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- TIMOR-LESTE
ou TIMOR-ORIENTAL
(Nom officiel en portugais : Timor Leste)
-
- Nom officiel
- République
démocratique du Timor Oriental (en portugais :
Republika Demokratika Timor Lorosa'e) ou
République du Timor Leste
- Administration
- Le
Timor oriental est une ancienne colonie
portugaise annexée par lIndonésie (1975).
Elle fut ensuite une province indonésienne
jusqu'en 1999 ; sous administration transitoire
de l'ONU (UNTAET) jusqu'en 2002, le Timor Leste
est devenu un Etat indépendant le 20 mai 2002.
Le Timor Oriental est divisé en 13 districts
administratifs : Aileu, Ainaro, Baucau, Bobonaro
(Maliana), Cova-Lima (Suai), Dili, Ermera
(Gleno), Lautem (Los Palos), Liquica, Manatuto,
Manufahi (Same), Oecussi (Ambeno), Viqueque.
- Capitale
- Dili.
- Chronologie
politique
1520 : les Portugais
découvrent l'île du Timor.
1642 : les
Portugais s'installent dans l'est de l'île et ouvrent un
comptoir. Les Hollandais occupent la partie occidentale
de l'île.
1859 : signature
d'un traité de partage du Timor. L'est revient au
Portugal, l'ouest aux Pays-Bas.
Février 1942 : le Japon occupe l'île. Face à la
résistance locale, soutenue par les Australiens, les
Japonais exécutent en représailles 60 000 civils, soit
13 % de la population.
Août 1945 : retour des Portugais.
27 décembre 1949 : fin de l'occupation néerlandaise en
Indonésie et au Timor occidental.
25 avril 1974 : "Révolution des oeillets" au
Portugal. Le nouveau gouvernement accepte l'indépendance
des colonies d'Asie et d'Afrique.
11 août 1975 : le Front révolutionnaire pour
l'indépendance du Timor (Fretilin, d'inspiration
marxiste) s'empare de Dili, la capitale, et de la majeure
partie du territoire. Les forces portugaises se retirent.
28 nov 1975 : le Fretilin proclame l'indépendance.
7 décembre 1975 : l'Indonésie envahit le Timor.
17 juillet 1976 : l'Indonésie annexe par décret le Timor
oriental et en fait sa "27e province". L'ONU et
le Portugal ne reconnaissent pas cette
"intégration". Début de la guerilla contre
l'occupation indonésienne.
1987 : les
Timorais créent le Conseil national de la résistance,
sous la direction de Xanana Gusmao.
Octobre 1989 : le Pape en visite à Dili demande le respect
des droits de l'homme.
Septembre 1990 : Amnesty international affirme que 200 000
civils sont morts depuis 1975.
12 novembre 1991 : l'armée tire sur des manifestants dans le
cimetière de Santa Cruz à Dili. 200 morts et disparus.
20 novembre 1992 : le chef indépendantiste, Xanana Gusmao, est
capturé par l'armée indonésienne. Condamné à la
prison à vie, peine commuée à 20 ans de prison, le
chef du Freitilin dirige la lutte armée depuis sa
cellule à Jakarta.
11 novembre 1996 : Monseigneur Carlos Belo, évêque de Dili,
et José Ramos Horta, se voient décerner conjointement
le Prix Nobel de la Paix.
21 mai 1998 : le général Suharto abandonne le pouvoir
après 32 ans de règne suite à de violentes
manifestations pour la démocratie. Le vice président,
et dauphin de Suharto, Yusuf Habibie, lui succède.
Juillet 1998 : Yusuf Habibie propose à la communauté
internationale de libérer Xanana Gusmao si elle
reconnaît le Timor oriental "partie
intégrante" de l'Indonésie, avec un statut
spécial d'autonomie.
30 janvier 1999 : Yusuf Habibie propose un référendum sur
l'indépendance du Timor oriental.
10 février 1999 : Xanana Gusmao est libéré de prison et
placé en résidence surveillée.
5 mai 1999 : l'Indonésie et le Portugal signent, sous
l'égide de l'ONU, un accord prévoyant un vote
d'autodétermination.
30 août 1999 : 98,6 % des électeurs participent au
référendum sur l'autodétermination du Timor oriental
organisé par l'ONU malgré les violences des milices
pro-indonésiennes.
4 septembre 1999 : 78,5 % des électeurs se sont prononcés en
faveur de l'indépendance du Timor Oriental. Les milices
pro-indonésiennes attaquent les civils, faisant des
milliers de morts. 250 000 personnes fuient le Timor
oriental.
15 septembre 1999 : L'ONU autorise le déploiement d'une force
multinationale (INTERFET) forte de 7 000 hommes, sous
commandement de l'Australie.
25 octobre 1999 : l'ONU crée une administration provisoire au
Timor oriental appuyée par 8 000 Casques bleus.
20 avril 2011 : l'ONU publie un rapport selon lequel les
plus hauts responsables de l'armée indonésienne ont
préparé et orchestré la mise à sac du Timor en 1999.
30 août 2001 : le Fretilin remporte 55 des 88 sièges de
l'Assemblée constituante, lors du premier scrutin
démocratique du territoire.
Lundi 15 avril 2002 : 1ères élections présidentielles
hier où le chef de la lutte contre l'occupation
indonésienne, Xanana Gusmao, est à peu près sûr de
remporter les élections. Cette élection est un prélude
à l'accession à l'indépendance le 20 mai prochain. Le
taux de participation a été de 86 %.
