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dominicaine
REPUBLIQUE DOMINICAINE
-
- Nom officiel
- République
Dominicaine
- Administration
- Membre
du Commonwealth, la République Dominicaine est
divisée en 29 provinces et 1 district* : Azua,
Baoruco, Barahona, Dajabon, Distrito Nacional*,
Duarte, Elias Pina, El Seibo, Espaillat, Hato
Mayor, Independencia, La Altagracia, La Romana,
La Vega, Maria Trinidad Sanchez, Monsenor Nouel,
Monte Cristi, Monte Plata, Pedernales, Peravia,
Puerto Plata, Salcedo, Samana, Sanchez Ramirez,
San Cristobal, San Juan, San Pedro de Macoris,
Santiago, Santiago Rodriguez, Valverde.
- Capitale
- Santo
Domingo (Saint-Domingue (de Guzman))
- Chronologie
politique
- 4000 av. J.C. : Arrivée
des premiers Indiens en provenance du Yucatan.
250 av. J.C. - Installation d'une
deuxième vague de migrants, les Saladoïdes,
liés aux anciens Arawaks.
VIIIe siècle : Nouvelle vague
d'émigrants, les Tainos, qui cultivent le
manioc, la patate douce ou l'arachide.
6 décembre 1492 : Christophe Colomb débarque
sur l'île, pensant avoir trouvé les Indes. Il
la baptise la Isla Española, devenue Hispaniola.
Il a pour objectif de convertir les Indiens au
catholicisme et d'exploiter les gisements d'or.
1493 : La première ville espagnole en
Amérique est construite : La Isabela.
1494 - 1519 : Les Taïnos sont réduits
à l'esclavage par les soldats espagnols pour
exploiter les mines d'or. Ils succombent à la
malnutrition, aux maladies et aux mauvais
traitements. De 400 000 à l'arrivée de
Christophe Colomb, leur nombre passe à moins
d'un millier 25 ans plus tard.
1496 : Le frère de Christophe Colomb,
Bartolomé, fonde la ville de La Nueva Isabela,
qui remplace La Isabela, en hommage à la reine
de Castille.
1502 : La Nueva Isabela est entièrement
détruite par un cyclone. Elle est construite par
Nicolas de Ovando nommé gouverneur, sous le nom
de "Santo Domingo de Guzman (Saint Domingue
en français).
1506 : Mort de Christophe Colomb. Diego son
fils est nommé gouverneur.
1503 - 1508 : Construction du premier
hôpital, du premier évêché et de la première
université.
1515 : Exode massif des colons espagnols.
1519 : Les mines d'or sont épuisées. Les
derniers Taínos s'enfuient dans les montagnes.
1520 : Les Espagnols importent les premiers
esclaves africains pour planter les cannes à
sucre et élever le bétail.
1586 : Le pirate Sir Francis Drake prend
Saint Domingue en otage.
1630 : Des flibustiers français
débarquent sur l'île de la Torture et
s'installent sur la partie ouest d'Hispaniola.
1697 : Traité de Ryswick qui partage
l'Hispaniola entre la France, qui obtient la
partie occidentale, et l'Espagne, partie
orientale.
1776 : Traité d'Aranjuez qui délimite
officiellement le territoire entre la France et
l'Espagne.
1791 : Soulèvement des esclaves mené par
François Dominique Toussaint qui veut rattacher
l'île à Haïti. Après l'abolition de
l'esclavage par la France, en 1794, Toussaint se
rallie aux révolutionnaire.
1795 : Traité de Bâle. L'Espagne cède sa
colonie à la France. L'île entière devient
française.
1795 - 1798 : Toussaint aide le général
français Lavaux à chasser les Espagnols de
l'île. Il lui donne le surnom de Louverture pour
son courage à ouvrir des brèches dans les rangs
de l'ennemi.
1800 : François Dominique Toussaint
Louverture devient président à vie d'une
nouvelle République noire. Il signe de nombreux
traités commerciaux avec les Etats-Unis et la
Grande-Bretagne.
