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FINLANDE,
FIL-INFO-FINLANDE ©, 2006, ARCHIVES, 2006
- Mercredi 4 janvier 2006 :
Une bombe a explosé mardi sous la
voiture de la consule finlandaise à
Athènes, Leena Vuorio, située dans le
parking d'un immeuble résidentiel.
Aucune victime n'est à déplorer.
L'ambassadeur de Finlande en Grèce, Ole
Norrback, a déclaré à la chaîne de
télévision finlandaise YLE
TV, que cette attaque
ne visait ni la diplomate, ni le
personnel de l'ambassade finlandaise ni
la Finlande.
Lundi 16 janvier 2006 : 4,3
millions d'électeurs étaient appelés
aux urnes dimanche pour élire leur
président. La présidente sortante Tarja
Halonen devrait être reconduite pour un
deuxième mandat de 6 ans.Elle est
opposée à l'ancien ministre des
Finances Sauli Niinisto (conservateur) et
le Premier ministre Matti Vanhanen
(centriste). Un second tour serait
organisé le 29 janvier 2006 si aucun des
candidats n'obtient 50 % des suffrages.
Lundi 30 janvier 2006 : La
présidente Tarja Halonen, candidate de
la gauche, a été réélue pour un
second mandat de 6 ans à l'issue du
deuxième tour de l'élection
présidentielle qui s'est tenue dimanche
29 janvier 2006 recueillant 51,8 % des
suffrages. Le candidat conservateur,
Sauli Niinistö, a reconnu sa défaite.
Lundi 3 juillet 2006 : La
Finlande a officiellement succédé à
l'Autriche samedi 1er juillet 2006 pour 6
mois à la présidence tournante de
l'Union européenne. Le Premier ministre
Matti Vanhanen s'est engagé à oeuvrer
pour "une Europe des résultats qui
génère de la valeur ajoutée".
Mardi 4 juillet 2006 : Le
président de la Commission européenne,
José Manuel Barroso, est arrivé lundi 3
juillet 2006 à Helsinki la capitale pour
inaugurer la présidence tournante de
lUnion européenne qui revient pour
6 mois à la Finlande. Il a rencontré
notamment le Premier ministre Matti
Vanhanen. La Commission européenne a
proposé la création d'une zone de
libre-échange entre l'Union européenne
et la Russie à la condition que Moscou
intégre l'Organisation mondiale du
commerce (OMC).
Jeudi 10 août 2006 : Le
roi Abdallah II de
Jordanie a effectué
mercredi 9 août 2006 une visite
officielle dans ce pays. A l'issue de ses
entretiens avec la présidente, Tarja
Halonen, il s'est dit convaincu que
"les Européens jouent un rôle
très important dans le règlement de la
crise au Proche-Orient". Abdallah II
a ajouté : "Quand les canons vont
se taire, le principal sera de faire
progresser le processus de paix. Si nous
essuyons un échec, l'avenir du
Proche-Orient paraîtra lugubre".
Samedi 12 août 2006 : Dans
un communiqué publié vendredi 11 août
2006 par le gouvernement, le premier
ministre, Matti Vanhanen, s'exprimant
"en tant que chef du gouvernement du
pays-président de l'Union européenne
(UE) a exhorté à l'adoption la plus
rapide possible d'une résolution du Conseil de
sécurité de l'ONU
qui contribuerait à désamorcer au plus
vite la crise humanitaire au Liban et
serve de base au règlement du
conflit".
Vendredi 25 août 2006 : Le
ministre des Affaires étrangères, Erkki
Tuomioja, dont la pays assure la
présidence tournante de l'Union
européenne, a déclaré que, même si la
situation au Sud-Liban s'était
stabilisée depuis l'arrêt des
hostilités le 14 août 2006, elle
demeurait précaire. Il a donc jugé
"essentiel que l'UE déploie le plus
rapidement possible ses renforts au
Sud-Liban". **
Le ministre des
Affaires étrangères Erkki Tuomioja a
annoncé mercredi 23 août 2006 après un
entretien à Helsinki avec son homologue
syrien, Walid Mouallem, que la Syrie
menace de fermer sa frontière avec le
Liban si une force internationale est
déployée le long de la frontière
libano-syrienne. Le président syrien
Bachar Al-Assad s'était déjà prononcé
contre le déploiement d'une force
internationale à la frontière
libano-syrienne, réclamé par Israël,
qu'il considère comme un acte
"hostile" à l'égard de son
pays.
Mercredi 30 août 2006 :La
vice-présidente du gouvernement
espagnol, Maria Teresa Fernandez de la
Vega, a annoncé mardi 29 août 2006 à
Helsinki la capitale, "la
convocation d'une réunion urgente des
pays européens de la
Méditerranée" pour étudier les
modalités d'un renforcement du contrôle
des frontières maritimes.
