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BANDE DE GAZA, FIL-INFO-BANDE-DE-GAZA
©, 2009, ARCHIVES, DECEMBRE 2009
- Jeudi
10 décembre 2009 : Le Parlement européen a annoncé
mercredi 9 décembre 2009 dans un communiqué
qu'une délégation de 8 députés européens de
Chypre, Grande-Bretagne, Irlande, Italie, France,
Allemagne et Grèce, qui avait reçu une
autorisation d'Israël de se rendre dans la Bande
de Gaza, ont vu leur autorisation annulée
quelques heures plus tard, pour "des raisons
de sécurité". Le communiqué souligne du
Parlement : "Il est très curieux que
lannulation soit intervenue quelques heures
après lannonce de la déclaration du
Conseil de lUnion européenne réaffirmant
la position forte de lEurope en faveur
dun Etat palestinien basé sur les
frontières de 1967 et de la fin des
implantations en Cisjordanie, y compris
Jérusalem-est". A Gaza, Ahmed Bahar,
l'adjoint du président du parlement palestinien,
a critiqué la décision israélienne, qualifiée
de "tentative désespérée de contenir la
sympathie internationale croissante pour la cause
juste de notre peuple". Le ministère
israélien des Affaires étrangères s'est
expliqué en affirmant que "lentrée
de responsables étrangers dans la Bande de Gaza
sera exploitée par cette organisation terroriste
(NDLR. Hamas) afin dobtenir une
respectabilité et poursuivre sa politique de
terreur contre les Palestiniens et les
Israéliens". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
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Samedi 12 décembre 2009 :
ISRAEL/BANDE DE GAZA/CISJORDANIE : GRIPPE A H1N1
: Alors que les autorités sanitaires
de la Bande de Gaza ont annoncé dimanche 6
décembre 2009 les premiers cas de grippe A (H1N1), et 6
décès en 5 jours, le colonel Moshe Levy, chef
israélien de l'unité de liaison et de
coordination pour la Bande de Gaza, a annoncé
jeudi 10 décembre 2009 le transfert de "30
000 à 40 000 vaccins contre la grippe H1N1 dans
la Bande de Gaza, fournis par l'Organisation
mondiale de la santé (OMS), les
clôtures de sécurité n'empêchant pas la
propagation des maladies". Le colonel Moshé
Levy a précisé qu'Israël allait fournir pour
sa part 10 000 doses de vaccins. Les pharmacies
de la Bande de Gaza ont été prises d'assaut et
manquent de masques de protection et de gel
désinfectant pour les mains. Hassan Khalaf,
vice-ministre de la Santé de l'administration de
Gaza, a indiqué qu'un plan national pour faire
face à l'épidémie a été mis en place. Selon
certains médecins palestiniens, la Bande de Gaza
a été jusqu'ici épargnée du fait des
restrictions israéliennes, qui limitent la
circulation des personnes et des marchandises. En
Cisjordanie, 1 250 cas de grippe A H1N1 ont été
recensés, dont 9 décès. L'Autorité
palestinienne a indiqué qu'elle allait investir
8 millions de dollars dans l'achat de vaccins
contre le virus, précisant qu'elle n'avait pas
le contrôle de la Bande de Gaza. Blogger,
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Lundi 14 décembre 2009 : Célébrations
lundi 14 décembre 2009 du 22e anniversaire de la
création du Hamas, Mouvement de la Résistance
Islamique, qui ont débuté vendredi 11 décembre
2009 et où des militants du Hamas brûlent le
drapeau israélien. Le Hamas a été créé le 14
décembre 1987, peu après le début de la
première Intifada palestinienne, par des
militants islamistes se réclamant des Frères
musulmans. ** Les bureaux
de 2 organisations non gouvernementales (ONG), le
Réseau palestinien des ONGs (PNGO), qui
s'est vu décerné jeudi 10 décembre 2009 le
Prix des Droits de lHomme de la République
française
"Liberté-Egalité-Fraternité" (lire l'édition de Fil-info-France
du 12 décembre 2009), et la
Cooperative Housing Foundation (CHF) ont été
dévalisés par des inconnus dans la nuit de
samedi 12 à dimanche 13 décembre 2009.
