- SOMMAIRE
GABON,
FIL-INFO-GABON ©, 2009, ARCHIVES, 2009
- Lundi
19 janvier 2009 : Un hélicoptère militaire
français, qui transportait 10 militaires, s'est
écrasé samedi 17 janvier 2009 au large du Gabon
lors d'un exercice conjoint avec l'armée
gabonaise, peu après son décollage du navire de
transport français, "Le Foudre". 7
soldats français ont été tués, 2 blessés et
1 porté disparu. Le président français Nicolas
Sarkozy a demandé à ce que "toute la
lumière soit faite sur les circonstances de cet
accident et que les conclusions de l'enquête lui
soient communiquées dans les meilleurs
délais". Copyright www.fil-info-france.com/
Lundi 16 février 2009 : Marc Ona,
coordonnateur au Gabon de la coalition Publiez ce
que vous payez (PCQVP, Publish what you pay) qui
milite pour une gestion transparente des revenus
pétroliers, a indiqué samedi 14 février 2009
alors qu'il devait se rendre à Doha au Qatar
pour assister à une conférence de l'Initiative
pour la transparence des industries extractives
(EITI, Extractive Industries Transparency
Initiative) du 16 au 18 février, avoir reçu de
la police, au moment de se rendre à l'aéroport
une interdiction de sortie du territoire
gabonais, la quatrième depuis juin 2008, a-t-il
ajouté. Cette organisation réunit des
gouvernements, bailleurs de fonds, membres de la
société civile, et organisations
internationales et a pour but d'assurer que les
revenus des pétrole, gaz et minerais contribuent
au développement des pays producteurs. Le Gabon
y a adhéré en 2004. Copyright
www.fil-info-france.com/
Samedi 28 février 2009 : La justice
française a ordonné la saisie de comptes
bancaires détenus en France par le président
gabonais, Omar Bongo Odimba, qui avait été
condamné en France à rembourser 457 347 euros.
Dans cette affaire, qui remonte à 1996, un
entrepreneur français, René Cardona, avait
été emprisonné à Libreville au Gabon pendant
48 jours à la suite d'un différend avec le
président gabonais. René Cardona avait cédé
sa société d'armement et de pêche à une
entreprise dont Omar Bongo Odimba, son épouse et
2 de ses enfants étaient actionnaires.
Laffaire nayant pas prospéré comme
prévu, le président avait demandé à René
Cardona de reprendre sa société. Devant son
refus, Omar Bongo Odimba a déposé plainte pour
escroquerie devant un juge d'instruction, son
neveu. René Cardona n'avait été libéré
qu'après que son fils eut versé 300 millions de
francs CFA (soit 457 347 euros) sur un compte
personnel d'Omar Bongo Odimba en France. En
octobre 2008, la cour d'appel de Bordeaux avait
estimé que ce versement était "indu et
soumis à restitution" et confirmé la
condamnation d'Omar Bongo à verser 457 347 euros
au fils de René Cardona. Le président gabonais
avait aussi été condamné à acquitter les
intérêts sur la somme depuis 1996, soit plus
d'un million d'euros, et les frais de justice. Copyright
www.fil-info-france.com/
Lundi 9 mars 2009 : Dans un
communiqué diffusé samedi 7 mars 2009 à la
Télévision publique, RTG1, le Parti
démocratique gabonais (PDG au pouvoir) a
"invité instamment le gouvernement et le
parlement gabonais à réexaminer en profondeur
les accords de coopération entre la France et le
Gabon". Cette déclaration intervient après
le dépôt de plusieurs plaintes contre le
président gabonais Omar Bongo Ondimba et une
décision de la justice française, le 26
février 2009, ordonnant la saisie de comptes
bancaires détenus en France par le président
gabonais, Omar Bongo Ondimba, qui avait été
condamné en France à rembourser 457 347 euros.
Dans cette affaire, qui remonte à 1996, un
entrepreneur français, René Cardona, avait
été emprisonné à Libreville au Gabon pendant
48 jours à la suite d'un différend avec le
président gabonais. René Cardona avait cédé
sa société d'armement et de pêche à une
entreprise dont Omar Bongo Ondimba, son épouse
et 2 de ses enfants étaient actionnaires.