1801 : L'ancien esclave Toussaint
Louverture, chef de l'insurrection, occupe la
partie espagnole de Saint-Domingue pour le compte
de la France qui envoie le général Leclerc,
puis le général Rochambeau, pour rétablir
l'ordre et mater la rébellion.
1802 : Bonaparte refuse l'autonomie de
l'Hispaniola et envoie des troupes menées par le
général Leclerc. Capitulation de Toussaint qui
est déporté en France et emprisonné à Joux
(Jura) où il meurt en avril 1803.
1er janvier 1802 : Naissance de la République
d'Haïti.
1804 : Les troupes françaises sont
battues. La partie française de l'île divent la
République indépendante d'Haïti. La partie
espagnole reste sous domination française.
1808 - 1809 : Les Dominicains chassent
les dernières troupes françaises et rattachent
la partie orientale de l'île à l'Espagne.
1809 : Elle est cédée à l'Espagne.
1814 : Traité de Paris. La partie
orientale de l'île est rattachée à l'Espagne.
Décembre 1821 : Naissance de la première
République dominicaine. José Nunez de Caceres,
chef du mouvement d'indépendance dominicaine
contre l'Espagne, devient le premier président
de la République dominicaine, de décembre 1821
au 9 février 1822.
1822 : Le président haïtien Jean-Pierre
Boyer annexe la partie orientale de l'île,
qu'elle occupe jusqu'en 1844. Tensions entre
Haïtiens et Dominicains.
16 juillet 1839 : Juan Pablo Duarte, Ramon
Mella et Francisco Sanchez fondent une société
secrète, La Trinitaria, pour retrouver
l'indépendance.
27 février 1844 : Rejet de la domination
haïtienne. Révolte des Dominicains. Les troupes
haïtiennes sont chassées lors de la bataille
d'Azua le 19 mars 1844. L'île prend le nom
officiel de République dominicaine.
Juillet 1844 : Juan Pablo Duarte revient
de son exil à Curaçao et refuse le poste de
président de la nouvelle République
dominicaine.
14 novembre 1844 : Pedro Santana se fait
élire premier président constitutionnel de la
République dominicaine. Il fait exiler Juan
Pablo Duarte, Ramon Mella et Francisco Sanchez,
surnommés les "pères de la patrie".
4 août 1848 : Pedro Santana démissionne.
Il est remplacé par Manuel Jimenes Gonzales.
1849 - 1853 : Présidence de Buenaventura
Baez Mendez.
28 juillet 1858 : Coup d'Etat du général
Pedro Santana contre le président José
Desiderio Valderde.
1856 - 1858 : Présidence de
Buenaventura Baez Mendez.
Mars 1861 : Le général Pedro Santana Familias,
chef de l'armée dominicaine, fait voter la
rétrocession de la République dominicaine à
l'Espagne.
20 juillet 1862 : Pedro Santana Familias
quitte ses fonctions.
1863 : Guerre de la Restauration. La
République dominicaine retrouve son
indépendance.
1865 : Naissance de la deuxième
République. Présidence de Buenaventura Baez
Mendez.
28 mai 1880 : Promulgation d'une nouvelle
constitution.
1882 - 1899 : Dictature du général
Ulisses Heureaux.
26 juillet 1899 : Assassinat d'Ulisses
Heureaux à Moca. Chaos économique.
1905 : Banqueroute. Les Etats-Unis prennent
en charge la dette extérieure.
1907 : Les Etats-Unis prennent le contrôle
des finances nationales.
1916 - 1924 : Occupation américaine.
1924 : Election de Horacio Vasquez.
11 avril 1930 : Coup d'Etat du général en
chef de l'armée dominicaine, Rafael Leonidas
Trujillo, qui renverse Horacio Vasquez.
1930 - 1961 : Dictature répressive du
général Rafael Leonidas Trujillo.
1936 : Santo Domingo, la capitale, est
rebaptisée Ciudad Trujillo.
1952 - 1960 : Hector Trujillo, frère de
Rafael, président.
