- SOMMAIRE
MAURITANIE,
FIL-INFO-MAURITANIE ©, 2009,
ARCHIVES, 2009
- Mardi
6 janvier 2009 : La Mauritanie, un des rares
pays de la Ligue arabe à avoir des relations
diplomatiques avec Israël, a décidé de
rappeler dès lundi 5 janvier 2009 son
ambassadeur en Israël, Ahmed Ould Teguedi, pour
protester contre les bombardements
"intensifs et continus" contre la
population civile de la Bande de Gaza. (Copyright
www.fil-info-france.com)
Samedi 17 janvier 2009 : La
Mauritanie a rappelé son ambassadeur en Israël
" pour consultation", à la suite de
l'opération militaire israélienne "Plomb
durci" contre la Bande de Gaza débutée le
27 décembre 2008. La Mauritanie avait établi
des relations diplomatiques avec Israël en 1999
sous le régime de Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya. Copyright
www.fil-info-france.com/
Jeudi 12 février 2009 : Après la
décision prise jeudi 5 février 2009 par le
Conseil de paix et de sécurité de l'Union
Africaine, qui exige le rétablissement de
l'ordre constitutionnel en Mauritanie, de
renforcer les sanctions à l'encontre de la
Mauritanie, le chef de la junte militaire, le
général Mohamed Ould Abdel Aziz, qui a pris le
pouvoir après un coup d'Etat perpétré le 6
août 2008, a déclaré que "cette décision
est l'oeuvre de pays africains loin de la
Mauritanie, n'ayant aucune connaissance de sa
situation et ignorant l'importance de la
rectification du processus démocratique, ainsi
que des efforts consentis par le Haut conseil
d'Etat pour "ancrer la démocratie"
dans le pays. La Coordination nationale de
sauvegarde de la démocratie en Mauritanie, qui
regroupe 17 partis politiques, a également
rejeté cette décision. ** Le chef de
la junte militaire, le général Mohamed Ould
Abdel Aziz, a annoncé sa candidature à
l'élection présidentielle qui doit se tenir le
6 juin 2009. Le Front national pour la défense
de la démocratie (FNDD) qui regroupe 13 partis
politiques, a déclaré nulle et non avenue
lorganisation de cette élection. Copyright
www.fil-info-france.com/
Vendredi 27 février 2009 : Une
convention a été signée mercredi 25 février
2009 à Nouakchott la capitale entre le ministre
des Affaires étrangères, le docteur Mohamed
Mahmoud Ould Mohamedou et le délégué régional
au Maghreb du Comité
international de la Croix-Rouge (CICR), Yves
Arnoldy, visant à l'ouverture d'un bureau du
CICR dans la capitale pour "faire
bénéficier à la Mauritanie de son assistance
et de son expérience dans le cadre dune
mission humanitaire, sociale et du processus de
développement global". Copyright
www.fil-info-france.com/
Mercredi 4 mars 2009 : Le chef de
l'Etat libyen Mouammar Kadhafi, président en
exercice de l'Union Africaine, est attendu ce
week-end à Nouakchott la capitale, pour diriger
la prière du Maouloud (fête de la naissance du
Prophète Mahomet). Il rencontrera des
représentants de la junte militaire au pouvoir
depuis le 6 août 2008 à la suite d'un coup
d'état militaire qui a renversé le président
démocratiquement élu, Sidi Mohamed Ould Cheikh
Abdellahi. Copyright www.fil-info-france.com/
Samedi 7 mars 2009 : Renversé
le 6 août 2008 à la suite d'un coup d'Etat
militaire perpétré par le général Mohamed
Ould Abdel Aziz, à la tête de la junte
