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Le drapeau de la République Dominicaine



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Nom officiel
République Dominicaine
Administration
Membre du Commonwealth, la République Dominicaine est divisée en 29 provinces et 1 district* : Azua, Baoruco, Barahona, Dajabon, Distrito Nacional*, Duarte, Elias Pina, El Seibo, Espaillat, Hato Mayor, Independencia, La Altagracia, La Romana, La Vega, Maria Trinidad Sanchez, Monsenor Nouel, Monte Cristi, Monte Plata, Pedernales, Peravia, Puerto Plata, Salcedo, Samana, Sanchez Ramirez, San Cristobal, San Juan, San Pedro de Macoris, Santiago, Santiago Rodriguez, Valverde.
Capitale
Santo Domingo (Saint-Domingue (de Guzman))
Chronologie politique
- 4000 av. J.C. : Arrivée des premiers Indiens en provenance du Yucatan.

250 av. J.C. -
Installation d'une deuxième vague de migrants, les Saladoïdes, liés aux anciens Arawaks.

VIIIe siècle :
Nouvelle vague d'émigrants, les Tainos, qui cultivent le manioc, la patate douce ou l'arachide.

6 décembre 1492 :
Christophe Colomb débarque sur l'île, pensant avoir trouvé les Indes. Il la baptise la Isla Española, devenue Hispaniola. Il a pour objectif de convertir les Indiens au catholicisme et d'exploiter les gisements d'or.

1493 :
La première ville espagnole en Amérique est construite : La Isabela.

1494 - 1519 :
Les Taïnos sont réduits à l'esclavage par les soldats espagnols pour exploiter les mines d'or. Ils succombent à la malnutrition, aux maladies et aux mauvais traitements. De 400 000 à l'arrivée de Christophe Colomb, leur nombre passe à moins d'un millier 25 ans plus tard.

1496 :
Le frère de Christophe Colomb, Bartolomé, fonde la ville de La Nueva Isabela, qui remplace La Isabela, en hommage à la reine de Castille.

1502 :
La Nueva Isabela est entièrement détruite par un cyclone. Elle est construite par Nicolas de Ovando nommé gouverneur, sous le nom de "Santo Domingo de Guzman (Saint Domingue en français).

1506 :
Mort de Christophe Colomb. Diego son fils est nommé gouverneur.

1503 - 1508 :
Construction du premier hôpital, du premier évêché et de la première université.

1515 :
Exode massif des colons espagnols.

1519 :
Les mines d'or sont épuisées. Les derniers Taínos s'enfuient dans les montagnes.

1520 :
Les Espagnols importent les premiers esclaves africains pour planter les cannes à sucre et élever le bétail.

1586 :
Le pirate Sir Francis Drake prend Saint Domingue en otage.

1630 :
Des flibustiers français débarquent sur l'île de la Torture et s'installent sur la partie ouest d'Hispaniola.

1697 :
Traité de Ryswick qui partage l'Hispaniola entre la France, qui obtient la partie occidentale, et l'Espagne, partie orientale.

1776 :
Traité d'Aranjuez qui délimite officiellement le territoire entre la France et l'Espagne.

1791 :
Soulèvement des esclaves mené par François Dominique Toussaint qui veut rattacher l'île à Haïti. Après l'abolition de l'esclavage par la France, en 1794, Toussaint se rallie aux révolutionnaire.

1795 :
Traité de Bâle. L'Espagne cède sa colonie à la France. L'île entière devient française.

1795 - 1798 :
Toussaint aide le général français Lavaux à chasser les Espagnols de l'île. Il lui donne le surnom de Louverture pour son courage à ouvrir des brèches dans les rangs de l'ennemi.

1800 :
François Dominique Toussaint Louverture devient président à vie d'une nouvelle République noire. Il signe de nombreux traités commerciaux avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne.

1801 :
L'ancien esclave Toussaint Louverture, chef de l'insurrection, occupe la partie espagnole de Saint-Domingue pour le compte de la France qui envoie le général Leclerc, puis le général Rochambeau, pour rétablir l'ordre et mater la rébellion.

1802 :
Bonaparte refuse l'autonomie de l'Hispaniola et envoie des troupes menées par le général Leclerc. Capitulation de Toussaint qui est déporté en France et emprisonné à Joux (Jura) où il meurt en avril 1803.