"Une petite somme d'argent à été
emportée" à PNGO, selon le coordonnateur
de PNGO Amjad al-Shawa. Plusieurs vols ont été
enregistrés ces derniers mois dans plusieurs ONG
dont 2 groupes de défense des droits de l'homme,
le Centre al- Dameer pour les droits de l'homme,
où des ordinateurs et de l'argent ont été
dérobés, et à la Commission indépendante pour
les droits de l'homme. Blogger,
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Mardi 15 décembre 2009 : Le premier
ministre destitué du Hamas, Mouvement de la
Résistance Islamique, Ismaïl Haniyeh, qui a
pris le contrôle de la Bande de Gaza en juin
2007, après avoir été limogé par le
président palestinien Mahmoud Abbas, a invité
le Fatah, parti du président, au cours d'un
discours donné à Gaza lors des commémorations
du 22ème anniversaire de la création du Hamas,
à "former un vaste gouvernement d'unité
nationale pour mettre fin à la division entre
Palestiniens". Un porte-parole du Fatah a
immédiatement réagi et rejeté la proposition
d'Ismael Hanyieh estimant que "le Hamas,
s'il est sérieux, devrait accepter et signer
l'accord de réconciliation" rédigé par
l'Egypte. Le Hamas refuse de signer cet accord
estimant que "certains points doivent encore
être modifiés". Blogger,
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Mercredi 23 décembre 2009 : Le Hamas,
Mouvement de la Résistance Islamique a accusé
mardi 22 décembre 2009 le gouvernement
israélien "d'entraver" un accord de
libération du soldat franco-israélien, Gilad
Shalit, enlevé dans la Bande de Gaza au cours
d'une incursion israélienne le 25 juin 2006.
Selon des sources israéliennes et
palestiniennes, le projet d'accord prévoit dans
un premier temps la libération par Israël de
450 prisonniers palestiniens, y compris des
combattants impliqués dans des attentats
sanglants, en échange de Gilad Shalit. Dans un
deuxième temps, l'Etat hébreu libérerait 500
autres détenus palestiniens. Le premier ministre
Benjamin Netanyahu a déclaré à l'issue d'un
conseil des ministres restreint, et après 48
heures de négociations, qu'il "reste
opposé au retour en Cisjordanie de prisonniers
condamnés pour des attentats particulièrement
meurtriers" affirmant que "le
gouvernement israélien, moi-même et le chef
d'état-major considérons qu'il est de notre
devoir le plus sacré de ramener Gilad chez lui,
mais pas à n'importe quel prix". Il a
ordonné la poursuite des négociations
indirectes avec le Hamas, via un médiateur
allemand. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
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Vendredi 25 décembre 2009 : Le
ministère de l'Agriculture du Hamas, Mouvement
de la Résistance Islamique a interdit lundi 21
décembre 2009 aux fermiers de cultiver les
terres, frappées par les bombes et les missiles
israéliens au cours de l'offensive militaire
israélienne du 27 décembre 2008 au 19 janvier
2009, ou d'en faire des pâturages, affirmant que
certains projectiles encore présents contiennent
des "substances toxiques, rayonnantes ou
cancérigènes". Le ministère de
l'Agriculture a ajouté que l'aviation
israélienne avait aussi bombardé, dans son
offensive, ses laboratoires, dont un
perfectionné de l'Université islamique de Gaza,
"nous mettant dans l'incapacité de faire
une analyse chimique" du sol. Des experts
italiens ont indiqué que la terre de la bande de
Gaza contient des substances cancérigènes et
toxiques en raison des armes utilisées par
Israël. Selon Paola Manduca, généticienne
depuis l'Université de Rome, qui s'exprimait
lors d'un séminaire à Gaza par vidéo
conférence, a indiqué que "ces armes ont
laissé des traces qui ne pouvaient être vues ni
à l'oeil nu ni par des équipements des
hôpitaux de Gaza et il est difficile de les
reconnaître". L'organisation
américaine de défense des droits de l'homme, Human
Rights Watch (HRW), avait publié jeudi
26 mars 2009 un rapport de 71 pages, intitulé
"Une pluie de feu : l'utilisation illégale
de phosphore blanc par Israël à Gaza" (en
anglais : "Rain of Fire : Israel's
Unlawful Use of White Phosphorus in Gaza") qui
indique que "les tirs répétés par Israël
d'obus au phosphore blanc sur des zones
densément peuplées de la bande de Gaza lors de
sa récente opération militaire étaient
indiscriminés et constituent une preuve de
crimes de guerre". Le rapport rassemble des
témoignages sur les effets dévastateurs des
armes au phosphore blanc sur les civils et les
propriétés civiles à Gaza. Les chercheurs de
Human Rights Watch à Gaza ont trouvé,
immédiatement après la fin des hostilités, des
éclats d'obus, des fragments de réceptacles et
des douzaines de morceaux de feutre brûlé
contenant des résidus de phosphore blanc dans
les rues, sur les toits des bâtiments, dans les
jardins résidentiels, et dans une école des
Nations unies. Le rapport fournit également des
preuves balistiques, des photographies et des
images satellites, ainsi que des documents
provenant de l'armée et du gouvernement
israéliens. Human Rights Watch affirmé qu'à
"Gaza l'armée israélienne n'a pas
simplement utilisé le phosphore blanc dans des
zones ouvertes en tant qu'écran pour dissimuler
ses troupes. Elle a tiré des obus au phosphore
blanc de manière répétée sur des zones
densément peuplées, même lorsque ses troupes
n'étaient pas présentes dans la zone et lorsque
d'autres écrans de fumée, plus sûrs, étaient
disponibles. En conséquence, des civils ont
souffert inutilement et certains ont été
tués". L'organisation a indiqué que
"les officiers supérieurs (israéliens)
doivent rendre des comptes pour les morts
inutiles causées par le phosphore blanc".
