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TOGO
-
- Nom officiel
- République
du Togo
- Administration
- Le
Togo est divisé en 5 régions : De La Kara,
Des Plateaux, Des Savanes, Du Centre, Maritime.
- Capitale
- Lomé.
- Chronologie
historique et politique
XVe siècle : les
Portugais, puis les Danois, arrivent sur la côte
du Golfe de Guinée.
XVIe siècle : premiers missionnaires
portugais. Commerce des esclaves florissant.
Protectorat exercé par le Danemark.
1884 : protectorat allemand du Togo établi
par l'explorateur Gustav Nachtigal. Les
plantations d'huile de palme sont développées.
1894-1914 : protectorat allemand.
1897 : Lomé devient la capitale du Togo.
Août 1914 : les troupes françaises et
britanniques s'emparent du Togo. Les Britanniques
occupent les riches terres à cacao pendant toute
la durée de la guerre.
Juillet 1919 : convention du 10 juillet
qui partage le Togo entre la France, qui obtient
la côte de Lomé (55 000 km2), et les
Britanniques, qui se voient attribuer les Terres
de l'ouest (Togoland, 30 000 km2).
1922 : la Société des Nations donnent des
mandats à la France et la Grande-Bretagne.
1936 : le Togo est intégré à
l'Afrique-Occidentale française (AOF).
13 décembre 1946 : le Togo passe sous la
tutelle des Nations unies.
9 mai 1956 : les territoires du nord du
Togo britannique sont rattachés à la Côte de
l'or, qui devient l'Etat indépendant du Ghana.
26 août 1956 : fin du mandat britannique.
30 août 1956 : proclamation de la
République autonome du Togo. Nicolas Grunitzky,
du Parti togolais du progrès (PTP) devient
premier ministre.
27 avril 1958 : élections sous le
contrôle de l'ONU. Le PTP s'effondre. Sylvanus
Olympio (du parti Comité d'unité togolaise,
CUT) devient premier ministre.
27 avril 1960 : proclamation de
l'indépendance du Togo français, le Togo
britannique s'unit au Ghana.
Septembre 1960 : le Togo est admis au sein
de lONU.
9 avril 1961 : élection présidentielle.
Sylvanus Olympio devient le premier président du
Togo, au détriment de son rival, soutenu par la
France, Nicolas Grunitzky.
13 janvier 1963 : Sylvanus Olympio est
assassiné. Un comité insurrectionnel militaire
prend le pouvoir, mené par Nicolas Grunitzky.
5 mai 1963 : élections générales.
Novembre 1966 : tentative de coup d'Etat.
13 janvier 1967 : coup d'Etat militaire.
L'armée suspend la constitution, dissout
l'Assemblée.
14 avril 1967 : le lieutenant-colonel
Etienne Gnassingbé Eyadéma prend les rênes du
pouvoir et instaure le régime de parti unique.
1974 : nationalisation de l'industrie du
phosphate.
1979 : Etienne Gnassingbé Eyadéma est
élu président.
1980 : proclamation de la 3e République.
1982 : début de la politique de
privatisation et de baisse des dépenses
publiques.
Janvier 1983 : exode d'un million de
Ghanéens chassés du Nigeria qui traversent le
Togo lors de leur retour dans leur pays.
1985 : série d'attentats à Lomé.
1985 : tentative de coup d'Etat. Le Togo
accuse le Ghana et le Burkina Faso d'implication.
La frontière du Togo avec le Ghana restera
fermée jusqu'en 1987.
1982 : début de la politique de
privatisation et de baisse des dépenses
publiques.
Janvier 1983 : exode d'un million de
Ghanéens chassés du Nigeria qui traversent le
Togo lors de leur retour dans leur pays.
14 janvier 1983 : le président françois
François Mittrrand effectue une visite
officielle au Togo.
25 septembre 1986 : la France accepte d'envoyer
près de 200 militaires à Lomé à la demande du
général Gnassingbe Eyadema.
1986 : le chef de l'opposition en exil,
Gilchrist Olympio, est condamné à mort par
contumace pour complicité de tentative de coup
d'Etat en 1985.
21 décembre 1986 : Gnassingbe Eyadema est
réélu président pour un nouveau mandat de 7
ans avec 99,95 % des voix.
Juillet 1988 : suppression des monopoles
commerciaux.
Août 1990 : nomination d'une commission
pour élaborer une nouvelle constitution.