1er janvier 1802 :
Naissance de la République d'Haïti.

1804 :
Les troupes françaises sont battues. La partie française de l'île divent la République indépendante d'Haïti. La partie espagnole reste sous domination française.

1808 - 1809 :
Les Dominicains chassent les dernières troupes françaises et rattachent la partie orientale de l'île à l'Espagne.

1809 :
Elle est cédée à l'Espagne.

1814 :
Traité de Paris. La partie orientale de l'île est rattachée à l'Espagne.

Décembre 1821 :
Naissance de la première République dominicaine. José Nunez de Caceres, chef du mouvement d'indépendance dominicaine contre l'Espagne, devient le premier président de la République dominicaine, de décembre 1821 au 9 février 1822.

1822 :
Le président haïtien Jean-Pierre Boyer annexe la partie orientale de l'île, qu'elle occupe jusqu'en 1844. Tensions entre Haïtiens et Dominicains.

16 juillet 1839 :
Juan Pablo Duarte, Ramon Mella et Francisco Sanchez fondent une société secrète, La Trinitaria, pour retrouver l'indépendance.

27 février 1844 :
Rejet de la domination haïtienne. Révolte des Dominicains. Les troupes haïtiennes sont chassées lors de la bataille d'Azua le 19 mars 1844. L'île prend le nom officiel de République dominicaine.

Juillet 1844 :
Juan Pablo Duarte revient de son exil à Curaçao et refuse le poste de président de la nouvelle République dominicaine.

14 novembre 1844 :
Pedro Santana se fait élire premier président constitutionnel de la République dominicaine. Il fait exiler Juan Pablo Duarte, Ramon Mella et Francisco Sanchez, surnommés les "pères de la patrie".

4 août 1848 :
Pedro Santana démissionne. Il est remplacé par Manuel Jimenes Gonzales.

1849 - 1853 :
Présidence de Buenaventura Baez Mendez.

28 juillet 1858 :
Coup d'Etat du général Pedro Santana contre le président José Desiderio Valderde.

1856 - 1858 :
Présidence de Buenaventura Baez Mendez.

Mars 1861 :
Le général Pedro Santana Familias, chef de l'armée dominicaine, fait voter la rétrocession de la République dominicaine à l'Espagne.

20 juillet 1862 :
Pedro Santana Familias quitte ses fonctions.

1863 :
Guerre de la Restauration. La République dominicaine retrouve son indépendance.

1865 :
Naissance de la deuxième République. Présidence de Buenaventura Baez Mendez.

28 mai 1880 :
Promulgation d'une nouvelle constitution.

1882 - 1899 :
Dictature du général Ulisses Heureaux.

26 juillet 1899 :
Assassinat d'Ulisses Heureaux à Moca. Chaos économique.

1905 :
Banqueroute. Les Etats-Unis prennent en charge la dette extérieure.

1907 :
Les Etats-Unis prennent le contrôle des finances nationales.

1916 - 1924 :
Occupation américaine.

1924 :
Election de Horacio Vasquez.

11 avril 1930 :
Coup d'Etat du général en chef de l'armée dominicaine, Rafael Leonidas Trujillo, qui renverse Horacio Vasquez.

1930 - 1961 :
Dictature répressive du général Rafael Leonidas Trujillo.

1936 :
Santo Domingo, la capitale, est rebaptisée Ciudad Trujillo.

1952 - 1960 :
Hector Trujillo, frère de Rafael, président.

30 mai 1961 :
Assassinat de Rafael Leonidas Trujillo après qu'il eût essayer de faire assassiner le président du Venezuela, Romulo Bentacourt.

Décembre 1962 :
Juan Bosh Gavino, premier président démocratiquement élu, après la dictature de Rafael Trujillo.

18 janvier 1962 6 27 février 1963 : :
Rafael F. Bonnelly président.

27 février 1963 :
Premières élections libres depuis 38 ans. Juan Bosh élu président, est renversé par un triumvirat soutenu par l'armée.

24 avril 1965 :
Coup d'Etat militaire. Guerre civile. Intervention des Etats-Unis.

1966-1978 :
Présidence de Joaquin Balaguer.

1978-1982 :
Présidence d'Antonio Guzman, chef du Parti révolution dominicain.