30 mai 1961 : Assassinat de Rafael
Leonidas Trujillo après qu'il eût essayer de
faire assassiner le président du Venezuela,
Romulo Bentacourt.
Décembre 1962 : Juan Bosh Gavino, premier
président démocratiquement élu, après la
dictature de Rafael Trujillo.
18 janvier 1962 6 27 février 1963 : : Rafael F.
Bonnelly président.
27 février 1963 : Premières élections
libres depuis 38 ans. Juan Bosh élu président,
est renversé par un triumvirat soutenu par
l'armée.
24 avril 1965 : Coup d'Etat militaire.
Guerre civile. Intervention des Etats-Unis.
1966-1978 : Présidence de Joaquin Balaguer.
1978-1982 : Présidence d'Antonio Guzman, chef
du Parti révolution dominicain.
1982-1986 : Présidence de Jorge Blanco.
1986-1996 : Réélection de Joaquin Balaguer.
1994 : Réélection truquée de Joaquin
Balaguer. Hausse des prix, ce qui provoque des
troubles.
1996-2000 : Présidence de Leonel Fernandez.
2000-2004 : Présidence de Hipolito Mejia.
1er novembre 2001 : Décès de l'ancien
président Juan Bosch à l'âge de 92 ans.
2004-2012 : Réélection de Leonel Fernandez.
2012 : Election de Danilo Medina Sanchez.
Mardi 16 juillet 2002 : Joaquin
Balaguer, qui dirigea le pays de 1966 à 1996,
est mort dimanche à l'âge de 95 ans. Ses
mandats se sont caractérisés par la
répression, le crime contre les opposants, la
déportation et l'emprisonnement de milliers de
jeunes, la fraude lors des scrutins
présidentiels et la ruine de l'économie du
pays.
Vendredi 7 février 2003 : Une grève
générale de 24 H, mercredi, à l'appel des
syndicats pour protester contre la hausse des
prix des carburants et du coût de la vie, s'est
terminée par des graves affrontements avec la
police. 15 personnes ont été blessées dont 8
par balles selon des sources policières. 250
manifestants ont été arrêtés.
Lundi 17 février 2003 : La FIDH a
saisi lundi dernier la Cour Pénale
Internationale pour crimes de guerre. C'est la
première plainte déposée devant la CPI, qui a
vu le jour le 1er juillet 2002.
Jeudi 13 novembre 2003 : La grève
générale qui a frappé mardi tout le pays, à
l'appel des syndicats mécontents de la politique
du président Hippolito Mejia Dominguez, s'est
terminée en de violents affrontements avec les
forces de l'ordre faisant 7 morts et de nombreux
blessés. Les manifestants protestaient contre
les hausses des prix des combustibles et des
produits de première nécessité, le projet
gouvernemental de création de nouveaux impôts.
Ils demandaient notamment une amélioration du
réseau électrique qui reste coupé parfois
pendant plus de 20 heures par jour. Les
organisations sociales ont quant à elles appelé
à un arrêt du remboursement de la dette
extérieure du pays estimée à 5 milliards de
dollars et la fin des accords avec le FMI, dont
une équipe est attendue à Saint-Domingue pour
trouver un accord de financement de 600 millions
de dollars sur deux ans. La police et l'armée
ont arrêté plus de 1 000 personnes liées à la
préparation de la grève et s'est déployée
très tôt mercredi dans les rues de la capitale
appuyée par des véhicules militaires armés de
mitrailleuse. La République Dominicaine connaît
depuis plus de deux ans une grave crise
financière et monétaire suite à la faillite
(pour fraude) de la 2ème plus importante banque
commerciale du pays, la "Banco
Intercontinental" (Baninter). Selon un
rapport de la banque centrale établi à la suite
d'une enquête d'experts internationaux, la
faillite de Baninter se solde par un trou d'au
moins 55 milliards de pesos (2 145 milliards
d'euros), somme équivalant à 80 % du budget de
l'Etat dominicain. L'inflation devrait atteindre
cette année 35 %.