militaire qu'il a baptisé "Haut conseil
d'état des forces armées et de
sécurité", le président Sidi Mohamed Ould
Cheikh Abdellahi, premier président élu
démocratiquement en poste depuis le 19 avril
2007, a quitté Nouakchott la capitale vendredi 6
mars 2009 à destination de la Libye sur
invitation du leader libyen colonel Mouammar
Kadhafi, président en exercice de l'Union
africaine et mandaté par le groupe de contact
international pour désamorcer la crise issue du
putsch en Mauritanie. Le député El Khalil Ould
Teyib, vice-président de l'Alliance populaire
progressiste (APP) qui est membre du Front
national de défense de la démocratie (FNDD),
hostile au coup d'Etat du 6 août en Mauritanie,
a précisé que Sidi Mohamed Ould Cheikh
Abdallahi voyageait sans passeport. Il avait
refusé de le prendre car celui-ci portait la
mention "ancien président" délivré
par le Haut conseil d'Etat, au pouvoir à
Nouakchott. ** Le Haut
conseil d'état des forces armées et de
sécurité au pouvoir depuis le 6 août 2008
après un coup d'Etat militaire, a informé
vendredi 6 mars 2009 l'ambassadeur d'Israël à
Nouakchott qu'il dispose de 48 heures pour
quitter la Mauritanie. Le gouvernement avait
décidé, le 16 janvier 2009, de suspendre ses
relations avec l'Etat hébreu suite à
l'offensive menée par l'armée israélienne
contre la Bande de Gaza du 27 décembre 2008 au
19 janvier 2009.Copyright www.fil-info-france.com/
Mardi 10 mars 2009 : Le chef de
l'Etat libyen, Mouammar Kadhafi,
président en exercice de l'Union Africaine, est
arrivé lundi 9 mars 2009 à Nouakchott la
capitale où il doit conduire une prière à
l'occasion de la fête du mawlid (naissance du
prophète Mohamed). Il rencontrera le chef de la
junte militaire, le général Mohamed Ould Abdel
Aziz, au pouvoir depuis le 6 août 2008 à la
suite d'un coup d'Etat militaire qui a renversé
le président démocratiquement élu, Sidi
Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, pour tenter de
trouver une solution à la crise politique. Copyright
www.fil-info-france.com/
Mardi 24 mars 2009 : Ahmed Ould
Daddah, président du parti des forces
démocratiques (RFD, opposition), a indiqué
lundi 23 mars 2009 au cours d'une conférence de
presse donnée à Nouakchott la capitale que
conformément à la Charte africaine des droits
de l'homme et des peuples, ratifiée par la
Mauritanie, dans son article 25 alinéa 4, les
membres des forces armées et de sécurité en
service au 6 août 2008, date du coup d'Etat, ne
peuvent être éligibles. Rappelons que le
général Mohamed Ould Abdel Aziz, qui doit
présenter sa candidature à l'élection
présidentielle, avait démissionné 45 jours
avant la date fixée pour la tenue des
élections. Ahmed Ould Daddah a précisé que
"les auteurs de changement
anticonstitutionnel de gouvernement ne peuvent ni
participer aux élections organisées pour la
restauration de l'ordre démocratique ni occuper
des postes de responsabilité dans leurs
Etats", selon la Charte africaine. Ahmed Ould
Daddah, frère de lancien président Moktar
Ould Daddah, premier président de la République
islamique de Mauritanie, avait soutenu le coup
d'Etat militaire du 6 août 2008 puis avait
rejoint l'opposition à la junte militaire. Copyright