Mercredi
17 avril 2002 : Xanana Gusmao a été élu président du
plus jeune état du monde après le 20 mai, date
officielle de son indépendance. Rappelons toutefois que
le Timor est un des pays les plus pauvres du monde, sans
aucune infrastructure, électricité, téléphone et peu
intéressant pour les investisseurs étrangers. Des
ressources importantes de pétrole ont été trouvées en
mer du Timor. L'exploitation ne pourra donner des
résultats qu'à partir de 2006. Les Timorais vivent
essentiellement d'une agriculture rudimentaire et
jusqu'à présent ne survivent que grâce à l'aide
internationale. Le taux d'analphabétisme est un des plus
élevés au monde.
Jeudi
18 avril 2002 : Le chef indépendantiste, Xanana Gusmao, a
été officiellement élu président avec plus de 83 %
des suffrages.
Lundi
20 mai 2002 : Ce petit pays a proclamé dimanche soir son
indépendance en présence de nombreuses personnalités,
dont la présidente de l'Indonésie (qui a envahi l'île
le 7 décembre 1975), Megawati Sukarnoputhri, le
secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan,
l'ex-président américain Bill Clinton et le premier
ministre australien. Le Timor oriental est ainsi devenu
le 190ème pays membre de l'ONU. Une force de soutien de
l'ONU de 5000 militaires et 1200 policiers restera sur
place pendant 12 mois pour aider le jeune gouvernement à
mettre en place les nouvelles structures de ce petit
état, un des plus pauvres du monde, ruiné par 24 ans de
guerre et où tout est à refaire.
Mardi
21 mai 2002 : Le nouveau gouvernement est-timorais a
prêté serment hier et a signé un accord avec
l'Australie de partage des ressources pétrolières de la
mer du Timor, ce qui permettrait à ce petit état très
pauvre de retirer des revenus d'ici 2003 d'un montant de
5 milliards de dollars sur une période de 20 ans.
Mardi
11 mai 2004 : Un mandat d'arrêt international a été
lancé à l'encontre du général Wiranto, désigné le
20 avril candidat du Golkar (parti de l'ex-dictateur
Suharto) à la présidentielle du 5 juillet 2004, et
ancien chef de l'armée indonésienne. Inculpé déjà de
crimes contre l'humanité, il est mis en cause dans les
exactions commises en 1999 dans ce petit pays, alors sous
occupation indonésienne.
Jeudi
18 novembre 2004 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté
mardi à New York à l'unanimité la résolution 1573
visant à prolonger de 6 mois, jusqu'au 20 mars 2005, le
mandat de la Mission d'appui des Nations Unies au Timor
oriental (MANUTO).
Lundi
23 janvier 2006 : Le Président, Xanana Gusmao, a remis
vendredi 20 janvier 2006 au secrétaire général de
l'ONU, Kofi Annan, le rapport de la Commission accueil,
vérité et réconciliation (CAVR, Commission for
Reception, Truth and Reconciliation), établie en 2001
pour faire la lumière sur les violations des droits de
lhomme commises entre avril 1974 et octobre 1999
pendant l'occupation indonésienne. Selon les
informations parues dans la presse, le rapport de la CARV
accuserait l'Indonésie de "crime contre
l'humanité". La politique de l'armée indonésienne
(privation de nourriture, torture, violences sexuelles) a
entraîné la mort de 80 000 à 180 000 personnes entre
1975 et 1999, soit un tiers de la population totale,
affirmerait le rapport de 2 500 pages. Le président
Gusmao a insisté sur la nécessité de maintenir une
présence des Nations Unies après le mois de mai 2006,
après à l'expiration du mandat de l'actuel Bureau des
Nations Unies au Timor-Leste (BUNUTIL).
Samedi
6 mai 2006 : Le Représentant spécial du Secrétaire
général pour Timor-Leste, Sukehiro Hasegawa, a indiqué
vendredi 5 mai 2006 devant le Conseil de sécurité de
l'ONU que ce dernier "doit désormais répondre aux
demandes présentées par les autorités timoraises et
visant le maintien d'une présence de l'ONU après la
clôture du Bureau des Nations Unies au Timor-Leste
(BUNITIL)" dont le mandat s'achève le 20 mai 2006,
au moins jusqu'aux élections prévues en 2007.
Vendredi
26 mai 2006 : Les affrontements entre soldats réguliers
et soldats limogés se sont poursuivis jeudi 25 mai 2006
dans la capitale Dili. Les forces de sécurité ont
ouvert le feu sur la foule faisant au moins 12 morts et
une quarantaine de blessés. Ces troubles durent depuis
le mois de mars 2006 date à laquelle près de 600
militaires, soit près de 40 % des forces armées du
pays, ont été renvoyées pour s'être mis en grève,
affirmant être victimes de discrimination dans l'armée
du fait de leur origine de l'Ouest du pays alors que les
chefs viennent de l'Est. L'Australie a annoncé qu'elle
allait dépêcher un contingent de 1 300 hommes pour
tenter de rétablir le calme.
Lundi
29 mai 2006 : Les troupes australiennes ont été
renforcées avec l'arrivée dimanche d'un nouveau
contingent portant à 2 250 le nombre de soldats
australiens déployés dans la capitale Dili. Elles ont
pris le contrôle de l'aéroport, du port, du quartier
général des Nations Unies et de la police. Elles ont
également commencé à désarmer des bandes rivales. Ces troubles durent
depuis le mois de mars 2006 date à laquelle près de 600
militaires, soit près de 40 % des forces armées du
pays, ont été renvoyées pour s'être mis en grève,
affirmant être victimes de discrimination dans l'armée
du fait de leur origine de l'Ouest du pays alors que les
chefs viennent de l'Est.