Mercredi 18 février 2004 : La
République dominicaine a annoncé lundi la
fermeture de sa frontière avec Haïti face à
l'insurrection haïtienne qui gagne tout le pays.
Jeudi 22 avril 2004 : Après
l'Espagne et le Honduras, la République
Dominicaine a annoncé le retrait "le plus
tôt possible" de ses 350 soldats déployés
en Irak.
Lundi 17 mai 2004 : 6 millions
de personnes se sont rendus aux urnes dimanche
pour élire leur président dans un pays touché
de plein fouet par une crise économique sans
précédent. Avec une dette extérieure de 6
milliards d'euros, une baisse de la production
industrielle de 7 %, une augmentation de la dette
publique, une dévaluation de la monnaie locale
et une augmentation de l'inflation. 11 candidats
s'opposaient. 3000 observateurs d'organisations
civiles surveillent le scrutin où la fraude est
courante. Le président sortant, le
social-démocrate Hipolito Mejia, est opposé à
l'ancien président Leonel Fernandez, 50 ans,
candidat du Parti de la libération dominicaine
(PLD, centre-droit), en poste de 1996 à 2000 qui est
donné vainqueur dans les sondages. Une fusillade
a éclaté dimanche entre les partisans du
président sortant Hipolito Mejia et de Leonel
Fernandez faisant 3 morts parmi les militants. La
campagne électorale avait été également
émaillée de violences. 6 personnes ont trouvé
la mort.
Mardi 18 mai 2004 : L'ancien
président libéral Leonel Fernandez a remporté
l'élection présidentielle de dimanche 54 % des
voix contre 39 % au président sortant Hipolito
Mejia qui a reconnu sa défaite.
Mardi 25 mai 2004 : 43
personnes ont trouvé la mort lors d'inondations
qui ont touché la ville de Jimani, dans l'ouest
du pays, près de la frontière avec Haïti. De
fortes pluies se sont abattues tout le week-end
sur cette zone où 450 maisons ont été
endommagées. Des coupures d'électricité et de
téléphone ont touché 14 petites villes.
Vendredi 28 mai 2004 : Le bilan
des pluies torrentielles de ce week end est
également élevé. Au moins 417 corps ont été
retrouvés et quelque 400 personnes sont toujours
portées disparues.
Lundi 31 mai 2004 : Le bilan
fourni vendredi fait état de 350 morts et 374
personnes portées disparues. La zone la plus
touchée est celle de Jimani, à la frontière
avec Haïti.
Mardi 8 mars 2005 : 133
détenus seraient morts et 26 blessés dans un
incendie dans une prison de l'est du pays suite
à une rixe entre détenus. Selon la police,
"une personne a pénétré dans la prison
avec une arme à feu et se serait battue avec une
autre personne armée d'une machette".
L'ensemble du personnel, y compris le directeur
de l'établissement Andres Genaro, a été placé
en état d'arrestation. "Construite pour 180
personnes, la prison accueille 400 détenus"
a dénoncé l'évêque de Higuey, Nicanor Pena.
Le président de la chambre des députés,
Alfredo Pacheco, a estimé que "l'état des
prisons du pays, insalubres et surpeuplées, en
faisait des centres d'apprentissage de la
délinquance et conduisait à ce genre de
tragédie".
Jeudi 18 mai 2006 : Après les
élections législatives qui se sont déroulées
mardi 16 mai 2006, et selon des résultats
provisoires, le parti du président Leonel
Fernandez, parti de libération dominicain (PLD),
arriverait en tête dans 23 des 32 provinces du
pays. Des violences ont émaillé le scrutin. 8
personnes ont été blessées lors de fusillades
dans le nord du pays.
Vendredi 2 novembre 2007 : La tempête
tropicale Noël, qui s'est abattue dimanche 28
octobre 2007 sur le pays, a fait 73 morts, les
pluies diluviennes ayant entraîné des coulées
de boues qui ont tout emporté sur leur passage.
Le président Leonel Fernandez a décrété
l'état d'urgence mercredi 31 octobre 2007 et
demander aux institutions multinationales
financières de prêter 200 millions de dollars
à son pays pour reconstruire les routes, les
ponts et le réseau électrique, endommagés par
la tempête.