1991 : grèves et manifestations à Lomé
la capitale pour exiger des réformes
démocratiques. Le président Eyadéma accepte de
partager le pouvoir. Il instaure le multipartisme
sous la pression de l'opposition.
7 juillet 1991 : après 25 années d'exil,
Gilchrist Olympio revient au Togo pour participer
à la Conférence nationale souveraine dans le
processus de démocratisation du Togo.
8 juillet au 26 août 1991 : réunion de
la Conférence nationale qui transfère des
pouvoirs du président au premier ministre pas
encore nommé.
28 novembre 1991 : un groupe de militaires
prend le contrôle de la radio-télévision et
tente de redonner au président Gnassingbe
Eyadema les pouvoirs qu'il a perdus.
3 décembre 1991 : coup d'Etat militaire. Le
gouvernement tombe. Le processus de
démocratisation est ralenti.
Février 1992 : Gilchrist Olympio fonde
l'Union des Forces de Changement (UFC).
5 mai 1992 : l'opposant Gilchrist
Olympio, président de l'Union des froces du
changement (UTP), échappe à une tentative
d'attentat.
27 septembre 1992 : référendum sur la
constitution, approuvée avec 98,1 % des
suffrages. La nouvelle constitution est
promulguée le 14 octobre 1992.
26 janvier 1993 : une manifestation est
réprimée à Lomé la capitale, faisant une
centaine de morts.
8 février 1993 : l'Union européenne suspend
sa coopération avec le Togo.
25 août 1993 : Gnassingbe Eyadema remporte
l'élection présidentielle , avec 96,4 % des
suffrages. Le scrutin est boycotté par
l'opposition.
Février 1994 : le Comité d'action pour le
renouveau (CAR) remporte les élections
législatives.
23 avril 1994 : Edem Kodjo de l'Union des
Forces du Changement (UTD) est nommé premier
ministre.
15 décembre 1994 : adoption par le parlement
d'une loi d'amnistie générale.
1996 : lors d'élections législatives
partielles, le parti du président Gnassingbe
Eyadema, Rassemblement du peuple togolais (RPT),
remporte le scrutin.
20 août 1996 : nomination d'un nouveau
premier ministre en la personne de Kwassi Klutse,
qui forme un gouvernement favorable au
président.
13 janvier 1997 : Gnassingbe Eyadema
organise une cérémonie pour célébrer le
trentième anniversaire de son accession au
pouvoir. Il devient le doyen des chefs d'Etat
africains.
21 juin 1998 : Gnassingbe Eyadema remporte
dès le premier tour lélection
présidentielle avec 52,1 % des suffrages.
Lopposition crie à la fraude. Le
président de la Commission électorale nationale
démissionne. Les bailleurs de fonds suspendent
leur aide au Togo.
21 mars 1999 : le parti au pouvoir,
Rassemblement du peuple togolais (RPT), remporte
les élections législatives boycottées par
lopposition.
21 mai 1999 : Eugène Abodoli est nommé
premier ministre.
31 août 2000 : Agbeyome Kodjo est nommé
premier ministre après le renversement du
parlement.
24 février 2001 : répression dune
manifestation de lopposition à Lomé.
8 février 2002 : le code électoral est
modifié avant la Constitution en décembre 2002
qui ne limite plus à deux le nombre de mandats
présidentiels. Ce qui permet à Gnassingbé
Eyadéma de briguer un nouveau mandat.
27 juin 2002 : Koffi Sama est nommé
premier ministre en remplacement dAgbeyome
Kodjo.
27 octobre 2002 : les élections
législatives, boycottées par lopposition,
sont remportées par le parti au pouvoir,
Rassemblement du peuple togolais (RPT).
2 juin 2003 : élection présidentielle.
Gnassingbe Eyadema réélu avec 57,78 % des voix.