Mardi
30 mai 2006 : Après les troubles qui ont débuté au mois
de mars 2006 date à laquelle près de 600 militaires,
soit près de 40 % des forces armées du pays, ont été
renvoyées pour s'être mis en grève, affirmant être
victimes de discrimination dans l'armée du fait de leur
origine de l'Ouest du pays alors que les chefs viennent
de l'Est, 90 000 personnes ont fui les combats. Lundi 29
mai 2006 une centaine de déplacés a attaqué un dépôt
alimentaire du Programme Alimentaire Mondial (PAM) à
Dili la capitale. Les forces étrangères (Australie,
Malaisie et Nouvelle-Zélande), sont intervenues avec des
blindés pour stopper les pillages. Le président Xanana
Gusmao a lancé un appel à la réconciliation nationale
pour mettre fin aux violences.
Mercredi
31 mai 2006 : Le président Xanana Gusmao a annoncé mardi
30 mai 2006, qu'il assumerait les secteurs de la Défense
et de la Sécurité nationale jusque là aux mains du
premier ministre Mari Alkatiri, accusé par ses
détracteurs de n'avoir pas su empêcher le
déclenchement des troubles. Les pouvoirs d'urgence ont
été décrétés pour une période de 30 jours, qui
pourrait éventuellement se prolonger. Les pillages et
les incendies se poursuivent à Dili la capitale malgré
le déploiement de troupes étrangères.
Vendredi
2 juin 2006 : Le ministre de l'Intérieur, Rogerio Laboto,
et le ministre de la Défense, Roque Rodriguez, ont
donné leur démission jeudi 1er juin 2006. Cette
démission intervient après la demande faite au
gouvernement par le président Xanana Gusmao
"d'assumer la responsabilité du déclenchement de
la crise provoquée la démobilisation de 600
soldats" en mars 2006, soit près de 40 % des forces
armées du pays, renvoyées pour s'être mis en grève,
affirmant être victimes de discrimination dans l'armée
du fait de leur origine de l'Ouest du pays alors que les
chefs viennent de l'Est.
Mercredi 7 juin 2006 : Les soldats australiens, déployés
dans la capitale Dili afin d'assurer la sécurité de la
ville après des affrontements qui ont fait une vingtaine
de morts, ont lancé des gaz lacrymogènes contre des
bandes de jeunes pillards. Les habitants quittent la
capitale. Selon les organisations humanitaires 100 000
personnes ont déjà fui les violences et sont regroupés
dans des camps de réfugiés.
Mardi
13 juin 2006 : Les Nations Unies ont lancé lundi 12 juin
2006 un appel de fonds d'urgence d'un montant de 18,9
millions de dollars pour aider 133 000 personnes
déplacées par les violences qui ont ensanglantent le
pays et la capitale Dili depuis le 28 mars 2006 lorsque
près de 600 militaires, soit près de 40 % des forces
armées du pays, ont été renvoyées pour s'être mis en
grève, affirmant être victimes de discrimination dans
l'armée du fait de leur origine de l'Ouest du pays alors
que les chefs viennent de l'Est le Timor-Este. Selon les
dernières estimations du Bureau de la coordination des
affaires humanitaires (OCHA), 70 000 personnes ont été
ainsi déplacées dans une cinquantaine de camps à Dili
et ses environs alors que 63 000 autres personnes ont fui
vers les campagne. L'appel de fonds a pour objectif de
financer une aide humanitaire au cours des 3 prochains
mois. Jan Egeland, Secrétaire général adjoint aux
affaires humanitaires et Coordonnateur des secours
d'urgence, a indiqué lors d'une conférence de presse
donnée au siège de l'ONU à New York, où il a
présenté un rapport sur l'appel de fonds, que l'OCHA
prévoit 5 millions de dollars pour la nourriture, 7,5
millions de dollars pour les abris, 2,3 millions pour la
santé, 1 million pour l'eau et l'hygiène ajoutant que
4,1 millions de dollars ont déjà été débloqués par
le Groupe consultatif du Fonds central d'intervention
d'urgence (CERF)
Jeudi
22 juin 2006 : Le Conseil de sécurité de lONU a
prolongé mardi 20 juin 2006 de 2 mois, jusqu'au 20 août
2006, le mandat du Bureau des Nations unies au
Timor-Leste (BUNUTIL). De violents troubles avaient
ensanglanté le pays après la décision en avril 2006 du
Premier ministre, Mari Alkatiri, de renvoyer 600 soldats,
soit près de 40 % des forces armées du pays, pour
s'être mis en grève, affirmant être victimes de
discrimination dans l'armée du fait de leur origine de
l'Ouest du pays alors que les chefs viennent de l'Est le
Timor-Este.
Mardi
27 juin 2006 : Le Premier ministre, Mari Alkatiri, a
annoncé dimanche 25 juin 2006 sa démission "afin
déviter la démission de Son Excellence le
président de la République", Xanana Gusmao, qui
avait indiqué jeudi 22 juin 2006 qu'il démissionnerait
si le premier ministre ne quittait pas ses fonctions et
qu'il d'être responsable des émeutes qui avaient
éclaté fin avril après le limogeage de 600 soldats qui
se plaignaient de discriminations ethniques. Mari
Alkatiri est soupçonné également de vouloir offrir à
la compagnie chinoise PetroChina une participation
importante dans un projet doléoduc en mer du
Timor, où se trouvent les 25e réserves de pétrole du
monde. Les Australiens sont hostiles à ce rapprochement
avec la Chine. Le Premier ministre s'est également
rapproché de Cuba, ce qui a fortement déplu à
Washington.
Jeudi
29 juin 2006 : 48 heures après la démission du Premier
ministre Mari Alkatiri sous la pression populaire, des
groupes de jeunes ont attaqué, mercredi 28 juin 2006, à
la pierre des camps de déplacés et incendié plusieurs
bâtiments.
