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GUATEMALA
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- Nom officiel
- République
du Guatemala ("Guatemala" signifie
"Le pays de l'oiseau qui mange des
serpents")
- Administration
- Le
Guatemala est divisé en 22 départements : Alta
Verapaz, Baja Verapaz, Chimaltenango, Chiquimula,
El Progreso, Escuintla, Guatemala, Huehuetenango,
Izabal, Jalapa, Jutiapa, Peten, Quetzaltenango,
Quiche, Retalhuleu, Sacatepequez, San Marcos,
Santa Rosa, Solola, Suchitepequez, Totonicapan,
Zacapa.
- Capitale
- Ciudad
Guatemala
- Chronologie
politique
- Civilisation
maya.
1523 : Conquête par Pedro de
Alvarado. Capitainerie générale du vice-roi de
Mexico.
1821 : Proclamation de
l'indépendance. Le pays est aussitôt intégré
à l'empire mexicain d'Iturbide.
1er juillet 1823 :
République fédérative indépendante sous le
nom de "Provincias Unidas del Centro
America" qui comprend le Honduras, le
Nicaragua, le Salvador et le Costa Rica. Lutte
entre tous ces pays pour la prise du pouvoir.
1840-1865 : Régime
autoritaire de Rafael Carrera.
1873-1885 : Dictature
militaire de Justo Rufino Barrios. Il modernise
le pays grâce au développement de la culture du
café.
1898-1920 : Dictature
militaire de Manuel Estrada Cabrera.
1931-1944 : Le
général Jorge Ubico Castaneda est élu
président.
1944 : Coup d'Etat. Un civil prend le
pouvoir.
21 novembre 1945 : Admission
à l'ONU.
1945-1951 : Premier
régime démocratique de Juan José Arevalo qui
dû faire face à 28 tentatives de coups d'Etat.
1951-1954 : Régime du colonel Jacobo Arbenz
Guzman. Importantes réformes agraires : 2 % des
propriétaires terriens possèdaient 70 % des
terres cultivables. Le président Guzman décide
donc d'exproprier la United Fruit Company
(société américaine) qui possèdait 84
hectares de terres en friches et de les
redistribuer à 100 000 familles.
Juin 1954 : Le colonel
Guzman est renversé par un coup d'état grâce
à la CIA. Il est remplacé par le colonel Carlos
Castillo Armas, à la solde des Américains. Il
stoppe la réforme agraire. Le colonel Guzman est
exilé.
1957 : Le colonel Armas est
assassiné.
1958-1963 : Le général Miguel Fuentes prend le
pouvoir, soutenu par les Etats-Unis.
1960 : Soulèvement militaire suivie d'une
insurrection. Naissance de la guerilla UNRG
(Union Nationale Révolutionnaire
Guatémaltèque).
1963 : Coup d'état du colonel
Enrique Peralta Azurdia.
1966 : Présidence de Julio Cesar
Montenegro.
1970 : Présidence du colonel
Carlos Arana Osorio.
1970-1982 : Guerre
civile, castriste ou sandiniste. Terrorisme.
1974 : Prise du pouvoir par Kjell
Laugerud Garcia.
4 février 1976 : Tremblement
de terre : 24 000 morts, 80 000 blessés, 1
millier de sans-abris.
1978 : Présidence de Romeo Lucas
Garcia.
Octobre 1978 : Grève
générale : 30 morts, 350 blessés et plus de
1000 arrestations.
1980-1985 :
Insécurité : meurtres, enlèvements d'hommes
politiques, attentats.
7 mars 1982 : Le
général Anibal Guevara est élu président.
- 23
mars 1982 : Coup d'état du général Efrain
Rios Montt.
8 août 1983 : Coup
d'Etat du général Oscar Mejia Victores.
8 novembre 1985 : Présidence
de Vinicio Cerezo Arevalo.
Janvier 1986 :
Modification de la constitution pour empêcher
toute prise de pouvoir par la force.
Juin 1986 : Mesures
économiques et sociales.
1989 : Négociations de paix avec la
guerilla.
1991 : Présidence de Jorge
Serrano Elias.
1992 : La porte-parole des Indiens
opprimés, l'Indienne Maya, Rigoberta Menchu,
obtient le Prix Nobel de la Paix.
- 1993
: Jorge Serrano Elias est destitué.
Il est remplacé par Ramiro de Léon Carpio.
26 mai 1995 : Le
président Serrano procède à un coup d'état
constitutionnel, dissout l'Assemblée nationale
et suspend les garanties constitutionnelles.
1er juillet 1995 : 5 membres
d'une organisation humanitaire qui accompagnaient
des réfugiés revenant du Mexique ont été
enlevés par des miliciens. Le chef du commando
réclame la levée d'un mandat d'arrêt lancé
contre lui en échange de leur libération.