1982-1986 :
Présidence de Jorge Blanco.

1986-1996 :
Réélection de Joaquin Balaguer.

1994 :
Réélection truquée de Joaquin Balaguer. Hausse des prix, ce qui provoque des troubles.

1996-2000 :
Présidence de Leonel Fernandez.

2000-2004 :
Présidence de Hipolito Mejia.

1er novembre 2001 :
Décès de l'ancien président Juan Bosch à l'âge de 92 ans.

2004-2012 :
Réélection de Leonel Fernandez.

2012 :
Election de Danilo Medina Sanchez.

Mardi 16 juillet 2002 :
Joaquin Balaguer, qui dirigea le pays de 1966 à 1996, est mort dimanche à l'âge de 95 ans. Ses mandats se sont caractérisés par la répression, le crime contre les opposants, la déportation et l'emprisonnement de milliers de jeunes, la fraude lors des scrutins présidentiels et la ruine de l'économie du pays.

Vendredi 7 février 2003 : Une grève générale de 24 H, mercredi, à l'appel des syndicats pour protester contre la hausse des prix des carburants et du coût de la vie, s'est terminée par des graves affrontements avec la police. 15 personnes ont été blessées dont 8 par balles selon des sources policières. 250 manifestants ont été arrêtés.

Lundi 17 février 2003 : La FIDH a saisi lundi dernier la Cour Pénale Internationale pour crimes de guerre. C'est la première plainte déposée devant la CPI, qui a vu le jour le 1er juillet 2002.

Jeudi 13 novembre 2003 : La grève générale qui a frappé mardi tout le pays, à l'appel des syndicats mécontents de la politique du président Hippolito Mejia Dominguez, s'est terminée en de violents affrontements avec les forces de l'ordre faisant 7 morts et de nombreux blessés. Les manifestants protestaient contre les hausses des prix des combustibles et des produits de première nécessité, le projet gouvernemental de création de nouveaux impôts. Ils demandaient notamment une amélioration du réseau électrique qui reste coupé parfois pendant plus de 20 heures par jour. Les organisations sociales ont quant à elles appelé à un arrêt du remboursement de la dette extérieure du pays estimée à 5 milliards de dollars et la fin des accords avec le FMI, dont une équipe est attendue à Saint-Domingue pour trouver un accord de financement de 600 millions de dollars sur deux ans. La police et l'armée ont arrêté plus de 1 000 personnes liées à la préparation de la grève et s'est déployée très tôt mercredi dans les rues de la capitale appuyée par des véhicules militaires armés de mitrailleuse. La République Dominicaine connaît depuis plus de deux ans une grave crise financière et monétaire suite à la faillite (pour fraude) de la 2ème plus importante banque commerciale du pays, la "Banco Intercontinental" (Baninter). Selon un rapport de la banque centrale établi à la suite d'une enquête d'experts internationaux, la faillite de Baninter se solde par un trou d'au moins 55 milliards de pesos (2 145 milliards d'euros), somme équivalant à 80 % du budget de l'Etat dominicain. L'inflation devrait atteindre cette année 35 %.

Mercredi 18 février 2004 : La République dominicaine a annoncé lundi la fermeture de sa frontière avec Haïti face à l'insurrection haïtienne qui gagne tout le pays.

Jeudi 22 avril 2004 :
Après l'Espagne et le Honduras, la République Dominicaine a annoncé le retrait "le plus tôt possible" de ses 350 soldats déployés en Irak.

Lundi 17 mai 2004 : 6 millions de personnes se sont rendus aux urnes dimanche pour élire leur président dans un pays touché de plein fouet par une crise économique sans précédent. Avec une dette extérieure de 6 milliards d'euros, une baisse de la production industrielle de 7 %, une augmentation de la dette publique, une dévaluation de la monnaie locale et une augmentation de l'inflation. 11 candidats s'opposaient. 3000 observateurs d'organisations civiles surveillent le scrutin où la fraude est courante. Le président sortant, le social-démocrate Hipolito Mejia, est opposé à l'ancien président Leonel Fernandez, 50 ans, candidat du Parti de la libération dominicaine (PLD, centre-droit), en poste de 1996 à 2000 qui est donné vainqueur dans les sondages. Une fusillade a éclaté dimanche entre les partisans du président sortant Hipolito Mejia et de Leonel Fernandez faisant 3 morts parmi les militants. La campagne électorale avait été également émaillée de violences. 6 personnes ont trouvé la mort.