Laffaire nayant pas prospéré comme
prévu, le président avait demandé à René
Cardona de reprendre sa société. Devant son
refus, Omar Bongo Ondimba a déposé plainte pour
escroquerie devant un juge d'instruction, son
neveu. René Cardona n'avait été libéré
qu'après que son fils eut versé 300 millions de
francs CFA (soit 457 347 euros) sur un compte
personnel d'Omar Bongo Ondimba en France. En
octobre 2008, la cour d'appel de Bordeaux avait
estimé que ce versement était "indu et
soumis à restitution" et confirmé la
condamnation d'Omar Bongo à verser 457 347 euros
au fils de René Cardona. Le président gabonais
avait aussi été condamné à acquitter les
intérêts sur la somme depuis 1996, soit plus
d'un million d'euros, et les frais de justice. (Reproduction
interdite)
Jeudi 7 mai 2009 : Le
président Omar Bongo Ondimba (74 ans) a annoncé
mercredi 6 mai 2009 "la suspension
momentanée de ses activités" afin "de
se reposer et faire le deuil de son épouse,
Edith Lucie", dont le récent décès l'a
"profondément marqué". Copyright
www.fil-info-france.com/
Mardi 9 juin 2009 : Le
président El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir
depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs
d'Etat africains, est mort lundi 8 juin 2009 à
l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt
cardiaque, à l'hôpital Quiron de Barcelone en
Espagne où il était hospitalisé depuis le 11
mai 2009 à la suite d'un cancer intestinal. Un
deuil national de 30 jours a été décrété.
Selon la Constitution, la présidente du Sénat,
Rose Francine Rogombé, assurera l'intérim
jusqu'à un nouveau scrutin présidentiel qui
devra se tenir dans les 45 jours après la
vacance du pouvoir. Le ministre de la Défense,
le fils du président défunt, Ali Ben Bongo
Ondimba, a décrété "la fermeture des
frontières terrestres, aériennes et maritimes
[...] la mise en place de toutes les composantes
des forces de défense sur tout l'ensemble du
territoire [...] et la sécurisation des sites et
des bâtiments administratifs sensibles".
Omar Bongo Ondimbaavait annoncé mercredi 6 mai
2009 "la suspension momentanée de ses
activités" afin "de se reposer et
faire le deuil de son épouse, Edith Lucie",
dont le récent décès l'a "profondément
marqué". Rappelons qu'après le dépôt de
plusieurs plaintes contre le président gabonais
Omar Bongo Ondimba, une décision de la justice
française, le 26 février 2009, avait ordonné
la saisie de comptes bancaires détenus en France
par le président gabonais, Omar Bongo Ondimba,
qui avait été condamné en France à rembourser
457 347 euros. Dans cette affaire, qui remonte à
1996, un entrepreneur français, René Cardona,
avait été emprisonné à Libreville au Gabon
pendant 48 jours à la suite d'un différend avec
le président gabonais. René Cardona avait
cédé sa société d'armement et de pêche à
une entreprise dont Omar Bongo Ondimba, son
épouse et 2 de ses enfants étaient
actionnaires. Laffaire nayant pas
prospéré comme prévu, le président avait
demandé à René Cardona de reprendre sa
société. Devant son refus, Omar Bongo Ondimba a
déposé plainte pour escroquerie devant un juge
d'instruction, son neveu. René Cardona n'avait
été libéré qu'après que son fils eut versé
300 millions de francs CFA (soit 457 347 euros)
sur un compte personnel d'Omar Bongo Ondimba en
France. En octobre 2008, la cour d'appel de
Bordeaux avait estimé que ce versement était
"indu et soumis à restitution" et
confirmé la condamnation d'Omar Bongo à verser
457 347 euros au fils de René Cardona. Le
président gabonais avait aussi été condamné
à acquitter les intérêts sur la somme depuis
1996, soit plus d'un million d'euros, et les
frais de justice. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Jeudi 11 juin 2009 : Après la
mort du président Omar Bongo Ondimba (73 ans) au
pouvoir pendant près de 41 ans, la présidente
du Sénat, Rose Francine Rogombé, a été
investie mercredi 10 juin 2009, conformément à
la Constitution gabonaise, présidente par
intérim. Elle devient la première femme
présidente au Gabon. Omar Bongo Ondimba sera
inhumé le jeudi 18 juin 2009. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Vendredi 12 juin 2009 : La
dépouille du président Omar Bongo Ondimba a
quitté l'Espagne et est arrivée jeudi 11 juin
2009 à Libreville la capitale où elle a été
accueillie avec les honneurs militaires en
présence de 10 000 personnes. Un deuil national
de 8 jours a été décrété. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mercredi 17 juin 2009 : Les
obsèques nationales du président El Hadj Omar
Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre
1967, doyen des chefs d'Etat africains, mort
lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites
d'un arrêt cardiaque, à l'hôpital Quiron de
Barcelone en Espagne où il était hospitalisé
depuis le 11 mai 2009 à la suite d'un cancer
intestinal, se sont déroulées mardi 16 juin
2009 à Libreville la capitale en présence de
nombreux chefs d'Etat étrangers et africains,
dont le président du Sénégal, Abdoulaye Wade
ou du Congo, Denis Sassou Nguessau. Le président
français, Nicolas Sarkozy, a été hué par la
foule à son arrivée au palais présidentiel.