Samedi
1er juillet 2006 : Après la démission dimanche 25 juin 2006
du premier ministre Mari Alkatiri, rendu responsable par
le président Xanana Gusmao, des émeutes qui avaient
éclaté fin avril après le limogeage de 600 soldats qui
se plaignaient de discriminations ethniques, le Prix Nobel de la paix José
Ramos-Hortadevrait assurer l'intérim. Le Bureau des
Nations Unies au Timor-Leste (BUNUTIL) a indiqué que
près de 3 000 manifestants ont envahi les rues de Dili
au cours de la nuit de jeudi à vendredi 30 juin 2006, en
vue de manifester leur soutien à lancien Premier
Ministre Mari Alkatiri, et ont passé la nuit devant le
Palais présidentiel.
Lundi
10 juillet 2006 : Le Prix Nobel de la paix 1986 José
Ramos-Horta, a été nommé Premier ministre par le
président Xanana Gusmao. José Ramos-Horta avait
démissionné fin juin de son double poste de ministre
des Affaires étrangères et de la Défense, en apprenant
le maintien à son poste du Premier ministre Mari
Alkatiri, rendu responsable par le président Xanana
Gusmao, des émeutes qui avaient éclaté fin avril
après le limogeage de 600 soldats qui se plaignaient de
discriminations ethniques.
Mardi
11 juillet 2006 : Le Prix Nobel de la paix 1986 José
Ramos-Horta a été investi dans ses fonctions de Premier
ministre en remplacement de Mari Alkatiri, rendu
responsable par le président Xanana Gusmao, des émeutes
qui avaient éclaté fin avril après le limogeage de 600
soldats qui se plaignaient de discriminations ethniques
et qui avait plongé le pays dans la violence.
Samedi
26 août 2006 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté
vendredi 25 août 2006 la résolution 1704 visant à la
création pour une période de 6 mois renouvelable la
Mission intégrée des Nations Unies au Timor-Leste
(MINUT) qui remplacera le Bureau des Nations Unies dans
le pays (BUNUTIL).
Jeudi
7 décembre 2006 : Atul Khare de l'Inde a été nommé mercredi
6 décembre 2006 par le Secrétaire général de l'ONU,
Kofi Annan, représentant spécial pour le Timor-Leste et
chef de la Mission intégrée des Nations Unies au
Timor-Leste (MINUT) en remplacement de Sukehiro Hasegawa
du Japon, dont le mandat a pris fin le 30 septembre 2006.
Mardi 9 janvier 2007 : 3 femmes, âgées de 70, 50 et 25
ans, accusées d'être des sorcières, ont été tuées,
et brûlées dans leur maison.
Samedi
24 février 2007 : Conformément à l'appel lancé le 12
février 2007 par le Premier ministre et ministre de la
Défense du Timor-Leste, José Ramos-Horta, Prix Nobel de
la Paix 1996, le Conseil de sécurité de l'ONU a
prolongé vendredi 23 février 2007 le mandat de la
Mission intégrée des Nations Unies au Timor-Leste
(MINUT) jusqu'au 26 février 2008.
Vendredi
16 mars 2007 : L'ouest du Timor Leste est touché par une
invasion de sauterelles qui aurait déjà causé des
dommages importants sur 4 500 hectares de maïs. Le
Bureau de la coordination des affaires humanitaires
(OCHA) indique qu'il faut fournir de toute urgence des
pesticides afin de contrôler cette invasion.
Jeudi
05 avril 2007 : Des affrontements opposant des partisans de
partis politiques rivaux, ont eu lieu mercredi 4 avril
2007 dans la capitale Dili, au dernier jour de la
campagne électorale pour l'élection présidentielle
prévue lundi 9 avril 2007, faisant une trentaine de
blessés. Le président sortant Xanana Gusmao, qui ne
s'est pas représenté, a lancé un appel au calme.
Lundi
09 avril 2007 : Une membre de la mission des observateurs
brésiliens de l'élection présidentielle au Timor
Oriental qui doit se tenir lundi 9 avril 2007, a été
attaquée à coups de couteau dans la nuit de samedi 7 à
dimanche 8 avril 2007 à Dili la capitale. Ses jours ne sont
pas en danger, selon des sources hospitalières.
Mardi
10 avril 2007 : Près de 522 000 électeurs étaient
appelés aux urnes lundi 9 avril 2007 pour élire leur
président. Le taux de participation a été très
élevé et certains bureaux ont dû être
réapprovisionnés en bulletins de vote. 9 candidats
s'opposent. Le scrutin a été placé sous la
surveillance de 3 000 soldats et policiers
internationaux. 200 observateurs internationaux étaient
également présents sur place pour veiller au bon
déroulement du scrutin. 8 candidats s'affrontent, dont
le premier ministre, José Ramos-Horta, 57 ans, Prix
Nobel de la Paix 1996. Le président sortant, Xanana
Gusmao, ne se représentait pas.
Mercredi
11 avril 2007 : La Commission nationale électorale qui est
chargée de surveiller les résultats, indique
quaprès dépouillement de 20 % des bulletins, les
2 candidats en tête sont le premier ministre, José
Ramos-Horta, 57 ans, Prix Nobel de la Paix 1996, suivi de
près par Fernando Lasama de Araujo du parti démocrate.
Selon les observateurs, aucun des candidats ne devrait
dépasser la barre de 50 % requis pour être élu dès le
premier tour. Un second tour devrait être organisé le 9
mai 2007.
Jeudi
12 avril 2007 : La Commission électorale a annoncé
mercredi 11 avril 2007 les résultats encore partiels de
l'élection présidentielle du lundi 9 avril 2007 qu'un
second tour allait avoir lieu le 8 mai 2007 et opposera
le premier ministre José Ramos-Horta, qui recueille 22,6
% des voix au candidat du Front révolutionnaire du Timor
oriental indépendant (Fretilin), Francisco
"Lu-Olo" Guterres. Fernando "Lasama"
de Araujo, président du Parti démocratique
(opposition), a déposé une plainte officielle, avec
quatre candidats mineurs, dénonçant des irrégularités
et demandant la suspension du dépouillement.