Mardi 18 mai 2004 : L'ancien président libéral Leonel Fernandez a remporté l'élection présidentielle de dimanche 54 % des voix contre 39 % au président sortant Hipolito Mejia qui a reconnu sa défaite.

Mardi 25 mai 2004 : 43 personnes ont trouvé la mort lors d'inondations qui ont touché la ville de Jimani, dans l'ouest du pays, près de la frontière avec Haïti. De fortes pluies se sont abattues tout le week-end sur cette zone où 450 maisons ont été endommagées. Des coupures d'électricité et de téléphone ont touché 14 petites villes.

Vendredi 28 mai 2004 : Le bilan des pluies torrentielles de ce week end est également élevé. Au moins 417 corps ont été retrouvés et quelque 400 personnes sont toujours portées disparues.

Lundi 31 mai 2004 : Le bilan fourni vendredi fait état de 350 morts et 374 personnes portées disparues. La zone la plus touchée est celle de Jimani, à la frontière avec Haïti.

Mardi 8 mars 2005 : 133 détenus seraient morts et 26 blessés dans un incendie dans une prison de l'est du pays suite à une rixe entre détenus. Selon la police, "une personne a pénétré dans la prison avec une arme à feu et se serait battue avec une autre personne armée d'une machette". L'ensemble du personnel, y compris le directeur de l'établissement Andres Genaro, a été placé en état d'arrestation. "Construite pour 180 personnes, la prison accueille 400 détenus" a dénoncé l'évêque de Higuey, Nicanor Pena. Le président de la chambre des députés, Alfredo Pacheco, a estimé que "l'état des prisons du pays, insalubres et surpeuplées, en faisait des centres d'apprentissage de la délinquance et conduisait à ce genre de tragédie".

Jeudi 18 mai 2006 : Après les élections législatives qui se sont déroulées mardi 16 mai 2006, et selon des résultats provisoires, le parti du président Leonel Fernandez, parti de libération dominicain (PLD), arriverait en tête dans 23 des 32 provinces du pays. Des violences ont émaillé le scrutin. 8 personnes ont été blessées lors de fusillades dans le nord du pays.

Vendredi 2 novembre 2007 : La tempête tropicale Noël, qui s'est abattue dimanche 28 octobre 2007 sur le pays, a fait 73 morts, les pluies diluviennes ayant entraîné des coulées de boues qui ont tout emporté sur leur passage. Le président Leonel Fernandez a décrété l'état d'urgence mercredi 31 octobre 2007 et demander aux institutions multinationales financières de prêter 200 millions de dollars à son pays pour reconstruire les routes, les ponts et le réseau électrique, endommagés par la tempête.

Jeudi 8 novembre 2007 : L'ONU a lancé un appel éclair de 14 millions de dollars pour aider dans les 6 prochains mois les victimes des intempéries qui ont touché la Républicaine dominicaine endommageant 80 % des récoltes et 26 des 32 provinces. 65 000 personnes ont été déplacées.

Samedi 29 décembre 2007 : L'ONU a procédé cette semaine à la révision de son appel humanitaire pour la République dominicaine, demandant 4,1 millions de dollars supplémentaires pour les victimes des inondations survenues après le passage de la tempête Olga.

Lundi 10 mars 2008 : Lors du 20e sommet du Groupe de Rio, instance régionale créée en 1986 et qui regroupe 19 pays d'Amérique latine et des Caraïbes, dont le but est de promouvoir la coordination politique et la coopération économique, qui s'est ouvert vendredi 7 mars 2008 à Saint Domingue, les présidents du Vénézuela, Hugo Chavez, de l'Equateur, Rafael Correa, et colombien, Alvaro Uribe ont mis un terme à leur différend provoqué par l'intervention militaire colombienne contre les FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) en Equateur, au cours de laquelle le numéro 2 des FARC, Raul Reyes, avait été tué, après les excuses présentées par Alvaro Uribe.