L'ancien président français Jacques Chirac a
également participé aux funérailles d'Omar
Bongo Ondimba. 350 journalistes, dont une
centaine d'étrangers, ont été accrédités. Lire l'édition de Fil-info-France
du 9 juin 2009 Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Vendredi 19 juin 2009 : Le
président Omar Bongo Ondimba a été inhumé
jeudi 18 juin 2009 à Franceville, sa région
natale, dans le sud-est du pays, selon un rite
traditionnel "dans la plus stricte
intimité". Près d'un millier de personnes
ont assisté à la cérémonie, dont la
présidente intérimaire, Rose Francine Rogombé,
le premier ministre, Jean Eyeghé Ndong,
plusieurs ministres et de nombreuses
personnalités. Lire l'édition de Fil-info-France
du 9 juin 2009 Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 20 juin 2009 : Après la
mort du président Omar Bongo Ondimba, le premier
ministre, Jean Eyeghé Ndong, a donné sa
démission de son gouvernement vendredi 19 juin
2009 qui a été reconduit à son poste dans sa
presque totalité par la présidente par
intérim, Rose Francine Rogombé. Seul le
ministre de l'Intérieur Anddré Mba Obama a
été remplacé en la personne de Jean-François
Ndongou, qui sera chargé de lorganisation
de la prochaine élection présidentielle. Lire l'édition de Fil-info-France
du 9 juin 2009 Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 11 juillet 2009 : La Cour
constitutionnelle a annoncé vendredi 10 juillet
2009 qu'après le décès du président Omar
Bongo Ondimba, l'élection présidentielle se
tiendra au plus tard le 6 septembre 2009,
conformément à la demande des grands partis
politiques qui estimaient qu'organiser une
élection dans un délai de 45 jours suivant la
nomination du président par intérim était trop
court et aurait soulevé des difficultés
logistiques de taille. Le Parti démocratique
gabonais (PDG au pouvoir) n'a pas encore
désigné officiellement de candidat. Le fils
d'Omar Bongo, ministre de la Défense en poste
depuis 1999, Ali Ben Bongo, est donné favori
pour succéder à son père. Rappelons que le
président El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir
depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs
d'Etat africains, est mort lundi 8 juin 2009 à
l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt
cardiaque, à l'hôpital Quiron de Barcelone en
Espagne où il était hospitalisé depuis le 11
mai 2009 à la suite d'un cancer intestinal. Un
deuil national de 30 jours avait été
décrété. Selon la Constitution, la présidente
du Sénat, Rose Francine Rogombé, assure
l'intérim jusqu'à un nouveau scrutin
présidentiel qui aurait dû se tenir dans les 45
jours après la vacance du pouvoir. Lire l'édition de Fil-info-France
du 9 juin 2009 Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 18 juillet 2009 : Dans un
texte intitulé "Appel de Barcelone du 17
juillet 2009", publié vendredi 17 juillet
2009 à Barcelone en Espagne, où le président
Bongo était hospitalisé, André Mba Obame,
ministre et membre du Parti démocratique
gabonais (PDG, au pouvoir), a annoncé qu'il
dépose sa candidature à l'élection
présidentielle prévue pour le dimanche 30 août
2009. Le secrétaire général du PDG, Faustin
Boukoubi, a indiqué ne pas avoir été
"informé" de cette décision, en
précisant qu'André Mba Obame n'avait "pas
démissionné" du parti. Il a ajouté que
"le PDG a proposé à l'investiture un
candidat, c'est Ali Bongo Ondimba", fils du
défunt président et un des vice-présidents du
parti, réfutant des rumeurs de scission au PDG,
suite au choix de son candidat. ** La
présidente du Gabon, Rose Francine Rogombé, qui
assure l'intérim après la mort du président
Omar Bongo Ondimba, a nommé vendredi 17 juillet
2009, le ministre de l'Agriculture et de
l'Elevage, Paul Biyoghé Mba, au poste de premier
ministre, après la démission vendredi de Jean
Eyéghé Ndong, qui a annoncé sa candidature à
l'élection présidentielle du 30 août 2009. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mardi 21 juillet 2009 : Le ministre
de la Défense, quatrième vice-président du
parti au pouvoir, Ali Bongo Ondimba (50 ans),
fils du président du Gabon, Omar Bongo Ondimba,