Jeudi
10 mai 2007 : Les électeurs se sont rendus aux urnes
mercredi 9 mai 2007 pour le second tour de l'élection
présidentielle qui oppose le premier ministre, et Prix
Nobel de la Paix 1996 conjointement avec Carlos Belo,
José Ramos-Horta, au le président du parlement
Francisco Guterres. Au premier tour, Francisco Guterres
avait recueilli 28 % des suffrages, contre 22 % pour
José Ramos-Horta. Les résultats sont attendus pour
vendredi 11 mai 2007
Vendredi
11 mai 2007 : Le premier ministre, et Prix Nobel de la
Paix 1996 conjointement avec Carlos Belo, José
Ramos-Horta, 57 ans, a remporté l'élection
présidentielle du mercredi 9 mai 2007 avec 70 % des
voix. Il était opposé au président du parlement, et
candidat du parti Fretilin, Francisco Guterres.
Jeudi
17 mai 2007 : Des affrontements violents ont opposé mardi
15 et mercredi 16 mai 2007, dans la capitale Dili, des
gangs rivaux, faisant 1 mort et une vingtaine de
blessés. Des policiers onusiens, appuyés par les
militaires de la force internationale, INTERFET, sont
intervenus. 17 personnes ont été arrêtées.
Lundi
21 mai 2007 : Le Prix Nobel de la Paix 1996, José Ramos-Horta,
a prêté serment dimanche 20 mai 2007, devenant le
deuxième président du Timor-oriental indépendant.
Quelques heures après la cérémonie, des hommes armés
ont attaqué à Dili la capitale des réfugiés et des
vendeurs des rues, faisant 1 mort et une dizaine de
blessés. Les soldats de la force de maintien de la paix
ont dû se déployer pour rétablir le calme.
Mercredi
27 juin 2007 : Près de 530 000 électeurs sont appelés
aux urnes samedi 30 juin 2007 pour des élections
législatives qui font suite au second tour de
l'élection présidentielle du 9 mai 2007 qui a vu la la
victoire du Prix Nobel de la Paix 1996, conjointement
avec Carlos Belo, José Ramos-Horta, 57 ans, avec 70 %
des voix.
Samedi
30 juin 2007 : Les électeurs sont appelés aux urnes
samedi 30 juin 2007 pour élire des élections
législatives. Le Congrès national pour la
reconstruction du Timor (CNRT) et le Front
révolutionnaire du Timor oriental indépendant
(Fretilin) s'opposent et selon les observateurs, aucun
des 2 partis n'obtiendrait la majorité requise.
Vendredi
6 juillet 2007 : La Mission intégrée des Nations Unies au
Timor Leste (MINUT) a indiqué que 123 500 tonnes de
nourriture seront fournies afin de répondre aux besoins
de la population qui sera très probablement confrontée
à une crise alimentaire entre les mois d'octobre et de
mars 2008.
Vendredi
13 juillet 2007 : La Cour d'appel du Timor-Leste a proclamé
les résultats officiels des élections législatives du
30 juin 2007. Aucun parti n'a pu emporter la majorité
absolue des 65 sièges. La Mission intégrée des Nations
Unies au Timor-Leste (MINUT) est engagée à travailler
avec le nouveau gouvernement et le Parlement, selon une
déclaration du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, en date du jeudi 12 juillet 2007,
"en particulier dans dans les domaines de la
gouvernance démocratique, de l'état de droit, du
secteur de la sécurité et des programmes de
développement socioéconomique".
Mardi
7 août 2007 : Le président José Ramos-Horta, Prix Nobel
de la Paix 1996, a nommé lundi 6 août 2007 au poste de
premier ministre, Xanana Gusmao, ancien chef de la
résistance armée au régime indonésien. L'opposition a
contesté cette nomination, la jugeant illégale. Des
violences ont éclaté dans la capitale Dili.
Mercredi
8 août 2007 : De violents affrontements ont éclaté à
Dili la capitale, mardi 7 août 2007 après la nomination
lundi 6 août 2007 par le président Jose Ramos-Horta,
Prix Nobel de la Paix 1996, au poste de premier ministre,
Xanana Gusmao, ancien chef de la résistance armée au
régime indonésien. Les forces de sécurité ont
utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser la foule
composée essentiellement de partisans du Front
révolutionnaire du Timor oriental indépendant,
Fretilin, le parti majoritaire. Lors des élections du
mois de juin 2007, ni le parti de Xanana Gusmao ni le
Fretilin navaient obtenu suffisamment de voix pour
gouverner seul.
Jeudi
9 août 2007 : L'ancien président timorais, Xanana Gusmao,
ancien chef de la résistance armée au régime
indonésien, a prêté serment mercredi 8 août 2007
comme nouveau premier ministre. Les membres du Front
révolutionnaire du Timor oriental indépendant
(Fretilin), parti majoritaire hostile au choix de Xanana
Gusmao, ont boycotté la cérémonie.
Samedi
11 août 2007 : Lors d'une réunion au siège des Nations
Unies à Dili la capitale, vendredi 10 août 2007,
organisée par la Mission intégrée des Nations Unies au
Timor-Leste (MINUT) dans le but d'offrir un espace
d'échange d'informations ouvert et direct entre les
différents partis politiques qui ont contesté les
élections législatives du 30 juin 2007, les dirigeants
de tous les partis politiques du Timor-Leste ont
fermement condamné les actes de violence qui secouent le
pays depuis lundi 6 août 2007 après la nomination au
poste de premier ministre, par le président Jose
Ramos-Horta, Prix Nobel de la Paix 1996, de
Xanana Gusmao, ancien chef de la résistance armée au
régime indonésien.