Human Rights Watch a exigé qu'une enquête
internationale soit diligentée pour
"déterminer les violations des lois de la
guerre par toutes les parties au conflit"
estimant que "les enquêtes menées par le
passé par les FID (NDLR. Forces israéliennes de
défense) sur des accusations d'actions
illégales suggèrent qu'une telle enquête ne
sera ni approfondie, ni impartiale". Le
rapport précise que "tous les obus au
phosphore blanc retrouvés par Human Rights Watch
ont été fabriqués aux Etats-Unis en 1989 par
Thiokol Aerospace, entreprise qui dirigeait alors
le fonctionnement de l'usine de munitions de
l'Armée en Louisiane. Le 4 janvier 2009, Reuters
a photographié des unités d'artillerie des FID
manipulant des projectiles qui portaient des
inscriptions indiquant qu'elles avaient été
produites aux Etats-Unis dans l'Arsenal de Pine
Bluff en septembre 1991". Le rapport
poursuit : "Pour expliquer le nombre élevé
de victimes civiles à Gaza, les officiers
israéliens ont accusé à plusieurs reprises le
Hamas d'avoir utilisé ces civils comme
"boucliers humains" et d'avoir combattu
dans des zones civiles". Dans les cas
documentés dans ce rapport, Human Rights Watch
n'a pas trouvé de preuves d'utilisation par le
Hamas de civils comme "boucliers
humains" au moment et à proximité des
attaques. Dans certaines zones, des combattants
palestiniens étaient présents mais cela ne peut
justifier l'utilisation indiscriminée de
phosphore blanc dans une zone habitée. Human
Rights Watch a conclu, pour de multiples raisons,
que les FID ont de manière délibérée ou
imprudente utilisé des armes au phosphore blanc
en violation des lois de la guerre.
L'organisation de défense des droits de l'homme
demande au gouvernement des Etats-Unis, qui a
fourni à Israël ses munitions au phosphore
blanc, "de conduire une enquête de façon
à déterminer si Israël a utilisé cette arme
en violation des lois de la guerre". Lire le rapport de HWR (format pdf)
Lundi 28 décembre 2009 : 3
Palestiniens ont été tués samedi 26 décembre
2009 par des soldats israéliens, "qui,
selon eux, avaient eu un comportement
suspect" alors qu'ils "rampaient vers
la clôture", dans une zone dont l'accès
est interdit par l'armée israélienne. Elle n'a
pas mentionné d'armes en leur possession. Les
victimes étaient des ferrailleurs qui
ramassaient du métal à cet endroit. Il s'agit
de la première fois depuis la fin de l'offensive
israélienne qui a fait 1 400 morts dans la Bande
de Gaza il y a près d'un an, qu'un aussi grand
nombre de Palestiniens sont tués par l'armée
israélienne en un seul jour. ** Ismaïl
Haniyeh, premier ministre du gouvernement du
Hamas qui a pris le contrôle de la Bande de Gaza
le 15 juin 2006 après que son gouvernement ait
été limogé par le président Mahmoud Abbas, a
déclaré dimanche 26 décembre 2009 lors de la
commémoration du premier anniversaire de
l'offensive militaire israélienne baptisée
"Plomb durci" contre la Bande de Gaza,
du 27 décembre 208 au 19 janvier 2009 :
"L'ennemi a voulu, avec cette sanglante
surprise, effrayer le peuple de Gaza, le
gouvernement et la Résistance, mais notre foi en
Dieu a été plus forte que la peur et les
avions". Il a parlé de "victoire"
contre Israël. Pour un haut responsable du
Hamas, Ahmed Bahar, qui a inauguré un monument
aux morts pour les victimes de cette guerre,
"l'ennemi a voulu, avec cette sanglante
surprise, effrayer le peuple de Gaza, le
gouvernement et la Résistance, mais notre foi en
Dieu a été plus forte que la peur et les
avions". selon un bilan actualisé des
services de secours à Gaza, l'offensive
israélienne a fait 1 450 morts parmi les
Palestiniens, dont 439 enfants âgés de moins de
16 ans et 127 femmes, ainsi que 5570 blessés. Du
côté israélien, on recense 13 morts, 4 civils
et 9 militaires. Selon des chiffres de l'ONU, 3
800 maisons et 2 dispensaires ont été détruits
et que 34 000 maisons, 15 hôpitaux, 41 centres
de santé et 282 écoles ont subi divers
dommages" durant l'opération militaire
israélienne "Plomb durci" lancée
contre la Bande de Gaza du 27 décembre 2009 au
19 janvier 2009. Lire l'édition de