Mercredi 26 mai 2004 : 9
personnes, dont 6 étudiants, arrêtées à la
suite de violences qui avaient opposé le 30
avril 2004 des policiers aux étudiants et des
casseurs "venus de l'extérieur" sur le
campus de lUniversité de Lomé, ont été
condamnées lundi par le tribunal de Lomé à 18
mois demprisonnement ferme. 15 personnes
dont 11 étudiants arrêtés lors des incidents,
ont été jugées pour "action concertée et
voie de fait". Les étudiants réclamaient
que le gouvernement leur verse immédiatement 4
tranches des aides accordées par lEtat à
tous les étudiants togolais. Ces aides sont
versées en 3 tranches au cours de lannée,
a expliqué le ministre de l'Enseignement
supérieur, Charles Kondi Agba, estimant
quil sagit de "réclamations
fantaisistes". Le montant dune tranche
daide sélève à 20 000 F CFA
(environ 30 euros) par étudiant, soit environ
300 millions de francs CFA (environ 457 000
euros) denveloppe financière pour les 15
000 étudiants inscrits dans les universités de
Lomé et de Kara (420 km au nord-est de la
capitale). Charles Kondi Agba avait ordonné la
fermeture de l'Université de Lomé à compter du
dimanche 2 mai à la suite de ces violentes
échauffourées qui avaient fait 18 blessés,
dont 16 policiers, et d'importants dégâts. (Source Fil
info France)
Mercredi 25 août 2004 : Un nouveau code de la presse a été
adopté mardi par l'Assemblée nationale
conformément à un des engagements pris par le
Togo à Bruxelles pour la reprise de la
coopération avec l'Union européenne. Ce nouveau
code dépénalise les délits de presse passibles
de peines privatives en matière de diffamation
et d'atteinte à l'honneur. "Le délit
d'offense au président de la République, au
président de l'Assemblée nationale, au
président du Sénat, au Premier ministre, aux
députés, aux sénateurs, aux membres du
gouvernement et des institutions
constitutionnelles est puni d'une amende de 2 à
5 millions de F CFA" (3 000 à 7 500 euros)
contre 1 à 5 ans de prison ferme et une amende
de 1 à 5 millions de F.CFA" (1 500 à 7 500
euros) auparavant. La nouvelle loi prévoit
également des amendes allant de 500 000 à 2
millions de F CFA (750 à 3 000 euros) pour
"toute reproduction, par un organe national
de publication ou de diffusion d'informations
contraires à la réalité, publiées ou
diffusées par un organe étranger de publication
ou de diffusion". La détention préventive
à l'encontre des gens de presse, très
fréquemment utilisée, est supprimée. Le
premier code de la presse au Togo avait été
adopté en novembre 1990. Il a été
modifié 3 fois en moins de 5 ans. (Source Fil
info France)
Samedi 25 décembre 2004 : Le
président Gnassingbé Eyadéma a annoncé qu'il
allait dissoudre en 2005 l'Assemblée nationale
et organiser des élections législatives
anticipées afin d'aboutir "à une
normalisation totale" de ses relations avec
l'Union européenne (UE) qui avait demandé lors
de négociations, en suspens depuis 1993, de
"réduire le déficit démocratique" du
pays en procédant à des élections. Le scrutin
de 2002 avait été boycotté par les principaux
partis d'opposition. (Source Fil info France)
Lundi 7 février 2005 : Le
président Gnassingbé Eyadéma (69 ans),
en poste depuis 38 ans après avoir pris le
pouvoir le 13 janvier 1967 par un coup d'Etat,
est mort samedi d'une crise cardiaque. Le chef
d'état-major des Forces armées togolaises
(FAT), le général Zakari Nandja, a, dans un
message lu à la télévision, nommé un des fils
du Président, Faure Gnassingbé Eyadéma,
ministre de l'Equipement et des Mines pour lui
succèder. Un deuil national de 2 mois a été
décrété. Le président de la Commission de
l'Union Africaine, Alpha Oumar Konaré, a
condamné le "coup de force" de
l'armée qui déroge aux dispositions prévues
par la Constitution qui
prévoit un intérim du président de
l'Assemblée nationale, Fambaré Natchaba Ouattara, et
l'organisation d'une élection présidentielle
dans les 60 jours. Le Président nigérien,
Mamadou Tandja, président en exercice de la
Communauté économique des Etats dAfrique
de lOuest (CEDEAO), a
également "condamné fermement cette prise
du pouvoir anti-constitutionnelle" et
"réaffirme lattachement de la
communauté" à ses principes qui
sopposent, notamment, aux "changements
anti-constitutionnels de gouvernement en
Afrique". Le parlement, réuni dimanche en
session extraordinaire, a amendé la constitution
en supprimant le passage qui exigeait la tenue
d'un nouveau scrutin dans les 60 jours suivant le
décès du chef de l'Etat. Faure Gnassingbé,
fils du président défunt, a été élu
président de lAssemblée nationale, à
lunanimité des 67 députés, sur un total
81 après avoir voté la destitution de Fambaré
Natchaba Ouattara, présenté comme "absent
du territoire national". La constitution
précise en effet que l'intérim, en cas de
décès du président, est assuré par le
président de l'Assemblée. Or, après que le
gouvernement ait décrété la fermeture de
toutes les frontières du pays, Fambaré Natchaba
Ouattara, président de l'Assemblée nationale,
membre du parti présidentiel Rassemblement
du Peuple Togolais (RPT), en
visite à Paris, n'a pas pu rentrer dans son
pays, son avion ayant été obligé d'atterrir au
Bénin. NDRL. Le 30 décembre 2003,
larticle 59 de la Constitution qui
prévoyait que le président était élu "
pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule
fois " a été modifié pour permettre au
Général Eyadéma déjà élu à 2 reprises de
se représenter aux élections présidentielles.
