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Jeudi 7 janvier 2010 : Le président Viktor Iouchtchenko a déclaré mercredi 6 janvier 2010 à Kiev que le "gouvernement s'est montré incapable d'encaisser les obligations de Naftogaz" groupe pétrolier ukrainien, "si bien que le groupe n'a pas les 900 millions de dollars et même plus qu'il doit verser à la partie russe avant le 11 janvier 2010" pour les livraisons de gaz russe de décembre 2009. Le ministre de l'Energie, Iouri Prodan, a cependant affirmé que Kiev "réglerait à temps" la facture qui s'élève à 892 millions de dollars. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Jeudi 14 janvier 2010 : La Commission électorale centrale (CEC) d'Ukraine a refusé lundi 11 janvier 2010 d'enregistrer plus de 2 000 observateurs internationaux de Géorgie à la prochaine présidentielle ukrainienne prévue pour le 17 janvier 2010. La CEC a proposé d'enregistrer 378 observateurs géorgiens car seulement leurs documents avaient pu être vérifiés. Lundi était le dernier jour d'enregistrement des observateurs internationaux. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 18 janvier 2010 : Les électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 17 janvier 2010 pour élire leur président. Selon des sondages effectués à la sortie des urnes, un second tour devrait opposer le dimanche 7 février 2010 le chef de l'opposition du Parti des régions, pro-russe, à la première ministre, Ioulia Timochenko. Les 2 candidats ont recueilli respectivement 31,5 et 27,2 % des voix. Le président sortant, Viktor Iouchtchenko, qui se représentait pour un second mandat, n'est crédité que de seulement 6 % des suffrages. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mercredi 20 janvier 2010 : La Commission électorale centrale (CEC) d'Ukraine a annoncé mardi 19 janvier 2010 qu'après le dépouillement complet des bulletins de vote, après l'élection présidentielle du dimanche 17 janvier 2010, le leader du Parti des régions (opposition) Viktor Ianoukovitch et la première ministre Ioulia Timochenko s'affronteront lors du second tour fixé au dimanche 7 février 2010. Viktor Ianoukovitch a recueilli 35,32 % des suffrages exprimés et Ioulia Timochenko 25,05 %. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 26 janvier 2010 : Le nouvel ambassadeur de Russie en Ukraine, Mikhaïl Zourabov, désigné à ce poste en août 2009, est arrivé à Kiev lundi 25 janvier 2010 pour y prendre ses fonctions. Le président russe Dmitri Medvedev avait adressé, le 11 août 2009 une lettre ouverte à son homologue ukrainien Viktor Iouchtchenko, l'accusant d'avoir trahi les "principes d'amitié et de partenariat avec la Russie" et annonçant son intention d'ajourner sine die l'envoi du nouvel ambassadeur russe en Ukraine, gelant de fait les relations diplomatiques entre les 2 pays. A l'annonce des résultats de l'élection présidentielle en Ukraine, le 17 janvier 2010, perdue par le président Viktor Iouchtchenko, et un second tour le 7 février 2010 qui opposera la première ministre Ioulia Timochenko au chef de l'opposition Viktor Ianoukovitch, Moscou avait annoncé l'envoi de son ambassadeur. L'administration du président sortant Viktor Iouchtchenko a indiqué qu'elle recommandera au ministère ukrainien des Affaires étrangères de ne pas accepter les copies des lettres de créance de Mikhaïl Zourabov, qui ne préciseraient pas le nom du président ukrainien. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 29 janvier 2010 : Vadim Kolesnitchenko, député au parlement et président de l'ONG "Ukraine russophone", a dénoncé jeudi 28 janvier 2010 lors d'une conférence de presse donnée à Kiev la capitale l'adoption par les autorités "d'actes législatifs contraires aux normes du droit international, qui rendent impossible l'utilisation d'autres langues que l'ukrainien. Cela viole les droits des Ukrainiens russophones, mais aussi des communautés hungarophone, roumanophone et autres". Vadim Kolesnitchenko, qui a présenté en début de semaine un rapport sur la politique linguistique ukrainienne au siège de l'Organisation des Nations unies (ONU), à New York aux Etats-Unis, a souligné que "plus de 30 millions de personnes, soit plus de 60 % de la population, utilisent le russe tous les jours en Ukraine, ajoutant que "le russe est la langue maternelle de 17 millions d'Ukrainiens" sur une population totale de 46 millions. Le rapport de Vadim Kolesnitchenko précisait que "les autorités ukrainiennes ont adopté plus de 80 lois et plusieurs centaines d'actes législatifs limitant l'utilisation du russe et d'autres langues des minorités ethniques. La télévision et la radio ukrainiennes sont obligées d'émettre uniquement en ukrainien et les films non doublés en ukrainien sont interdits. En 20 ans, le nombre des écoles russophones en Ukraine a été divisé par 4, passant de 4 633 à 1 200. Les représentants des minorités ethniques n'ont pas la possibilité de faire leurs études dans leurs langues maternelles dans certaines régions qui comptent des centaines de milliers d'habitants non ukrainophones". Le député a conclu : "Les habitants russophones d'Ukraine ne sont pas des immigrés, mais des autochtones. Toutefois, il n'existe pas de mécanismes permettant d'utiliser les langues n'ayant pas le statut officiel" parlant d'une "destruction des autres langues", ce qui "n'est pas une pratique démocratique". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?



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