www.fil-info-france.com/
Mercredi 25 mars 2009 : Le Conseil
de paix et de sécurité de l'Union Africaine a
annoncé mardi 24 mars 2009 un renforcement de
ses sanctions à l'encontre des "gens au
pouvoir" en Mauritanie, "civils et
militaires, impliqués dans ce renversement de
régime" qui prévoit notamment
l'interdiction de voyager et le gel de leurs
avoirs. Le président de l'Union africaine, le
chef de l'Etat libyen, Mouammar Kadhafi, avait
demandé, le 14 mars 2009, lors d'une visite de
médiation à Nouakchott la capitale, au
président déchu Ould Cheick Abdallahi,
"d'accepter le fait accompli",
affirmant que le dossier des sanctions était
"clos". Copyright
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Vendredi 3 avril 2009 : La junte
militaire au pouvoir depuis le mercredi 6 août
2008, à la suite d'un coup d'Etat militaire, qui a
destitué le président démocratiquement élu,
en place depuis le 19 avril 2007, Sidi Mohamed
Ould Cheikh Abdellahi, a reconnu officiellement
mercredi 1er avril 2009 la création d'un nouveau
parti, Parti du rassemblement du peuple
mauritanien (PRPM), formé par des parlementaires
favorables à la junte au pouvoir. Parmi ses
membres, on peut noter Louleid Ould Wedad, ancien
directeur de Cabinet ministériel sous le régime
de Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya, renversé le 3
août 2005, Rachid Ould Saleh, ancien président
de l'Assemblée nationale sous le même pouvoir,
et Kaba Ould Elewa, ancien ministre de
l'Intérieur de Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya
jusqu'au 8 juin 2003 où il devient le président
de la Cour suprême, jusqu'au 3 août 2005. ** Le
Rassemblement des forces démocratiques (RFD,
principal parti d'opposition), a appelé jeudi 2
avril 2009 les Mauritaniens à résister contre
la junte qui dirige le pays depuis le coup d'Etat
du 6 août 2008, estimant que "le passage en
force du général Mohamed Ould Abdel Aziz est en
total décalage avec la position des principales
forces politiques mauritaniennes et le point de
vue de la communauté internationale". Le
RFD a plaidé également pour "une
résistance démocratique, une stratégie pour
barrer la route aux militaires et créer les
conditions favorables à la libre expression
populaire". Le pouvoir militaire a annoncé
l'organisation d'une élection présidentielle,
le 6 juin 2009, une décision rejetée par le
Front national pour la défense de la démocratie
(FNDD), une alliance d'une douzaine de partis
politique, dont le RFD, opposés à la junte. Copyright
www.fil-info-france.com/
Jeudi 9 avril 2009 : Le chef de
la junte militaire, le général Mohamed Ould
Abdel Aziz, a annoncé mercredi 8 avril 2009
qu'il démissionnerait "avant le 22
avril" 2009 en vue d'une probable
candidature à l'élection présidentielle du 6
juin 2009. Copyright
www.fil-info-france.com/
Vendredi 17 avril 2009 : Mohamed
Ould Abdel Aziz, chef de la junte militaire
depuis le 6 août 2008 à la suite d'un coup
d'Etat militaire qui a destitué le président
Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, premier
président élu démocratiquement en poste depuis
le 19 avril 2007, a démissionné de ses
fonctions jeudi 16 avril 2009 pour se porter
candidat à la présidentielle du 6 juin 2009.