Mardi
27 novembre 2007 : Lors de l'opération "Weapons
Sweep" menée du mercredi 21 au samedi 24 novembre
2007 par des officiers de police des Nations Unies,
épaulés par leurs collègues timorais et des forces de
sécurité internationales, la police de l'ONU a
confisqué des arcs, des flèches, des frondes, des
machettes, des couteaux, mais aussi des lances et des
pistolets artisanaux afin de réduire la violence dans le
district de Bairro Pite à Dili, "zone difficile et
terrain de bataille entre gangs" selon la Mission
intégrée des Nations Unies au Timor-Leste (MINUT).
Lundi
11 février 2008 : Le président José Ramos-Horta, Prix Nobel
de la Paix 1996, deuxième président du plus jeune état
dAsie, a été blessé lundi 11 février 2008
lorsque des hommes armés ont attaqué sa maison à Dili
la capitale. Le premier ministre
Xanana Gusmao avait été également visé par un
attentat.
Mardi
12 février 2008 : Le président, José Ramos-Horta, Prix Nobel
de la Paix 1996, deuxième président du plus jeune état
dAsie, grièvement blessé à l'estomac, lundi 11
février 2008 lors d'une attaque à son domicile de Dili,
a été opéré d'urgence et placé dans un coma
artificiel. Il a été ensuite évacué vers l'Australie
dans un état critique. L'intérim de la présidence est
assurée par le premier ministre Xanana Gusmao, qui a
été également visé par un attentat. Son véhicule a
été la cible de coups de feu. A la suite de ces 2
attentats, Xanana Gusmao a décrété l'état d'urgence
et instauré un couvre-feu pour une durée de 48 heures.
L'Australie, qui dispose déjà de 800 militaires au
Timor oriental, a annoncé qu'elle allait envoyer 200
soldats et une cinquantaine de policiers
supplémentaires.
Jeudi
14 février 2008 : Le parlement a approuvé mardi 12 février
2008 la prolongation de l'Etat d'urgence jusqu'au 23
février 2008. Il avait été instauré par le premier
ministre Xanana Gusmao après l'attaque dont a été
victime lundi 11 février 2008 le président José
Ramos-Horta, Prix Nobel de la Paix 1996, deuxième
président du plus jeune état dAsie, grièvement
blessé à l'estomac et transporté dans un état
critique en Australie.
Samedi
16 février 2008 : Le ministère de la Justice a annoncé que
des mandats d'arrêt avaient été lancées contre 12
personnes soupçonnées d'avoir été impliquées dans
les tentatives d'assassinat visant le président José
Ramos-Horta, Prix Nobel de la Paix 1996, qui a été
grièvement blessés au cours de cette attaque, et
transféré en Australie dans un état critique, et son
premier ministre Xanana Gusmao. Lire l'édition de Fil-info-France du 12
février 2008 et du 14 février 2008
Samedi
23 février 2008 : Le parlement a reconduit, vendredi 22
février 2008, pour une durée de 30 jours, l'état
d'urgence décrété après l'attaque perpétrée lundi
11 février 2008 contre le président José Ramos-Horta,
Prix Nobel de la Paix 1996, deuxième président du plus
jeune état dAsie, grièvement blessé et
transféré dans un état critique en Australie pour y
être soigné.
Mercredi 27 février 2008 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a
adopté mardi 26 février 2008 la résolution 1802 qui
proroge le mandat de la Mission intégrée des Nations
Unies au Timor Leste (MINUT) jusqu'au 26 février 2009.
Jeudi
3 avril 2008 : L'ONU et plusieurs ONG partenaires ont
lancé ce week end un appel à contributions de 33,5
millions de dollars visant à financer 3 domaines
stratégiques visant à relever le Timor Leste : la
poursuite de l'aide d'urgence dans les camps de
déplacés, l'appui à la stratégie nationale de
reconstruction et le renforcement des capacités du Timor
Leste à gérer le risque et l'impact des catastrophes
naturelles.
Jeudi
17 avril 2008 : Le président, José Ramos-Horta, Prix Nobel
de la Paix 1996, gravement blessé le 11 février 2008 lors d'une
tentative de coup d'Etat, est arrivé jeudi 17 avril 2008
à Dili la capitale, en provenance de Sidney en
Australie, où il avait été hospitalisé dans un état
grave et un coma profond de 2 semaines. Des milliers de
personnes l'ont accueilli à sa descente d'avion.
Mercredi
30 avril 2008 : Gastao Salsinha, chef des rebelles accusés
d'avoir tenté d'assassiner le président José
Ramos-Horta, le 11 février 2008 qui avait été
grièvement blessé lors de cet attentat, et 12 de ses
hommes se sont rendus aux autorités.
Mardi
17 juin 2008 : Le premier ministre, Xanana Gusmao, a signé
vendredi 13 juin 2008 avec le Programme des Nations Unies
pour le développement (PNUD) un accord qui renforce le
mandat de la Mission intégrée des Nations Unies au
Timor-Leste (MINUT) dans le but d'appuyer la réforme du
secteur sécuritaire dans le pays.
Vendredi
27 juin 2008 : Le 2e président du Timor-Oriental, José
Ramos-Horta, a accepté le poste de Haut Commissaire de
l'ONU aux droits de l'Homme en remplacement de la
Canadienne Louise Arbour, dont le mandat de 4 ans
s'achève le 30 juin 2008.
Samedi
28 juin 2008 : Le président José Ramos-Horta a annoncé
vendredi 27 juin 2008 qu'il renonçait finalement au
poste de Haut Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme
en remplacement de la Canadienne Louise Arbour, estimant
que son départ pourrait provoquer dans son jeune pays
une instabilité aux "conséquences
imprévisibles". José Ramos-Horta, Prix Nobel de la
Paix 1996, avait été grièvement blessé le 10 février
2008 lors d'une tentative de coup d'Etat. Il avait été
transféré en Australie, grièvement blessé et resté
dans le coma pendant 15 jours. Il avait regagné son pays
le 16 avril 2008.