décédé le lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73
ans des suites d'un arrêt cardiaque, à
l'hôpital Quiron de Barcelone en Espagne où il
était hospitalisé depuis le 11 mai 2009 à la
suite d'un cancer intestinal, a été investi
officiellement candidat du Parti démocratique
gabonais (PDG), à l'élection présidentielle
qui doit se tenir le 30 août 2009, lors du
Congrès extraordinaire du parti qui s'est tenu
le dimanche le 19 juillet 2009. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 8 août 2009 : Le
gouvernement a tenu à rappeler, jeudi 6 août
2009 à l'issue du Conseil des ministres, aux 23
candidats à l'élection présidentielle qui doit
se tenir le 30 août 2009, "ainsi qu'à tous
les membres de leurs équipes de campagnes
respectives, l'interdiction formelle qui leur est
faite d'utiliser les biens publics (véhicules,
embarcations, ordinateurs, photocopieuses,
téléphones, etc.) au cours de cette
campagne" ajoutant que "tout
contrevenant à cette règle sera sévèrement
sanctionné, conformément aux dispositions
légales et réglementaires en vigueur". ** La police
est intervenue violemment pour disperser une
manifestation réclamant la démission du
gouvernement du ministre de la Défense, Ali Ben
Bongo, fils du défunt président Omar Bongo
Ondimba et candidat à la présidentielle du 30
août 2009. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 14 août 2009 : L'opposition
a annoncé jeudi 13 août 2009 avoir déposé une
requête auprès de la Cour constitutionnelle
afin d'obtenir l'annulation de l'élection
présidentielle prévue pour le 30 août 2009,
estimant que les conditions ne sont pas réunies
pour la tenue d'une présidentielle en bonne et
due forme. Le gouvernement a rejeté cette
demande, reconnaissant toutefois des
"problèmes sur les listes
électorales". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Lundi 17 août 2009 : La
présidente intérimaire, Rose Francine Rogombé,
a annoncé vendredi 14 août dans un communiqué
laconique diffusé par la télévision d'Etat que
"pour faire bonne mesure et mettre
l'ensemble des candidats sur un (...) pied
d'égalité, j'ai tenu à ce que ceux d'entre eux
anciennement membres du gouvernement de la
République soient déchargés de leurs
fonctions". La présidente n'a fourni aucun
nom. Seul Ali Bongo Ondimba, fils du défunt
président Omar Bongo Ondimba et candidat du
Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) à
la présidentielle du 30 août au Gabon, est
membre du gouvernement sans discontinuer depuis
1999. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Lundi 31 août 2009 : Les
électeurs étaient appelés aux urnes dimanche
30 août 2009 pour une élection présidentielle
visant à élire le successeur du président Omar
Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre
1967, doyen des chefs d'Etat africains, est mort
lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites
d'un arrêt cardiaque, à l'hôpital Quiron de
Barcelone en Espagne où il était hospitalisé
depuis le 11 mai 2009 à la suite d'un cancer
intestinal. Son fils, ministre de la Défense,
quatrième vice-président du parti au pouvoir,
Ali Bongo Ondimba (50 ans), investi candidat du
Parti démocratique gabonais (PDG), est assuré
de la victoire. 5 candidats sur les 18 en lice,
se sont désistés en sa faveur samedi 29 août
2009. Il s'agit de Paul Mba Abessole du
Rassemblement pour le Gabon (RPG), Jean Eyeghe
Ndong (indépendant, ancien Premier ministre),
Michel Lesli Teal (indépendant), Jean Ntoutoume
Ngoua (indépendant) et Anna Claudine Ayo Assayi
(indépendante). Le ministre de l'Intérieur,
Jean François Ndongou, a publié samedi un
décret ministériel annonçant la ferméture des
frontières terrestres et maritimes du Gabon du
vendredi 28 août au 3 septembre 2009 en raison
de l'élection présidentielle. Plus de 300
observateurs nationaux et internationaux sont
présents dans les bureaux de vote pour
surveiller le scrutin. Les résultats complets
devraient être annoncés mercredi 2 septembre
2009, selon une source gouvernementale. Blogger,
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Fil-info-France ?
