à rien". Poursuivant : "Je crois que les colonies, c'est l'un des problèmes, nous vivons sur la terre de nos ancêtres, nous y sommes depuis plus de 4 millénaires, ce n'est quand même pas bref comme période. Mais il y a un autre peuple qui vit là, nous le savons bien, et nous devrons trouver un arrangement pour qu'il y ait 2 Etats pour 2 peuples. Et le problème ce n'est pas celui des colonies, c'est un problème dérivé (sic). C'est un conflit qui existait depuis 50 ans avant le début de la première colonie. Quel est le coeur du problème ? (le Premier Ministre fait alors les questions et les réponses). Ce n'est pas l'absence d'un Etat palestinien. Nous acceptons qu'il y ait un Etat palestinien depuis qu'Israël a été créé. Plusieurs gouvernements ont accepté qu'il y ait un Etat palestinien. Mais les Palestiniens ont refusé de reconnaître l'Etat juif. (...) Le coeur du conflit c'est le refus d'accepter l'Etat juif dans quelques frontières que ce soit". "Est-ce que les palestinens vont reconnaître l'Etat juif d'Israël (sic) ?". En soirée, Benjamin Netanyahu a rencontré les représentants de la Communauté juive de France, dont le président du CRIF, Richard Prasquier, considéré comme le "ministre d'Israël en France". Enfin, l'AFP a confirmé que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rejeté à Paris tout "diktat de l'ONU" sur la reconnaissance d'un Etat palestinien et a assuré que Nicolas Sarkozy soutenait la revendication, essentielle pour lui, qu'Israël soit reconnu comme "l'Etat du peuple juif" (sic). Plus de détails : Nouvelle diplomatie arabe de la France : Placer Israël au coeur de l'Union pour la Méditerranée (UPM) débarrassée du colonel Kadhafi ; Nicolas Sarkozy le président français le plus pro-américain depuis la Seconde Guerre mondiale ; Les Juifs ne sont plus le peuple élu - Israël n'est pas la terre promise des Juifs ! ; Fil-info-France du jeudi 10 juillet 2008 ; Humiliation du monde arabe Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France




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