Jeudi
11 septembre 2008 : Une campagne intitulée "Non à la
violence contre les femmes", soutenue par le Fonds
de développement des Nations Unies pour les femmes
(UNIFEM) a été lancée mercredi 10 septembre 2008 par
le président de l'Assemblée nationale, au nom du
président du Timor, José Ramos-Horta, à l'occasion de
l'ouverture du troisième congrès national des femmes
dans le pays.
Vendredi
27 février 2009 : Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté
jeudi 26 février 2009 la résolution 1867 (2009) qui
proroge pour un an, au 26 février 2010, le mandat de la
Mission intégrée des Nations Unies au Timor-Leste
(MINUT).
Mercredi
8 juillet 2009 : La Mission intégrée des Nations Unies au
Timor-Leste (MINUT) a annoncé lundi 6 juillet 2009 qu'au
cours d'une opération conjointe menée avec la police
nationale du Timor Leste, 10 membres présumés d'un
réseau de trafic d'êtres humains ont été arrêtés à
Dili la capitale. Ils sont soupçonnés de faire entrer
des femmes dans le pays en vue de servir comme
"travailleurs du sexe". 22 femmes âgées de 17
à 29 ans dont une mineure ont été retrouvées et
confiées à l'Organisation internationale pour les
migrations (OIM) et des organisations non
gouvernementales.
Jeudi
27 août 2009 : Le Mission intégrée des Nations Unies au
Timor-Leste (MINUT) a salué lundi 24 août 2009 le
premier Tour cycliste du Timor, lancé lundi 24 août
2009 depuis la capitale Dili. 330 concurrents de 9 pays
participent pendant 5 jours à cette course de 455
kilomètres. Le représentant spécial du Secrétaire
général de l'ONU au Timor, Atul Khare, a estimé que
"le fait que le pays soit capable d'organiser cette
course montre les progrès accomplis depuis les violents
soulèvements de 2006".
Lundi
31 août 2009 : Le président José Ramos-Horta, Prix Nobel
de la Paix 1996 et le premier ministre Xanana Gusmao,
héros de la lutte pour l'indépendance, ont célébré
dimanche 30 août 2009 à Dili la capitale, le dixième
anniversaire du référendum organisé par l'ONU qui
avait vu 78 % des électeurs timorais se prononcer en
faveur de l'indépendance vis-à-vis de l'Indonésie,
après le retrait du Portugal en 1975.
Jeudi
17 septembre 2009 : La Mission intégrée des Nations Unies au
Timor-Leste (MINUT) a publié mardi 15 septembre 2009 à
Dili la capitale un rapport, qui couvre la période
de juillet 2008 à juin 2009, portant sur la poursuite
des responsables de violations passées et présentes des
droits de l'homme et au combat contre l'impunité. La
MINUT a salué dans ce document d'importants progrès
quant au respect des droits de l'homme, notamment en
renforçant son système judiciaire et en promulguant de
nouveaux textes de loi. Le rapport s'inquiète toutefois
car, malgré ces progrès, l'accès à la justice reste
limité, surtout dans les districts où la population
fait appel à des mécanismes traditionnels qui ne se
respectent pas toujours les standards en matière de
droits de l'homme. La condamnation par des tribunaux
nationaux d'un certain nombre d'officiers de police
accusés d'avoir commis des violations des droits de
l'homme indique que les autorités ont un pouvoir accru
pour traiter ce genre de cas. Toutefois, le mécanisme
disciplinaire interne de la police reste faible et dans
la plupart des cas les policiers accusés de violations
des droits de l'homme continuent de bénéficier d'une
impunité.
Mardi
5 janvier 2010 : La Mission intégrée des Nations Unies au
Timor-Leste (MINUT) a annoncé lundi 4 janvier 2010 qu'un
policier timorais, qui avait tué "sans raison
valable" une personne et blessé une autre lors
d'une intervention dans un quartier de la capitale Dili,
a été suspendu de ses fonctions. La suspension est
intervenue le samedi 2 janvier 2010 "en raison de la
gravité de la faute professionnelle supposée et afin de
permettre une enquête disciplinaire objective",
selon le commissaire de police de l'ONU, Ibrahim Idris. Blogger, webmaster
: Conditions d'utilisations Fil-info-France ?
Mercredi
6 janvier 2010 : La Mission intégrée des Nations Unies au
Timor-Leste (MINUT) a annoncé mardi 5 janvier 2010 que
la nouvelle Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU au Timor-Leste,
Ameerah Haq, du Bangladesh, est arrivée à Dili la
capitale pour prendre ses fonctions. Elle était depuis
2007 Représentante spéciale adjointe du Secrétaire
général pour le Soudan. Ameerah Haq succède à Atul
Khare de l'Inde. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?