Samedi 17 mai 2008 : 6 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes vendredi 16 mai 2008 pour élire leur président. Le président sortant Leonel Fernandez Reyna est donné favori pour briguer un troisième mandat parmi 7 candidats. Son principal rival est Miguel Vargas Maldonado du Parti révolutionnaire dominicain. 42 000 policiers et soldats ont été déployés dans le pays pour assurer le bon déroulement du vote. 200 observateurs internationaux surveillent le scrutin. Si aucun candidat ne remporte la majorité absolue, un second tour sera organisé dans les 45 jours entre les 2 candidats qui auront obtenu, au premier tour, le plus grand nombre de voix.

Mercredi 23 juillet 2008 : Un séminaire régional de 3 jours portant sur la sécurité nucléaire s'est ouvert lundi 21 juillet 2008 en présence des représentants des 14 pays de la région Caraïbes, à l'initiative de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA) et le gouvernement dominicain.

Lundi 1er decembre 2008 : Le président du Sénat, Reinaldo Pared Pérez, également secrétaire général du Parti de la libération dominicaine (PLD) au pouvoir, a indiqué jeudi 28 novembre 2008 que les déclarations de l'ambassadeur des Etats-Unis, Robert P. Fannin, qui s'exprimait mercredi 27 novembre 2008 devant les membres la Chambre de commerce américaine affirmant que "la République dominicaine manquait de beaucoup pour être un Etat de droit fiable" et que "de nombreux fonctionnaires et militaires étaient impliqués dans le trafic de drogue", étaient "une intrusion grave et intolérable" dans les affaires intérieures du pays. Il a demandé au gouvernement de se prononcer et de condamner "cette interférence" grave. (Reproduction interdite)