1996 : Présidence d'Alvaro Arzu
Irigoyen.
11 novembre1996 : Le
président Alvaro Arzu a signé un accord de paix
avec la guerilla qui met fin à 36 ans de guerre
civile qui a fait 100 000 morts et 40 000
disparus.
30 décembre 1996 : 36 ans de
guerre civile sont officiellement finis. Le
gouvernement et la guérilla ont signé dimanche
un accord de paix.
1997 : Suite à cet accord, des
milliers de combattants sont désarmés.
10 janvier 1997 : La Chine a
opposé son véto à l'envoi d'observateurs de
l'ONU au Guatemala pour surveiller le processus
de paix. Pékin sanctionne ainsi le Guatemala
qu'elle juge trop proche de Taïwan.
21 janvier 1997 : La Chine a
levé son véto après 10 jours de négociations.
155 observateurs seront envoyés sur place pour
veiller sur le cessez-le-feu signé le 29
décembre dernier entre le gouvernement et la
guérilla.
27 avril 1998 :
L'archevêque Monseigneur Juan Gerardi a été
assassiné, battu à mort à son domicile par des
inconnus. Il fut l'un des défenseurs des droits
de l'homme lors de la guerre civile qui déchira
le pays pendant 36 ans. Il luttait pour faire
condamner les responsables du génocide. Il avait
créé une commission qui devait déposer son
rapport à la fin du mois.
4 novembre 1998 : L'ouragan
Mitch a frappé le pays faisant 160 morts et plus
de 50 000 sans-abris. L'aide internationale tarde
à venir.
8 novembre 1999 : Selon une
première estimation, Alfonso Portillo, candidat
du Parti Républicain Guatémaltèque, arriverait
en tête des présidentielles. Ce sont les
premières élections depuis l'accord de paix
signé en 1996 entre la guerilla et le
gouvernement. Le futur président a annoncé,
dans sa campagne, qu'il s'attacherait "à
construire la paix".
28 décembre 1999 : Alfonso
Portillo est élu président avec 62,68 % des
voix.
28 mars 2000 : La justice
espagnole a décidé d'ouvrir une enquête sur
les accusations de génocide contre 8 anciens
généraux guatémaltèques, dont 3 anciens
présidents (Romeo Lucas Garcia, Efrain Rios
Montt et Oscar Mejia Victores) présentées par
le Prix Nobel de la Paix Rigoberta Menchu.
31 mars 2000 : Le Parquet
s'oppose à ce que la justice espagnole enquête
sur ces accusations.
29 juin 2000 : 2 hommes condamnés pour
l'enlèvement et l'assassinat d'un riche
industriel de 70 ans ont été exécutés par
injection devant les caméras de télévision,
les autorités voulant apporter un élément
décisif dans la lutte contre la violence
engagée par le gouvernement. L'agonie des deux
hommes, exécutés après tirage au sort, a duré
plus de 13 minutes. Le taux de criminalité est
très élevé dans ce pays. Le parlement a voté
en début de mois un décret d'urgence qui
autorise "l'armée à appuyer l'action de la
police pour prévenir et combattre le crime
organisé et la délinquance". Le pays reste
avec le Chili et Cuba l'un des rares pays
d'Amérique latine à appliquer la peine capitale
avec une trentaine d'exécutions en 20 ans.
Jeudi 11 avril 2002 : Le PAM a
lancé un appel en faveur de la population du
Guatemala touchée par deux ans de sécheresse et
la chute du prix du café sur les marchés
mondiaux qui a entraîné une vague de
licenciements où 500 000 travailleurs ont été
privés d'emploi. 60 000 enfants de moins de 5
ans souffrent de malnutrition avancée. 5000
d'entre eux risquent la mort. Le PAM avait lancé il y a
quelques mois un appel aux donateurs pour un
montant de 5 millions de dollars. A ce jour aucun
don n'a été fait. (Source Fil-info-France)
Lundi 29 juillet 2002 : Après
Toronto au Canada où il a clôturé les 17ème
journées mondiales de la jeunesse, le Pape
poursuit, ce lundi, son 97ème voyage au
Guatemala puis mardi au Mexique.
Mardi 30 juillet 2002 : Le Pape est
arrivé lundi soir à Guatemala Ciudad, la
capitale du Guatemala pour une visite de 24H où
il doit canoniser un moine franciscain d'origine
espagnole qui a dédié sa vie aux pauvres et aux
malades. Conséquence directe de la visite du
Pape, le président Portillo a annoncé la
suspension de l'exécution de 36 condamnés à
mort. Le Pape se rendra ensuite au Mexique.
Lundi 12 août 2002 : Après la
visite du premier ministre taïwanaisYu Shyi-kun
dans la région, Taïwan va accorder un prêt de
8 millions de dollars afin de développer
l'éducation et la formation professionnelle dans
le pays.