Jeudi 8 novembre 2007 : L'ONU a
lancé un appel éclair de 14 millions de dollars
pour aider dans les 6 prochains mois les victimes
des intempéries qui ont touché la Républicaine
dominicaine endommageant 80 % des récoltes et 26
des 32 provinces. 65 000 personnes ont été
déplacées.
Samedi 29 décembre 2007 : L'ONU a
procédé cette semaine à la révision de son
appel humanitaire pour la République
dominicaine, demandant 4,1 millions de dollars
supplémentaires pour les victimes des
inondations survenues après le passage de la
tempête Olga.
Lundi 10 mars 2008 : Lors du 20e
sommet du Groupe de Rio, instance régionale
créée en 1986 et qui regroupe 19 pays
d'Amérique latine et des Caraïbes, dont le but
est de promouvoir la coordination politique et la
coopération économique, qui s'est ouvert
vendredi 7 mars 2008 à Saint Domingue, les
présidents du Vénézuela, Hugo Chavez, de
l'Equateur, Rafael Correa, et colombien, Alvaro
Uribe ont mis un terme à leur différend
provoqué par l'intervention militaire
colombienne contre les FARC (Forces armées
révolutionnaires de Colombie) en Equateur, au
cours de laquelle le numéro 2 des FARC, Raul
Reyes, avait été tué, après les excuses
présentées par Alvaro Uribe.
Samedi 17 mai 2008 : 6 millions
d'électeurs étaient appelés aux urnes vendredi
16 mai 2008 pour élire leur président. Le
président sortant Leonel Fernandez Reyna est
donné favori pour briguer un troisième mandat
parmi 7 candidats. Son principal rival est Miguel
Vargas Maldonado du Parti révolutionnaire
dominicain. 42 000 policiers et soldats ont été
déployés dans le pays pour assurer le bon
déroulement du vote. 200 observateurs
internationaux surveillent le scrutin. Si aucun
candidat ne remporte la majorité absolue, un
second tour sera organisé dans les 45 jours
entre les 2 candidats qui auront obtenu, au
premier tour, le plus grand nombre de voix.
Mercredi 23 juillet 2008 : Un
séminaire régional de 3 jours portant sur la
sécurité nucléaire s'est ouvert lundi 21
juillet 2008 en présence des représentants des
14 pays de la région Caraïbes, à l'initiative
de l'Agence internationale à l'énergie atomique
(AIEA) et le gouvernement dominicain.
Lundi 1er decembre 2008 : Le
président du Sénat, Reinaldo Pared Pérez,
également secrétaire général du Parti de la
libération dominicaine (PLD) au pouvoir, a
indiqué jeudi 28 novembre 2008 que les
déclarations de l'ambassadeur des Etats-Unis,
Robert P. Fannin, qui s'exprimait mercredi 27
novembre 2008 devant les membres la Chambre de
commerce américaine affirmant que "la
République dominicaine manquait de beaucoup pour
être un Etat de droit fiable" et que
"de nombreux fonctionnaires et militaires
étaient impliqués dans le trafic de
drogue", étaient "une intrusion grave
et intolérable" dans les affaires
intérieures du pays. Il a demandé au
gouvernement de se prononcer et de condamner
"cette interférence" grave. (Reproduction
interdite)
Vendredi 19 juin 2009 : Selon un
rapport du Département d'Etat américain portant
sur le trafic et la traite des êtres humains, et
présenté jeudi 18 juin 2009 par la secrétaire
d'Etat, Hillary Rodham Clinton, qui révèle que
la République dominicaine est devenue "un
territoire de transit et de destination pour des
hommes, des femmes et des enfants victimes de la
traite, de lexploitation sexuelle et du
travail forcé". Le rapport ajoute que des
femmes dominicaines sont vendues à des fins
dexploitation sexuelle en Argentine, en
Australie, au Brésil, Costa Rica, Chypre,
Suisse, Turquie, Venezuela, Pays- Bas, Panama,
Slovénie, Surinam et aussi en Haïti. Dans
certains cas ce sont les pères qui poussent
leurs enfants à la prostitution afin que ces