Vendredi 19 juin 2009 : Selon un rapport du Département d'Etat américain portant sur le trafic et la traite des êtres humains, et présenté jeudi 18 juin 2009 par la secrétaire d'Etat, Hillary Rodham Clinton, qui révèle que la République dominicaine est devenue "un territoire de transit et de destination pour des hommes, des femmes et des enfants victimes de la traite, de l’exploitation sexuelle et du travail forcé". Le rapport ajoute que des femmes dominicaines sont vendues à des fins d’exploitation sexuelle en Argentine, en Australie, au Brésil, Costa Rica, Chypre, Suisse, Turquie, Venezuela, Pays- Bas, Panama, Slovénie, Surinam et aussi en Haïti. Dans certains cas ce sont les pères qui poussent leurs enfants à la prostitution afin que ces derniers puissent aider la famille. Le rapport du Département d'Etat dénonce l'attitude du gouvernement dominicain "qui ne montre pas de signes de progrès dans la poursuite et l’adoption de sanctions contre des fonctionnaires qui se seraient rendus complices de ces pratiques d’exploitation". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Samedi 11 juillet 2009 : Le président du Honduras, José Manuel Zelaya Rosalès, destitué à la suite d'un coup d'Etat militaire le 28 juin 2009, en exil depuis cette date au Costa Rica, a déclaré à Santo Domingo, la capitale, après une entrevue avec le président Leonel Fernandez, que ce dernier allait soumettre la situation politique au Honduras au sommet du Mouvement des pays non-alignés (MNA) qui doit se tenir du lundi 13 au vendredi 17 juillet 2009 à Charm El Cheikh en Egypte. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Samedi 14 novembre 2009 : Le secrétaire d'Etat français à la Coopération, Alain Joyandet, et le procureur général de la République dominicaine, Radhames Jimenez, ont signé vendredi 13 novembre 2009 à Santo Domingo la capitale un accord qui permettra aux prisonniers des 2 Etats de purger leur peine dans leur pays d'origine. 19 Français purgent des peines de prison en République dominicaine, dont Sarah Zaknoun (19 ans) et Céline Faye (20 ans), qui ont été condamnées à 8 ans de prison pour trafic de drogue en 2008, après la découverte de six kilos de cocaïne dans leurs bagages. L'accord doit maintenant être ratifié par les 2 pays, une procédure qui devra prendre près d'un an, selon Alain Joyandet. Ce dernier a été également reçu par le président Leonel Fernandez, qui effectuera en décembre 2009 une visite officielle en France. Les entretiens ont porté sur des questions d'environnement, de coopération économique et de lutte contre le trafic de drogue. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Jeudi 21 janvier 2010 : En visite dans ce pays, le président élu du Honduras, Porfirio Lobo Sosa, élu le 29 novembre 2009 et qui sera investi dans ses fonctions le mercredi 27 janvier 2010, a signé un accord avec le président dominicain Leonel Fernandez dans lequel il s'engage "à "dicter un arrêt de sauf-conduit en faveur du président Manuel Zelaya et sa famille afin qu'ils puissent exercer pleinement leurs droits de citoyens de disposer de liberté de circulation" qui pourront "rejoindre la République dominicaine le 27 janvier 2010 en qualité d'hôte de cette nation". Le président dominicain Leonel Fernandez a indiqué qu'il se rendrait à la cérémonie d'investiture du président du Honduras "et "regagnerait son pays en compagnie de M. Zelaya". Manuel Zelaya, président élu du Honduras, avait été destitué le 28 juin 2009 par un coup d'Etat militaire. Il est réfugié depuis le 24 septembre 2009 à l'ambassade du Brésil à Tégucigalpa la capitale. Alors qu'il s'apprêtait mercredi 9 décembre 2009, à quitter l'ambassade du Brésil pour se rendre au Mexique qui lui offre l'accueil, Manuel Zelaya a refusé de partir, car le gouvernement en place à la suite du coup d'Etat militaire du 28 juin 2009, lui accordera un sauf-conduit que "s'il signe une lettre de démission et "demande l'asile politique à l'étranger". Manuel Zelaya a indiqué à la chaîne de télévision Telesur qu'il ne demande l'asile à aucun pays ajoutant qu'un "éventuel départ du Honduras devra se faire en tant que président du peuple hondurien". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Jeudi 28 janvier 2010 : L'ancien président du Honduras, Manuel Zelaya, destitué après le coup d'Etat du 28 juin 2009, est arrivé mercredi 27 janvier 2010 sur la base aérienne de San Isidro dans les environs de la capitale Saint-Domingue. Réfugié depuis le 24 septembre 2009 à l'ambassade du Brésil à Tégucigalpa, la capitale du Honduras, alors qu'il s'apprêtait mercredi 9 décembre 2009, à quitter l'ambassade du Brésil pour se rendre au Mexique qui lui offre l'accueil, Manuel Zelaya a refusé de partir, car le gouvernement en place à la suite du coup d'Etat militaire du 28 juin 2009, lui accordera un sauf-conduit que "s'il signe une lettre de démission et "demande l'asile politique à l'étranger". En visite en République dominicaine, le président du Honduras, Porfirio Lobo Sosa, élu le 29 novembre 2009 et qui a été investi dans ses fonctions le mercredi 27 janvier 2010, avait signé un accord avec le président dominicain Leonel Fernandez dans lequel il s'engage "à "dicter un arrêt de sauf-conduit en faveur du président Manuel Zelaya et sa famille afin qu'ils puissent exercer pleinement leurs droits de citoyens de disposer de liberté de circulation" qui pourront "rejoindre la République dominicaine le 27 janvier 2010 en qualité d'hôte de cette nation". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 12 février 2010 : Le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d'urgence, John Holmes, est arrivé jeudi à Saint-Domingue, où il devait rencontrer le Président dominicain, Leonel Fernandez Reyna, pour lui faire part de sa reconnaissance pour le travail réalisé par la République dominicaine au nom du peuple d'Haïti après le séisme du 12 janvier 2010. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

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Economie
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Ultima Hora
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Listin Diario
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Monnaie
Peso dominicain.
Partis politiques
PRSC : Parti de la Réforme Socialiste Chrétienne
PLD : Parti de Libération Dominicaine
PRD : Parti Révolutionnaire Dominicain
PTD : Parti Travailliste Dominicain
UD : Union Démocratique
Population
8,2 millions d'habitants
Principales villes
Santo Domingo, Puerto Plata, San Juan, Saman
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Religion
Catholique (99 %). Rites vaudous (1 %)
Situation géographique
Pays des Grandes des Antilles, qui occupe près des 2 tiers de l'Ile d'Hispaniola, en mer des Caraïbes. Frontières avec Haïti. 1 600 kilomètres de plages.
Statut
Démocratie présidentielle. Président et chef du gouvernement : Luis Rodolfo Abinader Corona (depuis le 16 août 2020) ; Vice-Président Raquel Pena de Antuna (depuis le 16 août 2020).
Superficie
48 734 km2
Webcam
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(Voir également l'espace webcam)


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