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ARCHIVES 2009 FIL INFO GABON


Lundi 19 janvier 2009 : Un hélicoptère militaire français, qui transportait 10 militaires, s'est écrasé samedi 17 janvier 2009 au large du Gabon lors d'un exercice conjoint avec l'armée gabonaise, peu après son décollage du navire de transport français, "Le Foudre". 7 soldats français ont été tués, 2 blessés et 1 porté disparu. Le président français Nicolas Sarkozy a demandé à ce que "toute la lumière soit faite sur les circonstances de cet accident et que les conclusions de l'enquête lui soient communiquées dans les meilleurs délais". Copyright www.fil-info-france.com/

Lundi 16 février 2009 : Marc Ona, coordonnateur au Gabon de la coalition Publiez ce que vous payez (PCQVP, Publish what you pay) qui milite pour une gestion transparente des revenus pétroliers, a indiqué samedi 14 février 2009 alors qu'il devait se rendre à Doha au Qatar pour assister à une conférence de l'Initiative pour la transparence des industries extractives (EITI, Extractive Industries Transparency Initiative) du 16 au 18 février, avoir reçu de la police, au moment de se rendre à l'aéroport une interdiction de sortie du territoire gabonais, la quatrième depuis juin 2008, a-t-il ajouté. Cette organisation réunit des gouvernements, bailleurs de fonds, membres de la société civile, et organisations internationales et a pour but d'assurer que les revenus des pétrole, gaz et minerais contribuent au développement des pays producteurs. Le Gabon y a adhéré en 2004. Copyright www.fil-info-france.com/

Samedi 28 février 2009 : La justice française a ordonné la saisie de comptes bancaires détenus en France par le président gabonais, Omar Bongo Odimba, qui avait été condamné en France à rembourser 457 347 euros. Dans cette affaire, qui remonte à 1996, un entrepreneur français, René Cardona, avait été emprisonné à Libreville au Gabon pendant 48 jours à la suite d'un différend avec le président gabonais. René Cardona avait cédé sa société d'armement et de pêche à une entreprise dont Omar Bongo Odimba, son épouse et 2 de ses enfants étaient actionnaires. L’affaire n’ayant pas prospéré comme prévu, le président avait demandé à René Cardona de reprendre sa société. Devant son refus, Omar Bongo Odimba a déposé plainte pour escroquerie devant un juge d'instruction, son neveu. René Cardona n'avait été libéré qu'après que son fils eut versé 300 millions de francs CFA (soit 457 347 euros) sur un compte personnel d'Omar Bongo Odimba en France. En octobre 2008, la cour d'appel de Bordeaux avait estimé que ce versement était "indu et soumis à restitution" et confirmé la condamnation d'Omar Bongo à verser 457 347 euros au fils de René Cardona. Le président gabonais avait aussi été condamné à acquitter les intérêts sur la somme depuis 1996, soit plus d'un million d'euros, et les frais de justice. Copyright www.fil-info-france.com/

Lundi 9 mars 2009 : Dans un communiqué diffusé samedi 7 mars 2009 à la Télévision publique, RTG1, le Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir) a "invité instamment le gouvernement et le parlement gabonais à réexaminer en profondeur les accords de coopération entre la France et le Gabon". Cette déclaration intervient après le dépôt de plusieurs plaintes contre le président gabonais Omar Bongo Ondimba et une décision de la justice française, le 26 février 2009, ordonnant la saisie de comptes bancaires détenus en France par le président gabonais, Omar Bongo Ondimba, qui avait été condamné en France à rembourser 457 347 euros. Dans cette affaire, qui remonte à 1996, un entrepreneur français, René Cardona, avait été emprisonné à Libreville au Gabon pendant 48 jours à la suite d'un différend avec le président gabonais. René Cardona avait cédé sa société d'armement et de pêche à une entreprise dont Omar Bongo Ondimba, son épouse et 2 de ses enfants étaient actionnaires. L’affaire n’ayant pas prospéré comme prévu, le président avait demandé à René Cardona de reprendre sa société. Devant son refus, Omar Bongo Ondimba