Le principal opposant togolais, Gilchrist Olympio, en exil
à Paris depuis une tentative d'assassinat contre
lui en 1992, a déclaré à l'Agence France
Presse (AFP) qu'il souhaitait que la mort du
général Eyadéma permette au Togo de "se
mettre sur le chemin de la démocratie" et
appelé à "des élections transparentes et
libres". Selon lui, le général Eyadéma
est "mort d'une crise cardiaque dans l'avion
qui le transportait en Israël pour des
soins". (Source Fil info France)
Mardi 8 février 2005 : Faure
Gnassingbé, le fils du président décédé
vendredi d'une crise cardiaque, a été investi
par les 6 membres de la cour constitutionnelle
lors d'une cérémonie d'un quart d'heure au
palais présidentiel de Lomé, boycottée par les
diplomates occidentaux mais à laquelle
assistaient des diplomates de Libye, d'Egypte et
du Gabon, ainsi que des députés togolais. Les
partis d'opposition ont appelé leurs partisans
à la grève générale, et à rester chez eux
mardi et mercredi en signe de protestation. (Source Fil
info France)
Samedi 12 février 2005 : Une
manifestation organisée vendredi à Lomé par
l'opposition a été réprimée vendredi par les
forces de sécurité qui ont tiré des grenades
lacrymogènes pour disperser des centaines de
manifestants. La Communauté Economique des Etats
d'Afrique de l'Ouest CEDEAO a annoncé
qu'elle renonçait à participer à une réunion
prévue samedi dans le nord du Togo, estimant
qu'une telle "rencontre légitimait le
nouveau pouvoir en place." (Source Fil
info France)
Lundi 14 février 2005 : Les forces
de sécurité ont empêché samedi l'opposition
de débuter une marche de protestation prévue
dans la capitale Lomé. Elles ont dispersé les
manifestants avec des gaz lacrymogènes. 3
personnes ont trouvé la mort selon des sources
officielles, 7 d'après l'opposition. (Source Fil
info France)
Lundi 14 mars 2005 : Les obsèques nationales du
président Gnassingbé Eyadéma, décédé le 5 février 2005, ont été
célébrées officiellement dimanche à Lomé en
présence de nombreuses personnalités
étrangères. Le ministre français des Affaires
étrangères Michel Barnier, ainsi que
Michel de Bonnecorse, le conseiller pour
l'Afrique du président français Jacques Chirac,
assisteront aux obsèques. Le commissaire au
développement de l'Union européenne (UE) Louis Michel, le
président en exercice de l'Union Africaine (UA) le
chef de l'Etat nigérian Olusegun Obasanjo,
participaient également à la cérémonie. (Source Fil
info France)
Jeudi 17 mars 2005 : Harry
Olympio, président du Rassemblement pour le
soutien à la démocratie et au développement
(RSDD), a annoncé mercredi qu'il se
présenterait à l'élection présidentielle
prévue pour le 24 avril 2005 face à Faure
Gnassingbé, fils du président Gnassingbé
Eyadéma décédé le 5 février après 38 ans de
pouvoir (voir notre édition du 7 février
2005) et a critiqué la désignation par
6 partis de l'opposition dite radicale Emmanuel
Akitani Bob, premier vice-président de l'Union
des forces du changement (UFC, principal parti de
l'opposition), déclarant : "L'opposition
traditionnelle (radicale) s'est royalement
plantée de candidat. M. Akitani n'est pas
l'homme de la situation (...). Il ne peut pas
représenter l'opposition plurielle et encore
moins la jeunesse". (Source Fil
info France)
- Mercredi
27 avril 2005 : La Commission électorale
nationale indépendante (CENI) a annoncé mardi
que le chef du parti au pouvoir, Rassemblement du peuple togolais (RPT),
Faure Gnassingbé, fils du président défunt
Gnassingbé Eyadéma au pouvoir pendant 38 ans, a