L'intérim est assuré par le président du
Sénat, Ba Mamadou. Copyright
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Jeudi 14 mai 2009 : La peine de
mort a été requise mardi 12 mai 2009 à
l'encontre de 2 prévenus parmi les 7 jugés,
accusés d'avoir attaqué une garnison militaire
en 2005, faisant 15 morts parmi les soldats, et
jugés en appel pour "haute trahison"
et "appartenance à un groupe
terroriste". Les 5 autres prévenus
risquent, conformément à la loi sur le
terrorisme entre 5 ans 20 ans de réclusion. Copyright
www.fil-info-france.com/
Jeudi 4 juin 2009 : L'élection
présidentielle qui devait se tenir samedi 6 juin
2009 a été reportée au samedi 18 juillet 2009
"pour permettre la participation de toutes
les forces politiques et mettre un terme à la
crise suite au coup d'Etat du 6 août 2008"
qui a destitué le président Sidi Mohamed Ould
Cheikh Abdellahi, premier président élu
démocratiquement en poste depuis le 19 avril
2007, selon un communiqué du médiateur
sénégalais, et ministre des Affaires
étrangères, Cheikh Tidiane Gadio. Le Front
national pour la défense de la démocratie
(FNDD), formé de partis opposés au putsch,
avait qualifié le scrutin de "mascarade aux
résultats connus d'avance". Lire l'édition de Fil-info-France
du 7 août 2008 Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 6 juin 2009 : Le colonel
Ely Ould Mohamed Vall, qui avait pris le pouvoir
le 3 août 2005 par un coup d'Etat qui avait
renversé le Président Maaouya Ould Sid'Ahmed
Taya, parti assister aux obsèques du roi Fahd
d'Arabie Saoudite, a annoncé qu'il déposait sa
candidature à l'élection présidentielle
prévue le 18 juillet 2009. ** Un accord a
été signé jeudi 4 juin 2009 à Nouakchott la
capitale entre les représentants des 3 plus
importants partis mauritaniens, sous l'égide du
Sénégal. L'accord prévoit la démission
volontaire du président renversé le 6 août
2008 par les militaires, Sidi Mohamed Ould Cheikh
Abdellahi, et la formation d'un gouvernement
d'unité nationale, avant le scrutin
présidentiel le 18 juillet 2009. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mercredi 24 juin 2009 : Christophe
Langos, directeur de l'ONG hollandaise Nora
spécialisée dans l'éducation, a été abattu
mardi 23 juin 209 dans le centre de Nouakchott la
capitale par 2 hommes armés. Selon la police, il
pourrait s'agir d'une tentative d'enlèvement qui
a mal tourné. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?
Lundi 29 juin 2009 : Conformément
à l'accord de Dakar (Sénégal) signé le 4 juin
2009, l'ancien président déchu, Sidi Mohamed
Ould Cheikh Abdellahi, renversé lors d'un coup
d'Etat militaire le 6 août 2008, a présenté
samedi 27 juin 2009 sa démission
"volontaire" après avoir signé le
décret relatif à la composition d'un nouveau
gouvernement transitoire d'union nationale
composé de 26 membres. La junte militaire du
général Mohamed Ould Abdelaziz, qui a renversé
le président démocratiquement élu, a remporté
les ministères clé de l'Intérieur, la
Défense, les Finances et la Communication. Lire l'édition de Fil-info-France
du 7 août 2008 Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mercredi 8 juillet 2009 : Sghair Ould
M'bareck, ancien premier ministre, sous le
régime du président Maaouya Ould Taya au
pouvoir de 1984 à 2005, candidat à l'élection
présidentielle prévue le 18 juillet 2009, a
annoncé lundi 6 juillet 2009 qu'il se retirait
de la course à la présidence et apportait son
soutien au général Mohamed Ould Abdelaziz, chef
de la junte militaire qui a pris le pouvoir
mercredi 6 août 2008 par un coup d'Etat
militaire qui a destitué le président Sidi
Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, premier président
élu démocratiquement en poste depuis le 19
avril 2007, et son premier ministre Yahya Ould
Ahmed Waghf, affirmant que son programme
électoral "était similaire" à celui
de Mohamed Ould Abdelaziz. Abdel Aziz. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Jeudi 9 juillet 2009 : La campagne
électorale pour l'élection présidentielle
prévue pour le 18 juillet 2009, est entrée dans
sa deuxième semaine. 9 candidats s'affrontent et
s'invectivent copieusement. Le général Mohamed
Ould Abdel Aziz, auteur du coup d'Etat du 6 août
2008 qui a démis de ses fonctions le président
démocratiquement élu, Sidi Mohamed Ould Cheikh
Abdellahi, a accusé 2 de ses opposants Ahmed
Ould Daddah et Messaoud Ould Boulkheir, qui
avaient vigoureusement combattu le putsch du 6
août, "de baigner dans la gabegie"
affirmant posséder "des dossiers accablants
que je vais publier, prouvant l'implication
d'Ahmed Ould Daddah et Messaoud Ould Boulkheir
dans la gabegie". Ces derniers ont indiqué
que "ces dossiers ont été fabriqués de
toutes pièces, sans la moindre preuve",
estimant que le chef de la junte militaire
"ne saurait prétendre gouverner le
pays". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?