a déposé plainte pour escroquerie devant un juge d'instruction, son neveu. René Cardona n'avait été libéré qu'après que son fils eut versé 300 millions de francs CFA (soit 457 347 euros) sur un compte personnel d'Omar Bongo Ondimba en France. En octobre 2008, la cour d'appel de Bordeaux avait estimé que ce versement était "indu et soumis à restitution" et confirmé la condamnation d'Omar Bongo à verser 457 347 euros au fils de René Cardona. Le président gabonais avait aussi été condamné à acquitter les intérêts sur la somme depuis 1996, soit plus d'un million d'euros, et les frais de justice. (Reproduction interdite)

Jeudi 7 mai 2009 : Le président Omar Bongo Ondimba (74 ans) a annoncé mercredi 6 mai 2009 "la suspension momentanée de ses activités" afin "de se reposer et faire le deuil de son épouse, Edith Lucie", dont le récent décès l'a "profondément marqué". Copyright www.fil-info-france.com/

Mardi 9 juin 2009 : Le président El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, est mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, à l'hôpital Quiron de Barcelone en Espagne où il était hospitalisé depuis le 11 mai 2009 à la suite d'un cancer intestinal. Un deuil national de 30 jours a été décrété. Selon la Constitution, la présidente du Sénat, Rose Francine Rogombé, assurera l'intérim jusqu'à un nouveau scrutin présidentiel qui devra se tenir dans les 45 jours après la vacance du pouvoir. Le ministre de la Défense, le fils du président défunt, Ali Ben Bongo Ondimba, a décrété "la fermeture des frontières terrestres, aériennes et maritimes [...] la mise en place de toutes les composantes des forces de défense sur tout l'ensemble du territoire [...] et la sécurisation des sites et des bâtiments administratifs sensibles". Omar Bongo Ondimbaavait annoncé mercredi 6 mai 2009 "la suspension momentanée de ses activités" afin "de se reposer et faire le deuil de son épouse, Edith Lucie", dont le récent décès l'a "profondément marqué". Rappelons qu'après le dépôt de plusieurs plaintes contre le président gabonais Omar Bongo Ondimba, une décision de la justice française, le 26 février 2009, avait ordonné la saisie de comptes bancaires détenus en France par le président gabonais, Omar Bongo Ondimba, qui avait été condamné en France à rembourser 457 347 euros. Dans cette affaire, qui remonte à 1996, un entrepreneur français, René Cardona, avait été emprisonné à Libreville au Gabon pendant 48 jours à la suite d'un différend avec le président gabonais. René Cardona avait cédé sa société d'armement et de pêche à une entreprise dont Omar Bongo Ondimba, son épouse et 2 de ses enfants étaient actionnaires. L’affaire n’ayant pas prospéré comme prévu, le président avait demandé à René Cardona de reprendre sa société. Devant son refus, Omar Bongo Ondimba a déposé plainte pour escroquerie devant un juge d'instruction, son neveu. René Cardona n'avait été libéré qu'après que son fils eut versé 300 millions de francs CFA (soit 457 347 euros) sur un compte personnel d'Omar Bongo Ondimba en France. En octobre 2008, la cour d'appel de Bordeaux avait estimé que ce versement était "indu et soumis à restitution" et confirmé la condamnation d'Omar Bongo à verser 457 347 euros au fils de René Cardona. Le président gabonais avait aussi été condamné à acquitter les intérêts sur la somme depuis 1996, soit plus d'un million d'euros, et les frais de justice. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Jeudi 11 juin 2009 :
Après la mort du président Omar Bongo Ondimba (73 ans) au pouvoir pendant près de 41 ans, la présidente du Sénat, Rose Francine Rogombé, a été investie mercredi 10 juin 2009, conformément à la Constitution gabonaise, présidente par intérim. Elle devient la première femme présidente au Gabon. Omar Bongo Ondimba sera inhumé le jeudi 18 juin 2009. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Vendredi 12 juin 2009 :