remporté l'élection présidentielle de
dimanche, à un tour, avec 60,22 % des suffrages
contre 38,19 % à son rival, le candidat de la
coalition de l'opposition, Emmanuel Akitani Bob
et 0,55 % à Harry Olympio (0,55 %). Le taux de
participation a été évalué à 64 %. A
l'annonce des résultats, des bandes de jeunes,
favorables à l'opposition, ont manifesté dans
la capitale, Lomé, où de violents incidents ont
éclaté : barricades, pneus enflammés,
pillages. La police est intervenue à coups de
gaz lacrymogènes pour disperser les
manifestants. L'opposition a dénoncé les
résultats et les fraudes massives. (Source Fil
info France)
Jeudi 28 avril 2005 : Le candidat
de l'Union des forces du changement (UFC,
opposition), Emmanuel Bob Akitani, s'est
auto-proclamé président mercredi et a appelé
la jeunesse à la résistance. Les violences se
poursuivaient mercredi dans la capitale Lomé
après l'annonce de la victoire à l'élection
présidentielle de dimanche de Faure Eyadéma,
fils du défunt général président Gnassingbé Eyadéma, arrivé
au pouvoir par un coup d'état il y a 38 ans et
candidat du Rassemblement du peuple togolais (RPT, au
pouvoir), dénoncée par l'opposition qui parle
de "fraude massive". 6 personnes ont
été tuées et une centaine blessée. Selon la Croix Rouge
Internationale, les victimes ont été
blessées par balles ou frappées par des
manifestants et des policiers. (Source Fil
info France)
Mercredi 4 mai 2005 : Le
président de la Cour constitutionnelle,
Atsu-Koffi Amega, a officiellement proclamé
vainqueur, mardi, Faure Gnassingbé, le candidat
du Rassemblement du peuple togolais (RPT,
parti au pouvoir) et fils du président défunt
Gnassingbé Eyadéma, vainqueur de l'élection
présidentielle du 24 avril 2005, avec 60,5 % des
voix. Emmanuel Bob Akitani, qui
s'était auto-proclamé président le 27 avril
2005, a obtenu 38,25 % des voix ; Harry Olympio
(opposition modérée) et Nicolas Lawson (qui
s'était retiré la veille du scrutin), ont
obtenu respectivement O,55 % et 1,04 % des voix. (Source Fil
info France)
Samedi 14 mai 2005 : Le
Parlement européen a adopté jeudi une
résolution qui indique qu'il ne pouvait pas
"reconnaître la légitimité" du
président togolais Faure Gnassingbé élu le 24
avril 2005, en raison de "graves
irrégularités" qui ont entaché selon lui
le scrutin. (Source Fil info France)
Jeudi 9 juin 2005 : Edem Kodjo,
président de la Convergence patriotique
panafricaine (CPP, opposition modérée), a été
nommé mercredi Premier ministre par le
président Faure Gnassingbé. Edem Kodjo a déjà
occupé ce poste de 1994 à 1996 sous la
présidence de Gnassingbé Eyadéma, président
défunt et père de Faure Gnassingbé. (Source Fil
info France)
- Lundi
4 septembre 2006 : Le président togolais
Faure Gnassingbé a quitté Lomé dimanche 3
septembre 2006 pour une visite officielle en
Belgique, en Italie et en France, où il sera
reçu par le président Chirac. (Source Fil
info France)
- Lundi
18 septembre 2006 : Le président Faure Gnassingbé a nommé
samedi 16 septembre 2006 Yawovi Agboyibo, avocat
de 63 ans, et l'un des chefs de l'opposition, au
poste de premier ministre à la tête du
gouvernement d'union nationale mis en place en
août 2006. (Source Fil info France)
Lundi 9 juillet 2007 : Le
président de la Commission électorale nationale
indépendante (CENI), Tozim Potopéré, a
annoncé le report sine die des élections
législatives prévues pour le 5 août 2007 pour
la seconde fois en l'espace de 2 mois" pour
des raisons techniques selon certains
observateurs et notamment l'introduction d'un
nouveau mode de recensement.