derniers puissent aider la famille. Le rapport du
Département d'Etat dénonce l'attitude du
gouvernement dominicain "qui ne montre pas
de signes de progrès dans la poursuite et
ladoption de sanctions contre des
fonctionnaires qui se seraient rendus complices
de ces pratiques dexploitation". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 11 juillet 2009 : Le
président du Honduras, José Manuel Zelaya
Rosalès, destitué à la suite d'un coup d'Etat
militaire le 28 juin 2009, en exil depuis cette
date au Costa Rica, a déclaré à Santo Domingo,
la capitale, après une entrevue avec le
président Leonel Fernandez, que ce dernier
allait soumettre la situation politique au
Honduras au sommet du Mouvement des pays
non-alignés (MNA) qui doit se tenir du lundi 13
au vendredi 17 juillet 2009 à Charm El Cheikh en
Egypte. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 14 novembre 2009 : Le
secrétaire d'Etat français à la Coopération,
Alain Joyandet, et le procureur général de la
République dominicaine, Radhames Jimenez, ont
signé vendredi 13 novembre 2009 à Santo Domingo
la capitale un accord qui permettra aux
prisonniers des 2 Etats de purger leur peine dans
leur pays d'origine. 19 Français purgent des
peines de prison en République dominicaine, dont
Sarah Zaknoun (19 ans) et Céline Faye (20 ans),
qui ont été condamnées à 8 ans de prison pour
trafic de drogue en 2008, après la découverte
de six kilos de cocaïne dans leurs bagages.
L'accord doit maintenant être ratifié par les 2
pays, une procédure qui devra prendre près d'un
an, selon Alain Joyandet. Ce dernier a été
également reçu par le président Leonel
Fernandez, qui effectuera en décembre 2009 une
visite officielle en France. Les entretiens ont
porté sur des questions d'environnement, de
coopération économique et de lutte contre le
trafic de drogue. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
Jeudi 21 janvier 2010 : En visite
dans ce pays, le président élu du Honduras,
Porfirio Lobo Sosa, élu le 29 novembre 2009 et
qui sera investi dans ses fonctions le mercredi
27 janvier 2010, a signé un accord avec le
président dominicain Leonel Fernandez dans
lequel il s'engage "à "dicter un
arrêt de sauf-conduit en faveur du président
Manuel Zelaya et sa famille afin qu'ils puissent
exercer pleinement leurs droits de citoyens de
disposer de liberté de circulation" qui
pourront "rejoindre la République
dominicaine le 27 janvier 2010 en qualité
d'hôte de cette nation". Le président
dominicain Leonel Fernandez a indiqué qu'il se
rendrait à la cérémonie d'investiture du
président du Honduras "et "regagnerait
son pays en compagnie de M. Zelaya". Manuel
Zelaya, président élu du Honduras, avait été
destitué le 28 juin 2009 par un coup d'Etat
militaire. Il est réfugié depuis le 24
septembre 2009 à l'ambassade du Brésil à
Tégucigalpa la capitale. Alors qu'il
s'apprêtait mercredi 9 décembre 2009, à
quitter l'ambassade du Brésil pour se rendre au
Mexique qui lui offre l'accueil, Manuel Zelaya a
refusé de partir, car le gouvernement en place
à la suite du coup d'Etat militaire du 28 juin
2009, lui accordera un sauf-conduit que
"s'il signe une lettre de démission et
"demande l'asile politique à
l'étranger". Manuel Zelaya a indiqué à la
chaîne de télévision Telesur qu'il ne demande
l'asile à aucun pays ajoutant qu'un
"éventuel départ du Honduras devra se
faire en tant que président du peuple
hondurien". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Jeudi 28 janvier 2010 : L'ancien
président du Honduras, Manuel Zelaya, destitué
après le coup d'Etat du 28 juin 2009, est
arrivé mercredi 27 janvier 2010 sur la base
aérienne de San Isidro dans les environs de la