La dépouille du président Omar Bongo Ondimba a quitté l'Espagne et est arrivée jeudi 11 juin 2009 à Libreville la capitale où elle a été accueillie avec les honneurs militaires en présence de 10 000 personnes. Un deuil national de 8 jours a été décrété. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Mercredi 17 juin 2009 :
Les obsèques nationales du président El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, à l'hôpital Quiron de Barcelone en Espagne où il était hospitalisé depuis le 11 mai 2009 à la suite d'un cancer intestinal, se sont déroulées mardi 16 juin 2009 à Libreville la capitale en présence de nombreux chefs d'Etat étrangers et africains, dont le président du Sénégal, Abdoulaye Wade ou du Congo, Denis Sassou Nguessau. Le président français, Nicolas Sarkozy, a été hué par la foule à son arrivée au palais présidentiel. L'ancien président français Jacques Chirac a également participé aux funérailles d'Omar Bongo Ondimba. 350 journalistes, dont une centaine d'étrangers, ont été accrédités. Lire l'édition de Fil-info-France du 9 juin 2009 Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Vendredi 19 juin 2009 : Le président Omar Bongo Ondimba a été inhumé jeudi 18 juin 2009 à Franceville, sa région natale, dans le sud-est du pays, selon un rite traditionnel "dans la plus stricte intimité". Près d'un millier de personnes ont assisté à la cérémonie, dont la présidente intérimaire, Rose Francine Rogombé, le premier ministre, Jean Eyeghé Ndong, plusieurs ministres et de nombreuses personnalités. Lire l'édition de Fil-info-France du 9 juin 2009 Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Samedi 20 juin 2009 : Après la mort du président Omar Bongo Ondimba, le premier ministre, Jean Eyeghé Ndong, a donné sa démission de son gouvernement vendredi 19 juin 2009 qui a été reconduit à son poste dans sa presque totalité par la présidente par intérim, Rose Francine Rogombé. Seul le ministre de l'Intérieur Anddré Mba Obama a été remplacé en la personne de Jean-François Ndongou, qui sera chargé de l’organisation de la prochaine élection présidentielle. Lire l'édition de Fil-info-France du 9 juin 2009 Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Samedi 11 juillet 2009 : La Cour constitutionnelle a annoncé vendredi 10 juillet 2009 qu'après le décès du président Omar Bongo Ondimba, l'élection présidentielle se tiendra au plus tard le 6 septembre 2009, conformément à la demande des grands partis politiques qui estimaient qu'organiser une élection dans un délai de 45 jours suivant la nomination du président par intérim était trop court et aurait soulevé des difficultés logistiques de taille. Le Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir) n'a pas encore désigné officiellement de candidat. Le fils d'Omar Bongo, ministre de la Défense en poste depuis 1999, Ali Ben Bongo, est donné favori pour succéder à son père. Rappelons que le président El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, est mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, à l'hôpital Quiron de Barcelone en Espagne où il était hospitalisé depuis le 11 mai 2009 à la suite d'un cancer intestinal. Un deuil national de 30 jours avait été décrété. Selon la Constitution, la présidente du Sénat, Rose Francine Rogombé, assure l'intérim jusqu'à un nouveau scrutin présidentiel qui aurait dû se tenir dans les 45 jours après la vacance du pouvoir. Lire l'édition de Fil-info-France du 9 juin 2009 Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Samedi 18 juillet 2009 : Dans un texte intitulé "Appel de Barcelone du 17 juillet 2009", publié vendredi 17 juillet 2009 à Barcelone en Espagne, où le président Bongo était hospitalisé, André Mba Obame, ministre et membre du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), a annoncé qu'il dépose sa candidature à l'élection présidentielle prévue pour le dimanche 30 août 2009. Le secrétaire général du PDG, Faustin Boukoubi, a indiqué ne pas avoir été "informé" de cette décision, en précisant qu'André Mba Obame n'avait "pas démissionné" du parti. Il a ajouté que "le PDG a proposé à l'investiture un candidat, c'est Ali Bongo Ondimba", fils du défunt président et un des vice-présidents du parti, réfutant des rumeurs de scission au PDG, suite au choix de son candidat. ** La présidente du Gabon, Rose Francine Rogombé, qui assure l'intérim après la mort du président Omar Bongo Ondimba, a nommé vendredi 17 juillet 2009, le ministre de l'Agriculture et de l'Elevage, Paul Biyoghé Mba, au poste de premier ministre, après la démission vendredi de Jean Eyéghé Ndong, qui a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle du 30 août 2009. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Mardi 21 juillet 2009 : Le ministre de la Défense, quatrième vice-président du parti au pouvoir, Ali Bongo Ondimba (50 ans), fils du président du Gabon, Omar Bongo Ondimba, décédé le lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, à l'hôpital Quiron de Barcelone en Espagne où il était hospitalisé depuis le 11 mai 2009 à la suite d'un cancer intestinal, a été investi officiellement candidat du Parti démocratique gabonais (PDG), à l'élection présidentielle qui doit se tenir le 30 août 2009, lors du Congrès extraordinaire du parti qui s'est tenu le dimanche le 19 juillet 2009. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Samedi 8 août 2009 : Le gouvernement a tenu à rappeler, jeudi 6 août 2009 à l'issue du Conseil des ministres, aux 23 candidats à l'élection présidentielle qui doit se tenir le 30 août 2009, "ainsi qu'à tous les membres de leurs équipes de campagnes respectives, l'interdiction formelle qui leur est faite d'utiliser les biens publics (véhicules, embarcations, ordinateurs, photocopieuses, téléphones, etc.) au cours de cette campagne" ajoutant que "tout contrevenant à cette règle sera sévèrement sanctionné, conformément aux dispositions légales et réglementaires en vigueur". ** La police est intervenue violemment pour disperser une manifestation réclamant la démission du gouvernement du ministre de la Défense, Ali Ben Bongo, fils du défunt président Omar Bongo Ondimba et candidat à la présidentielle du 30 août 2009. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 14 août 2009 : L'opposition a annoncé jeudi 13 août 2009 avoir déposé une requête auprès de la Cour constitutionnelle afin d'obtenir l'annulation de l'élection présidentielle prévue pour le 30 août 2009, estimant que les conditions ne sont pas réunies pour la tenue d'une présidentielle en bonne et due forme. Le gouvernement a rejeté cette demande, reconnaissant toutefois des "problèmes sur les listes électorales". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Lundi 17 août 2009 : La présidente intérimaire, Rose Francine Rogombé, a annoncé vendredi 14 août dans un communiqué laconique diffusé par la télévision d'Etat que "pour faire bonne mesure et mettre l'ensemble des candidats sur un (...) pied d'égalité, j'ai tenu à ce que ceux d'entre eux anciennement membres du gouvernement de la République soient déchargés de leurs fonctions". La présidente n'a fourni aucun nom. Seul Ali Bongo Ondimba, fils du défunt président Omar Bongo Ondimba et candidat du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) à la présidentielle du 30 août au Gabon, est membre du gouvernement sans discontinuer depuis 1999. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 31 août 2009 :
Les électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 30 août 2009 pour une élection présidentielle visant à élire le successeur du président Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, est mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, à l'hôpital Quiron de Barcelone en Espagne où il était hospitalisé depuis le 11 mai 2009 à la suite d'un cancer intestinal. Son fils, ministre de la Défense, quatrième vice-président du parti au pouvoir, Ali Bongo Ondimba (50 ans), investi candidat du Parti démocratique gabonais (PDG), est assuré de la victoire. 