Lundi 20 juillet 2009 : Les
électeurs étaient appelés aux urnes samedi 18
juillet 2009 pour élire leur président après
le coup d'Etat militaire perpétré le 6 août
2008 qui a destitué le premier président élu
démocratiquement au pays depuis 30 ans, Sidi
Mohamed Ould Cheikh Abdellahi. Mohamed Ould Abdel
Aziz, chef de la junte militaire au pouvoir
depuis cette date, est donné favori parmi 9
candidats sont en lice. Les 4 principaux
candidats de l'opposition ont dénoncé dimanche
19 juillet 2009 une "mascarade
électorale" après la publication de
premiers résultats partiels par le ministère de
l'Intérieur donnant la victoire dès le premier
tour au chef de la junte, le général Mohamed
Ould Abdel Aziz. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mardi 21 juillet 2009 : Le ministre
de l'Intérieur, Mohamed Ould Rzeizim, a annoncé
que Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de la junte
militaire au pouvoir depuis le 26 août 2008 à
la suite d'un coup d'Etat militaire perpétré le
6 août 2008 qui a destitué le premier
président élu démocratiquement au pays depuis
30 ans, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, a
remporté l'élection présidentielle qui s'est
tenue samedi 18 juillet 2009 dès le premier tour
avec près de 52 % des voix. L'opposition a
rejeté "des résultats fabriqués à
l'avance" et demandé une enquête
internationale pour "faire la lumière sur
le processus électoral". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mercredi 22 juillet 2009 : Ahmed Ould
Daddah, chef du principal parti d'opposition,
Messaoud Ould Boulkheir, président de
l'Assemblée nationale et candidat du front
anti-putsch, et le colonel Ely Ould Mohamed Vall,
ancien chef de la junte militaire de 2005 à
2007, 3 candidats de l'opposition, perdants de
l'élection présidentielle qui s'est tenue
samedi 18 juillet 2009, qui a vu la victoire dès
le premier tour avec près de 52 % des voix de
Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de la junte
militaire au pouvoir depuis le 26 août 2008 à
la suite d'un coup d'Etat militaire perpétré le
6 août 2008 qui a destitué le premier
président élu démocratiquement au pays depuis
30 ans, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, ont
annoncé mardi 21 juillet 2009 avoir déposé un
recours en annulation de l'élection pour
"manipulation du fichier électoral, usages
de faux, vote multiple de militaires, utilisation
frauduleuse de produits chimiques sur les
bulletins ainsi que votes d'étrangers, notamment
du Sénégal voisin". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 25 juillet 2009 : Le Conseil
constitutionnel a confirmé jeudi 23 juillet 2009
la victoire du général Mohamed Ould Abdel Aziz,
chef de la junte militaire au pouvoir depuis le
le 6 août 2008, après un coup d'Etat militaire
qui a destitué le président démocratiquement
élu, en place depuis le 19 avril 2007, Sidi
Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, rejetant les
recours de 3 candidats de l'opposition qui ont
dénoncé des "fraudes massives". Selon
le Conseil constitutionnel, Mohamed Ould Abdel
Aziz a été élu dès le premier tour de
l'élection présidentielle du 18 juillet 2009
avec 52,47 % des voix. Peu avant cette annonce,
le chef de la Commission électorale nationale
indépendante (CENI), Sid'Ahmed Ould Deye, avait
démissionné de son poste estimant "selon
sa conscience", que "les plaintes que
j'ai reçues ainsi que les contenus des recours
adressés au Conseil constitutionnel ont semé le
doute dans mon esprit sur la fiabilité de ces
élections quant au fond".