Vendredi 19 octobre 2007 : La
commission électorale nationale indépendante
(CENI) a annoncé mercredi 17 octobre 2007 les
résultats provisoires et partiels des premières
élections législatives pluralistes du pays
depuis la mort, en février 2005, de son
président Gnassingbé Eyadéma, au
pouvoir pendant 38 ans, organisées le 14 octobre
2007, et qui donnent la victoire au Rassemblement
du Peuple Togolais (RPT) dirigé par le fils du
président, Faure Gnassingbé. L'opposition a
dénoncé de nombreuses irrégularités. (Source Fil
info France)
Mercredi 23 avril 2008 : Le Fonds
monétaire international (FMI) a décidé
lundi 21 avril 2008 de reprendre son aide au
Togo, interrompue en 1994 pour sanctionner
"le manque de réforme économique et la
faible gouvernance des finances publiques".
Lundi 8 septembre 2008 : Le
président Faure Gnassingbé a nommé
par décret signé dimanche 7 septembre 2008 le
secrétaire général adjoint des Nations Unies,
directeur du Programme des Nations Unies pour le
Développement (PNUD) pour l'Afrique, Gilbert Fossoun Houngbo, au poste
de premier ministre, après la démission,
vendredi 5 septembre 2008 de Komlan Mally.
Jeudi 11 septembre 2008 : Les
autorités sanitaires ont annoncé mercredi 10
septembre 2008 la mise en quarantaine du village
d'Agbata dans le sud-est du pays suite à la
découverte, dans une ferme avicole, de cas de grippe aviaire qui a
déjà provoqué la mort de 3 500 volailles. Le
Togo avait déjà été touché par la grippe
aviaire en juin 2006. Le gouvernement a interdit
les importations de volailles et a renforcé ses
contrôles dans les ports et aux frontières avec
ses voisins, le Ghana, le Bénin et le Burkina
Faso.
Samedi 18 avril 2009 : Au cours
d'une allocution à la télévision nationale, le
président Faure Gnassingbé, a
dénoncé vendredi 17 avril 2009 "une
tentative de coup d'Etat" qui devait se
dérouler alors qu'il devait effectuer une visite
de travail en Chine dimanche 19 avril 2009.
Kpatcha Gnassingbé, député du Rassemblement du
peuple togolais (RPT, au pouvoir), et frère du
président, arrêté devant l'ambassade des
Etats-Unis à Lomé, a été inculpé mercredi 15
avril 2009 de "complot" et de
"tentative d'attentat contre la sûreté de
l'Etat". Il avait été a été attaqué
chez lui dans la nuit de dimanche 12 à lundi 13
avril 2009 par des militaires. Il n'a pas été
blessé. ** Essolizam
Gnassingbé, un autre frère du président
togolais Faure, a été arrêté jeudi 16 avril
2009 à Lomé. Il est accusé d'avoir pris part
au complot organisé par son frère, Kpatcha
Gnassingbé, et qui visait à prendre le pouvoir
au Togo lors d'un déplacement du chef de l'Etat
en Chine. Copyright www.fil-info-france.com/
Mercredi 29 avril 2009 : Le Togo a
célébré lundi 27 avril 2009 le 49e
anniversaire de son indépendance. Le principal
parti d'opposition, l'Union des
Forces de Changement (UFC), a
boycotté les cérémonies officielles et
dénoncé, par la voix de son président
Gilchrist Olympio, l'interdiction qui lui a été
faite d'organiser une marche de protestation,
"une pratique totalitaire d'un autre
temps". Gilchrist Olympio a indiqué que
"cette mesure dinterdiction de la
marche est une pure violation de la loi, qui
démontre que le gouvernement na aucune
volonté de respecter les droits et libertés
publics". Copyright
www.fil-info-france.com/
Vendredi 11 septembre 2009 : Le ministre
dEtat, chargé de lIndustrie,
lArtisanat et des Innovations
technologiques, Léopold Gnininvi et le ministre
de lEnseignement supérieur et de la
Recherche, Messan Aduayom, membres du parti de
l'opposition, Convention démocratique des
peuples africains (CDPA) ont annoncé jeudi 10
septembre 2009 qu'ils démissionnaient du
gouvernement pour "reprendre leur liberté
de militants" à lapproche de la
présidentielle prévue en 2010, mais dont la
date n'a pas encore été arrêtée. Selon la