5 candidats sur les 18 en lice, se sont désistés en sa faveur samedi 29 août 2009. Il s'agit de Paul Mba Abessole du Rassemblement pour le Gabon (RPG), Jean Eyeghe Ndong (indépendant, ancien Premier ministre), Michel Lesli Teal (indépendant), Jean Ntoutoume Ngoua (indépendant) et Anna Claudine Ayo Assayi (indépendante). Le ministre de l'Intérieur, Jean François Ndongou, a publié samedi un décret ministériel annonçant la ferméture des frontières terrestres et maritimes du Gabon du vendredi 28 août au 3 septembre 2009 en raison de l'élection présidentielle. Plus de 300 observateurs nationaux et internationaux sont présents dans les bureaux de vote pour surveiller le scrutin. Les résultats complets devraient être annoncés mercredi 2 septembre 2009, selon une source gouvernementale. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 1er septembre 2009 : Alors que les résultats de l'élection présidentielle qui s'est tenue dimanche 30 août 2009 n'ont pas encore été publiés ni par la Commission électorale autonome et permanente (CENAP), ni par le ministère de l'Intérieur, 3 candidats à l'élection présidentielle, Pierre Mamboundou, Ali Bongo, fils du défunt président Omar Bongo Ondimba, et l'ancien ministre de l'Intérieur André Mba Obame se sont proclamés tous les 3 vainqueurs de ce scrutin. Sans attendre la proclamation des résultats et les conclusions des 300 observateurs nationaux et internationaux accrédités, la France s'est félicitée lundi 31 août 2009 du "bon déroulement du scrutin", de "la bonne participation", "en dépit de certaines difficultés techniques". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Jeudi 3 septembre 2009 : Les bâtiments de la station satellitaire mobile de la télévision Go Africa, à vocation internationale, appartenant au candidat à l'élection présidentielle, l'ancien ministre de l'Intérieur, André Mba Obame (opposition), ont été mitraillés par des hommes cagoulés dans la nuit de mardi 1er à mercredi 2 septembre 2009 à Libreville, la capitale. La chaîne a dû cesser d'émettre. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 4 septembre 2009 : La commission électorale a annoncé jeudi 3 septembre 2009 qu'Ali Bongo, ancien ministre de l'Intérieur, fils du chef d'Etat défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, avait remporté l'élection présidentielle du 30 août 2009 avec 41,73 % des voix, devant l'ancien ministre de l'Intérieur André Mba Obame qui obtient 25,88 % des suffrages et Pierre Mamboundou (indépendant), avec 25,22 % des voix. De violentes manifestations ont éclaté à l'annonce des résultats. Le couvre-feu a été imposé à Port-Gentil, capitale économique du Gabon, après l'incendie du Consulat de France. 3 personnes ont été blessées. Des installations industrielles françaises de Total et Schlumberger ont été attaquées. Des soldats français ont été déployés dans la soirée devant le consulat français. La France dispose d'une base militaire à Libreville, avec un millier d'hommes. Environ 10.000 ressortissants français sont établis au Gabon. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 5 septembre 2009 : Les violences se poursuivaient vendredi 4 septembre 2009 à Port-Gentil, capitale économique du Gabon, malgré l'instauration d'un couvre-feu, après l'annonce des résultats de l'élection présidentielle du 30 août 2009 qui a donné la victoire à Ali Bongo, ancien ministre de l'Intérieur, et fils du chef d'Etat défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba, avec 41,73 % des voix. Plusieurs bâtiments, dont un centre sportif appartenant au groupe pétrolier français Total, et un commissariat, ont été incendiés. Les commerces sont vandalisés et pillés. 2 morts, tués par balles, ont été recensés. La ville est fermée aux journalistes. ** La Cour constitutionnelle a validé vendredi 4 septembre 2009 les résultats de l'élection présidentielle proclamant Ali Bongo Ondimba vainqueur. Peu avant, l'Union du Peuple Gabonais de l'opposant Pierre Mamboundou a appelé ses partisans à la résistance. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 7 septembre 2009 : Les violences se sont poursuivies ce week-end à Port-Gentil, capitale économique du Gabon, où 3 personnes ont été tuées, après l'annonce des résultats de l'élection présidentielle du 30 août 2009 qui a donné la victoire à Ali Bongo, ancien ministre de l'Intérieur, et fils du chef d'Etat défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba, avec 41,73 % des voix. La police affirme ne pas avoir tiré à balle réelle et utiliser seulement des gaz lacrymogènes à l'encontre des manifestants. Le ministère de l'Intérieur a menacé d'instaurer l'état de siège si les violences ne s'arrêtent pas. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mercredi 16 septembre 2009 : Le nouveau président, Ali Bongo Ondimba, fils du président El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, dont l'élection est contestée par l'opposition qui l'accuse de fraude, a déclaré lundi 14 septembre 2009 qu'il ne formerait pas un gouvernement de coalition pour mettre fin à la contestation qui secoue le pays, indiquant : "Durant la campagne, j'ai déclaré à maintes reprises de tendre la main, et je continue à défendre cette position. Mais aujourd'hui, c'est clair que le peuple gabonais a choisi un programme et c'est ce programme qui doit être exécuté, doit être développé". L'opposition avait appelé à une opération "ville morte" pour 3 jours dans tout le pays, mais le mouvement a été très peu suivi. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 21 septembre 2009 : 9 des 18 candidats à l'élection présidentielle du 30 août 2009 qui a vu la victoire d'Ali Bongo, ancien ministre de l'Intérieur, fils du chef d'Etat défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, avec 41,73 % des voix, ont déposé un recours en annulation du scrutin auprès de la Cour constitutionnelle, en raison de fraudes massives. Ces recours vont être examinés dès lundi 21 septembre 2009 par la Cour. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Samedi 26 septembre 2009 : Albert Yangari, directeur de publication du quotidien national gabonais "L'Union", interpellé vendredi 25 septembre 2009, a été libéré quelques heures plus tard. Il a indiqué avoir été interrogé sur tous les articles publiés par le journal et en particulier ceux portant sur les violences qui ont éclaté à Port-Gentil, capitale pétrolière du pays après l'annonce des résultats de l'élection présidentielle du 30 août 2009 qui a donné la victoire à Ali Bongo, fils du président défunt El Hadj Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, victoire contestée par les autres candidats. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 29 septembre 2009 : La Cour constitutionnelle va procéder mardi 29 septembre 2009 à un nouveau comptage des voix après 11 requêtes en annulation déposée par les principaux candidats de l'opposition. L'annonce de la victoire du fils d'Omar Bongo Ondimba, et ministre de l'Intérieur, Ali Bongo Ondimba, avait provoqué de violentes manifestations qui auraient fait 5 morts selon l'opposition, 3 selon un bilan officiel. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Jeudi 1er octobre 2009 : La Cour constitutionnelle a débuté mercredi 30 septembre 2009 le recomptage des voix recueillies lors de l'élection présidentielle du 30 août 2009 et dont les résultats ont donné lieu au dépôt de 11 requêtes en annulation. La Commission électorale avait déclaré vainqueur jeudi 3 septembre 2009 le fils d'Omar Bongo Ondimba, Ali Bongo, ancien ministre de l'Intérieur, avec 41,73 % des voix provoquant la colère de l'opposition qui dénonçait des fraudes massives. De violentes manifestations ont éclaté à l'annonce des résultats. Ce recomptage était prévu pour mardi, l'opposition ayant refusé de présenter des huissiers qui, selon elle, n'auraient eu qu'un rôle de figuration". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Mardi 13 octobre 2009 : La Cour constitutionnelle a validé lundi 12 octobre 2009 l'élection présidentielle du 30 août 2009 qui a vu la victoire d'Ali Bongo, fils du président défunt, Omar Bongo Ondimba, avec 41,73 % des voix, rejetant ainsi les 11 requêtes en annulation déposées par l'opposition qui dénonçait des fraudes massives. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 16 octobre 2009 : Le nouveau président du Gabon, Ali Bongo Ondimba, fils du président défunt, Omar Bongo Ondimba, élu avec 41,79 % des voix lors de l'élection présidentielle du 30 août 2009 dont les résultats ont été contestés par l'opposition devant la Cour constitutionnelle, sera officiellement investi dans ses fonctions vendredi 16 octobre 2009 à Libreville la capitale au cours d'une cérémonie. Le secrétaire d'Etat français à la Coopération, Alain Joyandet, qui est arrivé jeudi 15 octobre 2009 à Libreville pour participer à la cérémonie d'investiture d'Ali Bongo à la présidence du Gabon a affirmé à sa descente d'avion que "la France n'avait jamais interféré dans le résultat de ces élections". Robert Bourgi, avocat français et conseiller spécial du Président de la République française Nicolas Sarkozy pour les relations avec les pays africains, avait assuré à plusieurs reprises que "la France soutenait Ali Bongo" et "est le meilleur garant des intérêts de la France". La Cour constitutionnelle avait validé lundi 12 octobre 2009 l'élection présidentielle du 30 août 2009 qui a vu la victoire d'Ali Bongo, fils du président défunt, Omar Bongo Ondimba, avec 41,73 % des voix, rejetant ainsi les 11 requêtes en annulation déposées par l'opposition qui dénonçait des fraudes massives. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 19 octobre 2009 : Le nouveau président Ali Bongo Ondimba a reconduit vendredi 16 octobre 2009 au poste de premier ministre, Paul Biyoghé Mba, qui a présenté samedi 17 son gouvernement, composé de 30 membres, au lieu de 44 dans le gouvernement précédent, dont 6 femmes. Ali Bongo Ondimba avait déclaré lors de son discours d’investiture prononcé vendredi 16 octobre 2009, qu'il voulait "consacrer son mandat au service du peuple gabonais", et affirmer "s’attaquer aux maux qui minent la société gabonaise", dont "l’injustice, la corruption et l’impunité". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 13 novembre 2009 : 6 journaux privés ont été suspendus provisoirement mardi 10 novembre 2009 par le Conseil national de la Communication (CNC) pour "violations des principes de déontologie et d’éthique". Le CNC a déploré que "la presse continue de s’illustrer malheureusement dans le relais tous azimuts de la rumeur publique, faisant ainsi montre de paresse dans l’investigation, chose fondamentale dans le métier de journaliste. Le CNC ajoute : "Notre presse, en effet, souffre de l’amateurisme des journalistes et de leurs encadreurs. Aussi, au lieu d’éclairer le public sur l’authenticité ou non des faits colportés par la rumeur, les médias gabonais, pour la plupart , relaient celle-ci et s’en font les complices en l’amplifiant. Devenant ainsi les supports de la désinformation et de l’intoxication". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

Mercredi 18 novembre 2009 : Le président Ali Bongo Ondimba, fils du président Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis le 2 décembre 1967, doyen des chefs d'Etat africains, mort lundi 8 juin 2009 à l'âge de 73 ans des suites d'un arrêt cardiaque, effectue à partir du mercredi 18 novembre 2009 une visite officielle en France, ancienne puissance coloniale et premier partenaire économique du Gabon. Il sera reçu par le président français, Nicolas Sarkozy. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Vendredi 4 décembre 2009 : Un tribunal de Libreville a condamné l'Etat gabonais pour "voie de fait" à l'encontre de Marc Ona, Président de l’ONG environnementaliste Brainforest et Coordonnateur de Publish What You Pay (PWYP) Gabon, militant pour une gestion transparente des revenus pétroliers, et qui avait déposé une plainte en 2008 contre le ministre de l'Intérieur, André Mba Obame, pour lui avoir interdit de sortir du pays alors qu’il était invité à New York aux Etats-Unis, du 6 au 14 juin 2008 par le "Revenue Watch Institute". L'Etat gabonais a été condamné à verser à Marc Ona 5 millions de Francs CFA (environ 7 600 euros) à titre de dommages et intérêt. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?



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