Vendredi 7 août 2009 : Le
général Mohamed Ould Abdel Aziz, chef de la
junte militaire au pouvoir depuis le 6 août
2008, après un coup d'Etat militaire qui a
destitué le président démocratiquement élu,
en place depuis le 19 avril 2007, Sidi Mohamed
Ould Cheikh Abdellahi (Lire l'édition de
Fil-info-France du 7 août 2008), qui a
remporté l'élection présidentielle du 18
juillet 2009 avec 52,47 % des voix, a prêté
serment jeudi 6 août 2009 au stade olympique de
la capitale, Nouakchott, "devant son
peuple", les membres du Conseil
constitutionnel et en présence de 2 chefs
dEtat africains, le président du
Sénégal, Abdoulaye Wade et du
Mali, Amadou Toumani Touré. Des représentants
de la Libye, de lAlgérie, du Maroc, du
Koweït, de lEgypte, de lEurope, ou
du Japon, ont assisté à la cérémonie
d'investiture. Mohamed Ould Abdel Aziz a
déclaré dans son discours : "Notre
objectif est de bâtir un Etat fondé sur la
justice, légalité et les valeurs
républicaines, où nous jouirons tous de la
sécurité et de la stabilité". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Lundi 10 août 2009 : Un homme
s'est fait exploser samedi 8 août 2009 avec la
bombe qu'il transportait, en face de l'Ecole
national d'administration (ENA), non loin de
l'ambassade de France, à Nouakchott la capitale,
blessant légèrement 2 gendarmes français qui
assurent la sécurité de l'ambassade française,
et qui effectuaient leur jogging au moment de
l'explosion. Cet attentat intervient 3 jours
après l'investiture de Mohamed Ould Abdel Aziz,
qui a remporté l'élection présidentielle du 18
juillet 2009 avec 52,47 % des voix, arrivé au
pouvoir le 6 août 2008, après un coup d'Etat
militaire qui a destitué le président
démocratiquement élu, en place depuis le 19
avril 2007, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi (Lire l'édition de Fil-info-France
du 7 août 2008). Les candidats vaincus
avaient dénoncé des fraudes, mais la France
s'est déclarée "prête à reprendre la
coopération avec la Mauritanie" qui s'est
engagée à faire de la lutte contre le réseau
terroriste al-Qaïda une priorité. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Mercredi 12 août 2009 : Le
président Mohamed Ould Abdelaziz, vainqueur de
l'élection présidentielle du 18 juillet 2009,
qui a prêté serment le jeudi 6 août 2009 au
stade olympique de la capitale, Nouakchott, a
reconduit dans ses fonctions, mardi 11 août 2009
le premier ministre, Moulaye Ould Mohamed
Laghdaf. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 14 août 2009 : Le
général Mohamed Ould Abdelaziz, vainqueur de
l'élection présidentielle du 18 juillet 2009,
qui a prêté serment le jeudi 6 août 2009 au
stade olympique de la capitale, Nouakchott, a
annoncé jeudi 13 août 2009 la composition du
gouvernement mené par le premier ministre
sortant, Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, qui
comprend 21 ministres, dont 4 femmes, tous issus
des formations politiques ayant soutenu la
candidature du nouveau président de la
République. Pour la première fois dans le monde
arabe, une femme est nommée ministre des
Affaires étrangères en la personne de Naha Mint
Mouknass, présidente de l'UDP, l'Union pour la
démocratie et le Progrès, un parti de la
majorité, et fille de l'ancien ministre des
Affaires Etrangères de Mauritanie de 1968 à
1978 sous le régime de Moktar ould Daddah, Hamdi
ould Mouknass. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?
Jeudi 20 août 2009 : Le
journaliste Henevi Ould Dehah, directeur du site
d'informations en ligne Taqadoumy, qui critique
fermement les auteurs du coup d'Etat militaire du
6 août 2008, a été condamné mercredi 19 août
2009 à Nouakchott la capitale à 6 mois de
prison pour "publications contraires à
l'Islam et aux bonnes moeurs" assortie d'une
amende de 30 000 ouguiyas (81 euros)".