Cour constitutionnelle, le scrutin doit se
dérouler entre le 18 février et le 5 mars 2010. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Mercredi 9 décembre 2009 : Le ministère français des Affaires
étrangères et européennes a
confirmé mardi 8 décembre 2009 l'ordre donné
par les autorités togolaises au premier
secrétaire de l'ambassade de France, chargé du
suivi de la politique intérieure, en poste
depuis 2006, Eric Bosc, de quitter le Togo dans
un délai de 15 jours. Il est accusé par le Togo
"d'activités incompatibles avec son statut
de diplomate". On lui reprocherait notamment
"des contacts trop suivis" avec
lun des candidats à la prochaine
présidentielle, Kofi Yamgnane, qui
après une carrière politique en France, s'est
porté candidat à l'élection présidentielle
prévue le 28 février 2010. Originaire de Bassar
dans le nord du pays, ancien secrétaire
dEtat français aux Affaires sociales sous
la présidence socialiste de François
Mitterrand, ancien député et maire de la
commune de Saint-Coulitz en Bretagne, Kofi
Yamgnane est détenteur de la double nationalité
française et togolaise. La France "a
immédiatement pris une mesure réciproque et a
demandé le départ d'un diplomate de l'ambassade
du Togo", selon un communiqué du ministère
français des Affaires étrangères. Blogger,
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Lundi 11 janvier 2010 : Plusieurs
milliers de personnes ont manifesté samedi 9
janvier 2010 à Lomé la capitale, à l'appel de
lUnion des forces de changement (UFC),
principal parti dopposition de Gilchrist
Olympio, pour demander un scrutin à 2 tours pour
l'élection présidentielle du 28 février 2010,
la reprise de la révision des listes
électorales et la réduction du montant de la
caution à verser par les candidats, fixée à 20
millions de Francs CFA (30 489 euros) contre 10
millions de Francs CFA (15 245 euros) pour les
législatives d'octobre 2007. Selon la
Constitution togolaise modifiée en 2002 par le
Parlement, l'élection a lieu au scrutin
uninominal majoritaire à un tour et le
président est élu à la majorité des suffrages
exprimés. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Jeudi 4 mars 2010 : Les
électeurs sont appelés aux urnes jeudi 4 mars
2010 pour élire leur président. 7 candidats
sont en lice dont le chef de l'Etat sortant, Faure Essozimma Gnassingbé,
Jean-Pierre Fabre, leader du principal parti de
lopposition, lUFC (Union des Forces
du Changement). Pour la première fois une femme
est candidate en la personne de Brigitte Kafui
Adjamagbo Johnson, de la Convention démocratique
des peuples africains (CDPA, opposition) de
Léopold Gnininvi. Faure
Gnassingbé, a succédé en avril 2005 à son
père Gnassingbé Eyadéma au pouvoir
pendant 38 ans, décédé le 5 février 2005
d'une crise cardiaque, et élu président le 24
avril 2005 lors d'une élection dont les
résultats ont été contestés par l'opposition
qui a dénoncé des fraudes massives. Des
manifestations de protestation contre les
résultats avaient été réprimées violemment
par l'armée faisant entre 400 et 500 morts,
selon des chiffres de l'ONU. Blogger,
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Fil-info-France ?
Lundi 8 mars 2010 : La
Commission électorale a annoncé samedi 6
février 2010 que le président sortant, Faure Gnassingbé, a été
réélu lors de l'élection présidentielle du 4
mars 2010 avec 60,92 % des voix Son principal
rival, Jean-Pierre Fabre, a obtenu 33,94 % des
suffrages. Le parti dopposition Union des
Forces de Changement (UFC), mené par
Jean-Pierre Fabre, candidat à l'élection
présidentielle du 4 mars 2010, a rejeté les
résultats et manifesté dimanche dans les rues
de la capitale Lomé. Jean-Pierre Fabre a
affirmé avoir remporté le scrutin avec 55 à 60
% des suffrages sur lensemble du
territoire. Blogger,
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Fil-info-France ?