Fil-info-France du 20 janvier 2009 ; du 21 janvier 2009 ; du 23 mars 2009 ; du 24 mars 2009 et 24 mars 2009 (2) ; du 25 mars 2009 ; du 2 avril 2009 ** ISRAEL/BANDE DE
GAZA/ONU : Dans un communiqué, diffusé à New
York aux Etats-Unis, dans la nuit de samedi 26 à
dimanche 27 décembre 2009, à l'occasion du
premier anniversaire de l'offensive militaire
israélienne contre Gaza qui a fait plus de 1 400
morts palestiniens, pour la plupart des civils,
le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a
appelé, dimanche, Israël à mettre fin au
blocus "inacceptable et
contre-productif" imposé à la Bande de
Gaza, rappelant qu'il ne peut y avoir de solution
militaire au conflit israélo-palestinien. Il a
exhorté le Hamas à mettre un terme à la
violence, tout en soulignant que les restrictions
sur les matériaux de construction et l'aide
humanitaire destinés à Gaza paralyse
l'économie et les efforts de reconstruction :
"Il y a un sentiment de désespérance à
Gaza aujourd'hui pour 1,5 million de
Palestiniens, dont la moitié a moins de 18 ans.
Leur sort et le bien-être des Israéliens sont
étroitement liés". Pour Ban Ki-Moon,
"la priorité urgente de tous les dirigeants
israélien et palestinien, de la région et de la
communauté internationale dans son ensemble doit
être la réalisation d'une solution à 2
Etats". ** SUISSE/BANDE DE
GAZA : Plusieurs centaines de personnes se
sont réunies dimanche 27 décembre 2009 sur la
place des Nations à Genève, devant le
siège de l'ONU, où des drapeaux palestiniens
ont été érigés, à la mémoire des 1 450
Palestiniens tués lors de l'opération
israélienne dans la bande de Gaza du 27
décembre 2008 au 19 janvier 2009. "Une
telle barbarie ne doit plus jamais se
produire", selon l'association "Droit pour tous", qui a
organisé l'événement. Plusieurs politiciens
suisses avaient fait le déplacement, dont le
président des Verts suisses, Ueli Leuenberger,
ou le conseiller national Jean-Charles Rielle
(PS/GE). "Droits pour tous" a dénoncé
"ce lent génocide qui se déroule sous les
yeux de tous et demande : 1 - A tous les Etats
démocratiques du monde à dénoncer ce génocide
programmé et à imposer sa cessation immédiate
et la condamnation de tous ses responsables. 2 -
A la Suisse, de cesser sans autre condition toute
collaboration militaire avec l'occupant
israélien et à annuler sans retard la visite de
la délégation des forces aériennes suisses en
Israël qui commence le 2 mars et qui constitue
une légitimation inacceptable des crimes de
guerre commis par l'aviation israélienne. 3 - De
briser ce silence international au sujet du
massacre quotidien des palestiniens par
l'engagement citoyen et associatif de tous bords.
4 - Aux médias de sortir de leur silence
incompréhensible et à informer la population de
la réalité des faits par respect à leur mandat
de quatrième pouvoir. 5- De mettre fin à la
sanction collective illégale menée contre la
bande de Gaza, d'ouvrir les points de passage et
d'assurer le mouvement des personnes et des
marchandises. 6 - De mettre un terme urgent au
massacre du peuple palestinien et au blocus qui
le condamne à une mort lente. Des rassemblements
similaires ont eu lieu à Berne et à Lugano. Blogger,
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Jeudi 31 décembre 2009 : Le Hamas,
Mouvement de la Résistance Islamique a annoncé
qu'un groupe de 84 pacifistes est entré mercredi
30 décembre 2009 à Gaza via l'Egypte après
qu'ils aient accepté une proposition du
gouvernement égyptien n'autorisant qu'un petit
nombre de manifestants, sur les 1 400 venus de 42
pays, pour participer à la Marche pour la liberté de Gaza
(Gaza Freedom March) visant à
demander la levée du siège illégal de Gaza, à
l'occasion du premier anniversaire de la guerre
lancée par Israël contre le territoire
palestinien du 27 décembre 2008 au 19 janvier
2009. Les militants pacifistes s'étaient vu
interdire l'entrée en Egypte par le ministère
de l'Intérieur égyptien qui avait souligné que
"la marche était illégale" et
constituait une menace pour la sécurité
nationale". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
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