capitale Saint-Domingue. Réfugié depuis le 24
septembre 2009 à l'ambassade du Brésil à
Tégucigalpa, la capitale du Honduras, alors
qu'il s'apprêtait mercredi 9 décembre 2009, à
quitter l'ambassade du Brésil pour se rendre au
Mexique qui lui offre l'accueil, Manuel Zelaya a
refusé de partir, car le gouvernement en place
à la suite du coup d'Etat militaire du 28 juin
2009, lui accordera un sauf-conduit que
"s'il signe une lettre de démission et
"demande l'asile politique à
l'étranger". En visite en République
dominicaine, le président du Honduras, Porfirio
Lobo Sosa, élu le 29 novembre 2009 et qui a
été investi dans ses fonctions le mercredi 27
janvier 2010, avait signé un accord avec le
président dominicain Leonel Fernandez dans
lequel il s'engage "à "dicter un
arrêt de sauf-conduit en faveur du président
Manuel Zelaya et sa famille afin qu'ils puissent
exercer pleinement leurs droits de citoyens de
disposer de liberté de circulation" qui
pourront "rejoindre la République
dominicaine le 27 janvier 2010 en qualité
d'hôte de cette nation". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 12 février 2010 : Le
Secrétaire général adjoint aux affaires
humanitaires et Coordonnateur des secours
d'urgence, John Holmes, est
arrivé jeudi à Saint-Domingue, où il devait
rencontrer le Président dominicain, Leonel
Fernandez Reyna, pour lui faire part de sa
reconnaissance pour le travail réalisé par la
République dominicaine au nom du peuple d'Haïti
après le séisme du 12 janvier 2010. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
- Climat
- Subtropical
humide. Cyclones de juin à novembre.
- Code ISO
- DO
- Devise nationale
- Dieu,
patrie, liberté.
- Drapeau
- Economie
- Tabac,
riz, cacao, café, canne à sucre, ananas
- Fête nationale
- 27
février (1844, indépendance)
- Langue officielle
- Espagnol.
- Liens
- La Présidence de la République
Dominicaine
Portail du gouvernement de
République dominicaine
Ministère du Tourisme
Sénat de la République dominicaine
- Ambassade de la République
Dominicaine à Paris
Ambassade de France en République
dominicaine
Banque centrale de la République
dominicaine
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vacances de rêve en République Dominicaine :
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immobilier, etc.
- Formalités pour un voyage en
République Dominicaine
- Partir en République Dominicaine, la perle
des Caraïbes
Dos coco locos con ron por favor : Reportage
photo d'un séjour à Punta Cana, République
Dominicaine en Octobre 2003 ; excursions et coco
loco à gogo !
- Médias
- El Nacional
- Ultima Hora
- En el
Punto, rumbodiario
- Listin Diario
- Hoy (Aujourd'hui)
- Offre
n° 3
Monnaie
- Peso
dominicain.
- Partis politiques
- PRSC
: Parti de la Réforme Socialiste Chrétienne
- PLD :
Parti de Libération Dominicaine
- PRD :
Parti Révolutionnaire Dominicain
- PTD :
Parti Travailliste Dominicain
- UD :
Union Démocratique
- Population
- 8,2
millions d'habitants
- Principales
villes
- Santo
Domingo, Puerto Plata, San Juan, Saman
- Offre
n° 4
Religion
- Catholique
(99 %). Rites vaudous (1 %)
- Situation
géographique
- Pays
des Grandes des Antilles, qui occupe près des 2
tiers de l'Ile d'Hispaniola, en mer des
Caraïbes. Frontières avec Haïti. 1 600
kilomètres de plages.
- Statut
- Démocratie
présidentielle. Président et chef du
gouvernement : Luis Rodolfo Abinader Corona
(depuis le 16 août 2020) ; Vice-Président
Raquel Pena de Antuna (depuis le 16 août 2020).
- Superficie
- 48
734 km2
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.
- (Voir
également l'espace webcam)
Offre
n° 5
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