Mardi 1er septembre 2009 : Alors que
les résultats de l'élection présidentielle qui
s'est tenue dimanche 30 août 2009 n'ont pas
encore été publiés ni par la Commission
électorale autonome et permanente (CENAP), ni
par le ministère de l'Intérieur, 3 candidats à
l'élection présidentielle, Pierre Mamboundou,
Ali Bongo, fils du défunt président Omar Bongo
Ondimba, et l'ancien ministre de l'Intérieur
André Mba Obame se sont proclamés tous les 3
vainqueurs de ce scrutin. Sans attendre la
proclamation des résultats et les conclusions
des 300 observateurs nationaux et internationaux
accrédités, la France s'est félicitée lundi
31 août 2009 du "bon déroulement du
scrutin", de "la bonne
participation", "en dépit de certaines
difficultés techniques". Blogger,
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Fil-info-France ?
Jeudi 3 septembre 2009 : Les
bâtiments de la station satellitaire mobile de
la télévision Go Africa, à vocation
internationale, appartenant au candidat à
l'élection présidentielle, l'ancien ministre de
l'Intérieur, André Mba Obame (opposition), ont
été mitraillés par des hommes cagoulés dans
la nuit de mardi 1er à mercredi 2 septembre 2009
à Libreville, la capitale. La chaîne a dû
cesser d'émettre. Blogger,
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Fil-info-France ?
Vendredi 4 septembre 2009 : La
commission électorale a annoncé jeudi 3
septembre 2009 qu'Ali Bongo, ancien ministre de
l'Intérieur, fils du chef d'Etat défunt El Hadj
Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2
décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains,
mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des
suites d'un arrêt cardiaque, avait
remporté l'élection présidentielle du 30 août
2009 avec 41,73 % des voix, devant l'ancien
ministre de l'Intérieur André Mba Obame qui
obtient 25,88 % des suffrages et Pierre
Mamboundou (indépendant), avec 25,22 % des voix.
De violentes manifestations ont éclaté à
l'annonce des résultats. Le couvre-feu a été
imposé à Port-Gentil, capitale économique du
Gabon, après l'incendie du Consulat de France. 3
personnes ont été blessées. Des installations
industrielles françaises de Total et
Schlumberger ont été attaquées. Des soldats
français ont été déployés dans la soirée
devant le consulat français. La France dispose
d'une base militaire à Libreville, avec un
millier d'hommes. Environ 10.000 ressortissants
français sont établis au Gabon. Blogger,
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Fil-info-France ?
Samedi 5 septembre 2009 : Les
violences se poursuivaient vendredi 4 septembre
2009 à Port-Gentil, capitale économique du
Gabon, malgré l'instauration d'un couvre-feu,
après l'annonce des résultats de l'élection
présidentielle du 30 août 2009 qui a donné la
victoire à Ali Bongo, ancien ministre de
l'Intérieur, et fils du chef d'Etat défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba, avec
41,73 % des voix. Plusieurs bâtiments, dont un
centre sportif appartenant au groupe pétrolier
français Total, et un commissariat, ont été
incendiés. Les commerces sont vandalisés et
pillés. 2 morts, tués par balles, ont été
recensés. La ville est fermée aux journalistes. ** La Cour
constitutionnelle a validé vendredi 4 septembre
2009 les résultats de l'élection
présidentielle proclamant Ali Bongo Ondimba
vainqueur. Peu avant, l'Union du Peuple Gabonais
de l'opposant Pierre Mamboundou a appelé ses
partisans à la résistance. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Lundi 7 septembre 2009 : Les
violences se sont poursuivies ce week-end à
Port-Gentil, capitale économique du Gabon, où 3
personnes ont été tuées, après l'annonce des
résultats de l'élection présidentielle du 30
août 2009 qui a donné la victoire à Ali Bongo,
ancien ministre de l'Intérieur, et fils du chef
d'Etat défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba, avec
41,73 % des voix. La police affirme ne pas avoir
tiré à balle réelle et utiliser seulement des
gaz lacrymogènes à l'encontre des manifestants.