Samedi 2 septembre 2006 : La
commissaire européenne aux Relations
extérieures Benita Ferrero-Waldner a
appelé vendredi 1er septembre 2006 à
une rencontre entre le Premier ministre
israélien Ehud Olmert et le président
palestinien Mahmoud Abbas, afin de
relancer le processus de paix au
Proche-Orient. Les ministres des Affaires
étrangères de l'Union européenne sont
réunis à Lappeenranté, dans le sud-est
du pays, sur la question du
Proche-Orient, en particulier sur
"la feuille de route", plan de
paix mis en place par le Quartet (Union
européenne, ONU, Etats-Unis, Russie)
rédigé en 2003 et qui prévoit la
création d'un Etat palestinien viable.
Jeudi 7 septembre 2006 : Le
ministre des Affaires étrangères, Erkki
Tuomioja, dont le pays assure la
présidence tournante de l'Union
européenne, a demandé au
"gouvernement Olmert d'ordonner la
libération des membres du gouvernement
palestinien arrêtés". Ajoutant :
"ces libérations sont la condition
sine qua non dune relance du
processus du paix au Proche-Orient".
Vendredi 8 septembre 2006 : La
Présidence de l'Union européenne (UE) a
indiqué, mercredi 6 septembre 2006,
quelle avait été troublée
d'apprendre que le gouvernement
israélien avait lancé un appel d'offres
pour la construction de 690 nouveaux
logements dans les colonies de Maalé
Adoumim et de Beitar Eilit, en
Cisjordanie. Dans un communiqué, La
Présidence de l'UE exhorte le
gouvernement israélien dannuler
lappel d'offres et de geler toutes
les activités coloniales, y compris
naturellement lextension des
colonies, comme stipulé dans la Feuille
de route. Le communiqué de presse a
ajouté que ces constructions planifiées
menaçait la viabilité de la solution de
deux états convenue. Comme toute
activité de colonisation, elle viole le
droit international, en particulier
l'article 49 de la quatrième
Convention de Genève,
qui stipule que "l'autorité
d'occupation ne déplacera pas ou ne
transférera pas sa propre population
civile dans le territoire occupé."
Lundi 11 septembre 2006 : Le
6e sommet Asie-Europe (ASEM) s'est ouvert
dimanche 10 septembre 2006 à Helsinki,
avec la participation des dirigeants de
38 pays: 25 membres de l'Union
européenne, 10 membres de l'Association
des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean),
la Chine, la Corée du Sud et le Japon,
et de la Commission européenne. L'ASEM
6, qui marque le 10e anniversaire du
Forum de coopération Asie-Europe, est la
plus grande rencontre internationale au
niveau de chef d'Etat ou de gouvernement
jamais organisée en Finlande.
Samedi 21 octobre 2006 : Les
chefs d'Etat et de gouvernement des 25
pays de lUnion européenne se sont
retrouvés, vendredi 20 octobre 2006 à
Lahti, pour un sommet consacré à la
lutte contre l'immigration illégale, à
l'innovation et surtout à l'énergie. Le
président russe Vladimir Poutine
participe à cette réunion. Il a d'ores
et déjà fait savoir que la Russie ne
ratifierait pas la Charte internationale
de l'énergie.
Samedi 4 novembre 2006 : La
Finlande qui assure la présidence
tournant de lAllemagne de l'Union
européenne a annoncé l'annulation d'une
réunion sur le statut de Chypre, qui
devait avoir lieu ce week-end à
Helsinki. La Grèce navait pas
été invitée à y participer. La
Turquie a signé en juillet 2005 un
protocole étendant son union douanière
avec lUnion Européenne aux 10
nouveaux Etats membres entrés en 2004
mais elle ne lapplique toujours pas
aux Chypriotes grecs.
Vendredi 24 novembre 2006 : Le
président russe Vladimir Poutine est
arrivé jeudi 23 novembre 2006 à
Helsinki la capitale pour une visite de
travail de 2 jours. La Pologne a refusé
de lever son veto au lancement des
négociations sur un nouvel accord entre
la Russie et l'Union européenne qui
expire fin 2007, à la veille de
l'ouverture, le 24 novembre 2006, à
Helskinki, du sommet Russie-Union
Européenne, dont la présidence
tournante est assurée par la Finlande.
Mercredi 6 décembre 2006 : Les
députés de Finlande, pays qui assure la
présidence tournante de l'Union
européenne jusqu'au 31 décembre 2006,
ont approuvé à une écrasante majorité
de 125 voix pour et 39 contre le projet
de traité constitutionnel européen,
devenant ainsi le 16e pays de l'Union
européenne (UE) à ratifier ce texte.
Pour entrer en vigueur le traité doit
être ratifié par les 25 pays membres de
l'UE. Or la France et les Pays-Bas ont
rejeté le Traité européen, lors de
référendums organisés en 2005.
Vendredi 8 décembre 2006 : La
présidence finlandaise de l'Union
européenne a annoncé jeudi 7 décembre
2006 que la Turquie a accepté d'ouvrir
un de ses ports aux navires chypriotes et
un aéroport aux appareils venant de
l'île. La Commission européenne,
réunie à Bruxelles en Belgique, avait
décidé le mercredi 29 novembre 2006 de
geler partiellement les négociations
d'adhésion de la Turquie à l'Union
européenne, Ankara refusant d'ouvrir ses
ports aux navires chypriotes.
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