Vendredi
11 juin 2010 : La Représentante spéciale de l'ONU au
Timor-Leste, Ameerah Haq, a participé mercredi 9 juin
2010 à la Journée ouverte de dialogue, organisée pour
marquer le 10ème anniversaire de la résolution 1325
(2000) du Conseil de sécurité des Nations Unies soulignant
l'importance de l'émancipation des femmes. Ameerah Haq a
visité un foyer d'accueil pour des femmes victimes de
violences sexuelles et domestiques, dans la localité de
Covalima, dans le sud-ouest du pays. Elle a souhaité que
le dialogue entre l'ONU et les autorités du Timor Leste
se renforce pour "construire la paix et la
sécurité" pour les femmes du pays. Blogger, webmaster
: Conditions d'utilisations Fil-info-France
Samedi
11 septembre 2010 : Le vice-premier ministre chargé de la bonne
gouvernance dans l'administration, Mario Viegas
Carrascalao, a démissionné de ses fonctions mercredi 8
septembre 2010 à la suite à un différend avec le
premier ministre Xanana Gusmao, qui l'a traité
"d'imbécile". Mario Viegas Carrascalao a tenu
à souligner qu'il "rencontre de nombreux obstacles
dans ma mission visant à régler les cas de corruption
au Timor-Leste. Toutefois, je ne peux pas accepter ces
propos tenus par le Premier ministre qui m'a qualifié
d'imbécile". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France
Jeudi 3 février 2011 N° 2824/24220
TIMOR LESTE - Ban
Ki-Moon recommande la prorogation du mandat de la MINUT
Vendredi
25
février 2011 N° 2843/24239
TIMOR LESTE - Le
Conseil de Sécurité proroge le mandat de la MINUT
Lundi 28 mars 2011 N° 2869/24265
TIMOR LESTE - L'ONU
transfère la responsabilité des services de police à
la Police nationale du Timor Leste
Jeudi 5 mai 2011 N° 2902/24298
TIMOR LESTE - Les
secteurs non pétroliers de l'économie du Timor Leste
doivent être développés
Samedi
19
novembre 2011 N° 3072/24468
TIMOR LESTE - L'ONU
appelle le Timor Leste à lutter davantage contre la
pauvreté
Samedi
26
novembre 2011 N° 3078/24474
TIMOR LESTE -
Possible retrait de la MINUT en raison des progrès
réalisés au Timor Leste
Jeudi 12 janvier 2012 N° 3118/24514
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL - Le HCR ferme son bureau au Timor
Leste après 12 ans de présence
Vendredi
24
février 2012 N° 3155/24551
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL - Prorogation du mandat de la MINUT
Vendredi
16
mars 2012 N° 3173/24569
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL - Election présidentielle samedi 17
mars 2012
Mardi 20 mars 2012 N° 3176/24572
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL - José Ramos-Horta, président
sortant, éliminé dès le premier tour
Lundi 16 avril 2012 N° 3199/24595
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL - Second tour de l'élection
présidentielle
Mercredi
18 avril 2012 N° 3201/24597
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL - L'ancien général Taur Matan Ruak
élu président
Lundi 21 mai 2012 N° 3231/24627
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL - Célébration dimanche 19 mai 2012
du dixième anniversaire de l'indépendance du Timor
oriental
Vendredi
17
août 2012 N° 3307/24703
FIL
INFO TIMOR LESTE - En visite au Timor Leste, Ban Ki-Moon
appelle au développement d'une éducation de qualité
Vendredi
7
septembre 2012 N° 3325/24721
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL - Visite au Timor oriental de la
secrétaire d'Etat américaine
Mercredi
2
janvier 2013 N° 3425/24821
FIL
INFO TIMOR LESTE - Fin de la Mission de l'ONU au Timor
Leste
Samedi
20
août 2016 N° 4562/25958
FIL
INFO TIMOR LESTE - Signature de 3 accords de coopération
à l'occasion de la visite du Premier ministre du
Cambodge Hu Sen
Samedi
21
janvier 2017 N° 4694/26090
FIL
INFO TIMOR LESTE © - Le Timor Leste suspendu de la Coupe
d'Asie 2023 pour falsification de documents
Mardi 21 mars 2017 N° 4744/26140
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL © - Les électeurs aux urnes pour
choisir un successeur au président Taur Matan Ruak
Jeudi 23 mars 2017 N° 4746/26142
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL © - Francisco "Lu-Olo"
Guterres remporte l'élection présidentielle
Samedi
20
mai 2017 N° 4796/26192
FIL
INFO TIMOR ORIENTAL © - Francisco Guterres, surnommé
Lu-Olo, investi président
Climat
Climat tropical chaud et humide.
Code ISO
TL
Devise nationale
- Union,
Action, Progrès.
- Drapeau
- Economie
- Agriculture
(riz, blé, manioc). Textile. Transformation du
café. Importantes réserves pétrolières
off-shore.
- Offre
n° 3
Fête
nationale
- 28
novembre 1975 (indépendance vis-à-vis du
Portugal).
- Langue officielle
- Tétoum
et portugais.
- Liens
Présidence du Timor oriental ou
Timor Leste
Gouvernement du Timor oriental ou
Timor Leste
Banque centrale du Timor Leste
Mission intégrée des Nations Unies
au Timor-Leste (MINUT)
- Médias
Sapo
Timor Today
Timor Newsline
Radio-Televisão Timor Leste
TVTL (Televizaun Timor Lorosa'e or TV Timor
L'este)
- Monnaie
- Dollar
américain.
- Partis politiques
Front Révolutionnaire du Timor Oriental
Indépendant (FRETILIN) ;
Parti Démocratique (PD) ;
Parti Social Démocrate (PSD) ;
Association Sociale Démocrate du Timor (ASDT).
- Population
- Timorais.
- 1,1
million d'habitants.
- Austronésiens,
Papous, petite minorité chinoise.
- Principales
villes
- Dili,
Manatuto, Baucau, Viqueque, Liquica.
- Religion
- Catholiques
(98 %), Musulmans (1 %), Protestants (1 %).
- Situation
géographique
- Ile
de l'archipel indonésien située à 500
kilomètres au nord de lAustralie, entre
les îles de Java, à lest, et de
Nouvelle-Guinée, à louest, et au sud des
îles de Bornéo et de Sulawasi. Le Timor
oriental est la plus grande et la plus orientale
des petites îles de la Sonde. Frontières avec
l'Indonésie.
- Offre
n° 4
Statut
- Régime
parlementaire. Président : Taur Matan Ruak (Jose
Maria de Vasconcelos) (depuis le 20 mai 2012).
Premier ministre : Kay Rala Xanana Gusmao (depuis
le 8 août 2007).
- Superficie
- 18
997 km2
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.
- (Voir
également l'espace webcam)
-
Offre n° 5
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