Le ministère de l'Intérieur a menacé
d'instaurer l'état de siège si les violences ne
s'arrêtent pas. Blogger,
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Fil-info-France ?
Mercredi 16 septembre 2009 : Le nouveau
président, Ali Bongo Ondimba, fils du président
El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le
2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat
africains, mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73
ans des suites d'un arrêt cardiaque, dont
l'élection est contestée par l'opposition qui
l'accuse de fraude, a déclaré lundi 14
septembre 2009 qu'il ne formerait pas un
gouvernement de coalition pour mettre fin à la
contestation qui secoue le pays, indiquant :
"Durant la campagne, j'ai déclaré à
maintes reprises de tendre la main, et je
continue à défendre cette position. Mais
aujourd'hui, c'est clair que le peuple gabonais a
choisi un programme et c'est ce programme qui
doit être exécuté, doit être
développé". L'opposition avait appelé à
une opération "ville morte" pour 3
jours dans tout le pays, mais le mouvement a
été très peu suivi. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Lundi 21 septembre 2009 : 9 des 18
candidats à l'élection présidentielle du 30
août 2009 qui a vu la victoire d'Ali Bongo,
ancien ministre de l'Intérieur, fils du chef
d'Etat défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba, au
pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des
chefs d'Etat africains, mort lundi 8 juin 2009 à
l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt
cardiaque, avec 41,73 % des voix, ont déposé un
recours en annulation du scrutin auprès de la
Cour constitutionnelle, en raison de fraudes
massives. Ces recours vont être examinés dès
lundi 21 septembre 2009 par la Cour. Blogger,
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Fil-info-France ?
Samedi 26 septembre 2009 : Albert
Yangari, directeur de publication du quotidien
national gabonais "L'Union",
interpellé vendredi 25 septembre 2009, a été
libéré quelques heures plus tard. Il a indiqué
avoir été interrogé sur tous les articles
publiés par le journal et en particulier ceux
portant sur les violences qui ont éclaté à
Port-Gentil, capitale pétrolière du pays après
l'annonce des résultats de l'élection
présidentielle du 30 août 2009 qui a donné la
victoire à Ali Bongo, fils du président défunt
El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le
2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat
africains, mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73
ans des suites d'un arrêt cardiaque, victoire
contestée par les autres candidats. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Mardi 29 septembre 2009 : La Cour
constitutionnelle va procéder mardi 29 septembre
2009 à un nouveau comptage des voix après 11
requêtes en annulation déposée par les
principaux candidats de l'opposition. L'annonce
de la victoire du fils d'Omar Bongo Ondimba, et
ministre de l'Intérieur, Ali Bongo Ondimba,
avait provoqué de violentes manifestations qui
auraient fait 5 morts selon l'opposition, 3 selon
un bilan officiel. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Jeudi 1er octobre 2009 : La Cour
constitutionnelle a débuté mercredi 30
septembre 2009 le recomptage des voix recueillies
lors de l'élection présidentielle du 30 août
2009 et dont les résultats ont donné lieu au
dépôt de 11 requêtes en annulation. La
Commission électorale avait déclaré vainqueur
jeudi 3 septembre 2009 le fils d'Omar Bongo
Ondimba, Ali Bongo, ancien ministre de
l'Intérieur, avec 41,73 % des voix provoquant la
colère de l'opposition qui dénonçait des
fraudes massives. De violentes manifestations ont
éclaté à l'annonce des résultats. Ce
recomptage était prévu pour mardi, l'opposition
ayant refusé de présenter des huissiers qui,
selon elle, n'auraient eu qu'un rôle de
figuration". Blogger,
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Fil-info-France ?