L'atteinte aux bonnes moeurs concernerait une
page du site où l'on peut débattre sur
l'éducation sexuelle et les moeurs en général.
** Le
mouvement islamique Al-Qaida au Maghreb Islamique
(AQMI) a revendiqué mardi 18 août 2009 dans un
communiqué publié sur internet, et daté du
samedi 15 août 2009, l'attentat suicide
perpétré samedi 8 août 2009 près de
l'ambassade de France, à Nouakchott la capitale,
blessant légèrement 2 gendarmes français qui
assurent la sécurité de l'ambassade française,
et qui effectuaient leur jogging au moment de
l'explosion. Le communiqué précise que cette
attaque est dirigée contre "les croisés
français pour tout le mal qu'ils font aux
Musulmans dans le monde". Il ajoute qu'il
s'agit d'un message adressé au "dictateur
et suppôt des impies, Mohamed Ould Abdel Aziz,
dont l'appareil répressif ne cesse d'agresser et
d'emprisonner la jeunesse musulmane en
Mauritanie". Cet attentat était intervenu 3
jours après l'investiture de Mohamed Ould Abdel
Aziz, qui a remporté l'élection présidentielle
du 18 juillet 2009 avec 52,47 % des voix, arrivé
au pouvoir le 6 août 2008, après un coup d'Etat
militaire qui a destitué le président
démocratiquement élu, en place depuis le 19
avril 2007, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi.
Les candidats vaincus avaient dénoncé des
fraudes, mais la France s'est déclarée
"prête à reprendre la coopération avec la
Mauritanie" qui s'est engagée à faire de
la lutte contre le réseau terroriste al-Qaïda
une priorité. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Lundi 30 novembre 2009 : 3 touristes
espagnols ont été enlevés dimanche 29 novembre
2009 dans le nord-ouest de la Mauritanie alors
qu'ils circulaient sur une route reliant
Nouadhibou à Nouakchott la capitale. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Mercredi 23 décembre 2009 : Le
président soudanais Omar el-Béchir, sous le
coup d'un mandat d'arrêt international lancé
par la CPI (Cour pénale internationale) pour
"génocide" au Darfour estimant que des
"forces et des agents" contrôlés par
le président Omar el-Béchir ont tué au moins
35 000 civils et causé la "mort lente"
de 80 '000 à 265 000 autres, contraints de fuir
leurs foyers devant les combats, est arrivé
lundi 21 décembre 2009 à Nouakchott la capitale
pour une visite de travail et d'amitié de 3
jours où il a été accueilli à sa descente
d'avion par le président mauritanien, Mohamed
ould Abdel Aziz, et des milliers de personnes qui
ont protesté contre le mandat d'arrêt lancé
contre lui par la CPI et demandé que cette cour
examine "les crimes perpétrés
quotidiennement contre le peuple
palestinien". La Mauritanie n'est pas
signataire de l'acte instituant la CPI, qui
poursuit ainsi pour la première fois un chef
d'Etat en exercice. C'est la première visite en
Mauritanie d'un chef d'Etat étranger depuis
l'élection du président Mohamed Ould Abdel
Aziz, le 18 juillet 2009. ** Le
ministère de la Santé a annoncé le lancement,
mardi 22 décembre 2009, d'une importante
campagne de vaccination contre la poliomyélite,
baptisée "ratissage contre la poliomyélite",
d'une durée de 4 jours, après l'apparition de 7
cas dans 4 régions du pays. Une première phase
de vaccination, qui s'est déroulée du 8 au 11
décembre 2009, a permis la vaccination de 521
947 sujets sur un nombre total estimé à 546 947
enfants, selon le communiqué du ministère de la
Santé. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
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