Lundi 10 novembre 2003 : Le premier
tour des élections présidentielles s'est ouvert
dimanche ainsi que des élections législatives
et régionales sous haute surveillance. 22 000
policiers et 27 000 militaires ont été
déployés dans tout le pays. Le réseau
électrique a été placé sous haute protection
tandis que la vente d'alcool a été interdite.
Selon les sondages le second tour le 28 décembre
opposera l'ancien maire de Guatemala City, Oscar
Berger, 57 ans, candidat de la Grande alliance
nationale réunissant trois partis de droite, au
candidat de centre-gauche de l'Union nationale de
l'espérance, Alvaro Colom, 52 ans. Chacun est
crédité d'un tiers des intentions de vote.
L'ancien dictateur Efrain Rios Montt, 77 ans,
candidat du FRG ( Front Républicain
Guatémaltèque, droite) du président sortant
Alfonso Portillo, arriverait en troisième
position avec 10% des suffrages. Le secrétaire
politique d'Alvaro Colom a été blessé par
balle samedi soir en rentrant chez lui. 2000
observateurs locaux et 300 internationaux sont
déployés sur place pour surveiller le scrutin.
Le parti au pouvoir, FRG, est soupçonné
d'acheter des voix ou de menacer des électeurs.
Lors du scrutin de 1999, le président Alfonso
Portillo avait battu Oscar Berger et Alvaro
Colom. La campagne électorale a été marquée
par une extrême violence. Selon les observateurs
internationaux, entre 20 à 30 candidats ou
militants ont été victimes d'exécutions
politiques. (Source Fil-info-France)
Mardi 30 décembre 2003 : Oscar
Berger (57 ans, ancien maire de la capitale
Guatemala City), candidat de la Grande alliance
nationale (droite conservatrice) réunissant
trois partis de droite, a remporté le second
tour des présidentielles de dimanche avec 57,16
% des suffrages. Il sera investi dans ses
fonctions le 14 janvier prochain pour un mandat
de 4 ans non renouvelable. Oscar Berger s'est
engagé à lutter contre la corruption et
relancer l'économie. 80 % de la population vit
en-dessous du seuil de pauvreté. (Source
Fil-info-France)
- Climat
- Tropical
variant selon l'altitude.
- Code ISO
- GT
- Devise nationale
- Libertad
(Liberté)
- Drapeau
- Symbolique
- Offre
n° 2
Economie
- Maïs,
blé. Café, bananes, canne à sucre. Pêche.
Culture de la coca et du pavot. Tourisme.
- Fête nationale
- 15
septembre (1821 : indépendance).
- Langue officielle
- Espagnol.
(55 langues autochtones)
- Liens
- Alfonso Portillo, ancien président
du Guatemala, biographie
Ambassade de France au Guatemala
- Ambassades et consulats du Guatemala en France,
en Belgique, en Suisse, au Canada
- Congrès de la République du
Guatemala (en espagnol)
- Tourisme au Guatemala
- Les
droits syndicaux au Guatemala
- Rios
Montt à la tête du Guatemala : plus jamais ça
! (Communiqué de la FIDH) format pdf
- Pascal Blondé nous offre de
magnifiques photos des volcans du Guatemala
- Médias
- Siglo Veinti Uno
- Prensa Libre
- La Hora
Nuestro Diario Digital
El Periodico
- Guatemala
Flash, la première radio-journal du pays
- Offre
n° 3
Monnaie
- Quetzal.
- Partis politiques
- PAN :
Parti du Progrès
- FRG :
Front Républicain Guatémaltèque
- FNDG
: Front Démocratique Guatémaltèque
- Population
- 10,8
millions d'habitants.
- Guatémaltèques.
- Indiens
d'origine européenne (56 %), Indiens (44 %)
- Principales
villes
- Ciudad
Guatemala, Quezaltenango, Puerto Barrios.
- Offre
n° 4
Religion
- Catholique
(70 %), protestante (20 %), Autres (10 %).
- Situation
géographique
- Pays
d'Amérique centrale bordé au sud par l'Océan
Pacifique et à l'est la Mer des Antilles.
Frontières avec le Mexique, le Bélize, le
Honduras et le Salvador.
- Statut
- République
présidentielle, démocratique et
représentative. Le président est à la fois le
chef de l'état et le chef du gouvernement. Il
est élu pour un mandat de 4 ans non
renouvelable. Président : Alejandro Eduardo
Giammattei (depuis le 14 janvier 2020) ; Vice
Président : Cesar Guillermo Castillo (depuis le
14 janvier 2020).
- Superficie
- 108
889 km²
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.
- (Voir
aussi espace Webcam)
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Offre n° 5
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