Mardi 13 octobre 2009 : La Cour
constitutionnelle a validé lundi 12 octobre 2009
l'élection présidentielle du 30 août 2009 qui
a vu la victoire d'Ali Bongo, fils du président
défunt, Omar Bongo Ondimba, avec 41,73 % des
voix, rejetant ainsi les 11 requêtes en
annulation déposées par l'opposition qui
dénonçait des fraudes massives. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 16 octobre 2009 : Le nouveau
président du Gabon, Ali Bongo Ondimba, fils du
président défunt, Omar Bongo Ondimba, élu avec
41,79 % des voix lors de l'élection
présidentielle du 30 août 2009 dont les
résultats ont été contestés par l'opposition
devant la Cour constitutionnelle, sera
officiellement investi dans ses fonctions
vendredi 16 octobre 2009 à Libreville la
capitale au cours d'une cérémonie. Le
secrétaire d'Etat français à la Coopération,
Alain Joyandet, qui est arrivé jeudi 15 octobre
2009 à Libreville pour participer à la
cérémonie d'investiture d'Ali Bongo à la
présidence du Gabon a affirmé à sa descente
d'avion que "la France n'avait jamais
interféré dans le résultat de ces
élections". Robert Bourgi, avocat français
et conseiller spécial du Président de la
République française Nicolas Sarkozy pour les
relations avec les pays africains, avait assuré
à plusieurs reprises que "la France
soutenait Ali Bongo" et "est le
meilleur garant des intérêts de la
France". La Cour constitutionnelle avait
validé lundi 12 octobre 2009 l'élection
présidentielle du 30 août 2009 qui a vu la
victoire d'Ali Bongo, fils du président défunt,
Omar Bongo Ondimba, avec 41,73 % des voix,
rejetant ainsi les 11 requêtes en annulation
déposées par l'opposition qui dénonçait des
fraudes massives. Blogger,
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Fil-info-France ?
Lundi 19 octobre 2009 : Le nouveau
président Ali Bongo Ondimba a reconduit vendredi
16 octobre 2009 au poste de premier ministre,
Paul Biyoghé Mba, qui a présenté samedi 17 son
gouvernement, composé de 30 membres, au lieu de
44 dans le gouvernement précédent, dont 6
femmes. Ali Bongo Ondimba avait déclaré lors de
son discours dinvestiture prononcé
vendredi 16 octobre 2009, qu'il voulait
"consacrer son mandat au service du peuple
gabonais", et affirmer "sattaquer
aux maux qui minent la société gabonaise",
dont "linjustice, la corruption et
limpunité". Blogger,
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Fil-info-France ?
Vendredi 13 novembre 2009 : 6 journaux
privés ont été suspendus provisoirement mardi
10 novembre 2009 par le Conseil national de la
Communication (CNC) pour "violations des
principes de déontologie et
déthique". Le CNC a déploré que
"la presse continue de sillustrer
malheureusement dans le relais tous azimuts de la
rumeur publique, faisant ainsi montre de paresse
dans linvestigation, chose fondamentale
dans le métier de journaliste. Le CNC ajoute :
"Notre presse, en effet, souffre de
lamateurisme des journalistes et de leurs
encadreurs. Aussi, au lieu déclairer le
public sur lauthenticité ou non des faits
colportés par la rumeur, les médias gabonais,
pour la plupart , relaient celle-ci et sen
font les complices en lamplifiant. Devenant
ainsi les supports de la désinformation et de
lintoxication". Blogger,
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Fil-info-France
Mercredi 18 novembre 2009 : Le
président Ali Bongo Ondimba, fils du président
Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2
décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains,
mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des
suites d'un arrêt cardiaque, effectue à partir
du mercredi 18 novembre 2009 une visite
officielle en France, ancienne puissance
coloniale et premier partenaire économique du
Gabon. Il sera reçu par le président français,
Nicolas Sarkozy. Blogger,
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Fil-info-France ?
Vendredi 4 décembre 2009 : Un tribunal
de Libreville a condamné l'Etat gabonais pour
"voie de fait" à l'encontre de Marc
Ona, Président de lONG environnementaliste
Brainforest et Coordonnateur de Publish What You
Pay (PWYP) Gabon, militant pour une gestion
transparente des revenus pétroliers, et qui
avait déposé une plainte en 2008 contre le
ministre de l'Intérieur, André Mba Obame, pour
lui avoir interdit de sortir du pays alors
quil était invité à New York aux
Etats-Unis, du 6 au 14 juin 2008 par le
"Revenue Watch Institute". L'Etat
gabonais a été condamné à verser à Marc Ona
5 millions de Francs CFA (environ 7 600 euros) à
titre de dommages et intérêt. Blogger,
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