Lundi 12 avril 2010 : Plusieurs
milliers de personnes ont manifesté samedi 10
avril 2010 dans les rues de Lomé la capitale
pour dénoncer la réélection du président Faure Essozimma Gnassingbé le 4 mars
2010. Toutes les semaines depuis les élections,
les partisans de Jean-Pierre Fabre, leader du
principal parti de lopposition, lUFC
(Union des Forces du Changement), vaincu dans
cette élection, contestent cette élection et
dénoncer les fraudes massives. Faure
Gnassingbé a succédé en avril 2005 à son
père Gnassingbé Eyadéma au pouvoir
pendant 38 ans, décédé le 5 février 2005
d'une crise cardiaque, et élu président le 24
avril 2005 lors d'une élection dont les
résultats ont été contestés par l'opposition
qui a dénoncé des fraudes massives. Des
manifestations de protestation contre les
résultats avaient été réprimées violemment
par l'armée faisant entre 400 et 500 morts,
selon des chiffres de l'ONU. Blogger,
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Fil-info-France
Vendredi 7 mai 2010 : Le premier
ministre, Gilbert Fossoun Houngbo, en poste
depuis septembre 2008, a démissionné de ses
fonctions mercredi 5 mai 2010. Cette démission
intervient au lendemain de la prestation de
serment de Faure Gnassingbé, réélu
pour un nouveau mandat de 5 ans lors du scrutin
présidentiel du 4 mars 2010, et qui souhaite
"former un nouveau gouvernement de large
ouverture politique". Blogger,
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Fil-info-France
Samedi 29 mai 2010 : Gilchrist Olympio, chef de
l'Union des Forces de Changement (UFC), principal
parti d'opposition au Togo, a annoncé jeudi 27
mai 2010 que son parti va entrer au gouvernement,
suite à un accord politique signé le 26 mai
2010 avec les représentants du Rassemblement du
peuple togolais (RPT, au pouvoir). Il a souligné
l' "engagement historique" de l'UFC
"devant le peuple après avoir longuement
réfléchi sur les causes réelles de la crise
profonde qui mine notre pays depuis des
décennies". L'UFC, depuis sa création en
1992, n'a participé à aucun gouvernement. 7
portefeuilles ministériels lui seront accordés. Blogger,
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Fil-info-France
Lundi 1er novembre 2010 : Signature
d'accords de coopération avec l'Iran : En
visite au Togo, le ministre iranien des Affaires
étrangères, Manucher Mottaki, a signé samedi
30 octobre 2010 à Lomé la capitale, avec le
ministre togolais des Affaires étrangères et de
la Coopération, Elliot Ohin, 2 accords, l'un
portant sur l'exemption de visas pour les
détenteurs de passeports diplomatiques ou de
service, et l'autre sur une possibilité pour
l'Iran de prospecter des mines au Togo. Blogger,
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Fil-info-France ?
Vendredi 13 mai 2011 : La
France annule 100 % de la dette du Togo : Le
ministre des Finances, Adji Ayassor, et
l'ambassadeur de France au Togo, Dominique
Renaux, ont signé mercredi 11 mai 2011 à Lomé
la capitale un accord portant sur l'annulation
par la France de 100 % de la dette du Togo, soit
plus de 100 millions d'euros (66,3 milliards de
Francs CFA). Blogger,
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Fil-info-France
Samedi 4 juin 2011 :
Annulation par la Suisse de la totalité de la
dette du Togo : La Suisse a annulé la
totalité de la dette contractée par le Togo,
soit plus de 51,8 millions d'euros. Blogger,
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Fil-info-France
Lundi 25 juillet 2011 :
TOGO - L'ancien chef d'Etat Major
des Forces armées togolaises arrêté et
écroué
Vendredi 15 juin 2012 N°
3253/24649
FIL INFO TOGO - Manifestation de
l'opposition réprimée à Lomé
Vendredi 13 juillet 2012 N°
3277/24673
FIL INFO TOGO - Le premier ministre
et son gouvernement démissionnent
Mercredi 1er
août 2012 N° 3293/24689
FIL INFO TOGO - Annonce de la
formation d'un nouveau gouvernement composé de
31 ministres
Jeudi 23 août 2012 N°
3312/24708
FIL INFO TOGO - Une manifestation
interdite par les autorités, dispersée par la
police
Vendredi 14 septembre 2012 N°
3331/24727
FIL INFO TOGO - L'ancien ministre
Pascal Bodjona, inculpé de complicité
d'escroquerie internationale et placé sous
mandat de dépôt
Lundi 17 septembre 2012 N°
3333/24729
FIL INFO TOGO - Loïk Le
Floch-Prigent arrêté en Côte d'Ivoire a été
extradé vers le Togo dans le cadre d'une affaire
d'escroquerie
-
-
- Climat
- Tropical
; chaud et humide au sud ; semi-aride au nord.
- Code ISO
- TG
- Devise nationale
- Travail,
liberté, patrie.
- Drapeau
- Economie
- Phosphates,
fer, chromite, bauxite, marbre. Ovins.
- Fête nationale
- 27
avril (1960, indépendance).
- Langue officielle
- Français,
éwé, kabyé.
- Liens
- Faure
Gnassingbe, président du Togo -
Biographie
Gnassingbe
Eyadema, l'ancien président du Togo -
Biographie
La République du Togo
- L'Ambassade de France au Togo
- PNUD, Programme
des Nations-Unies pour le Développement au Togo
- Université
de Lomé
- IciLome, le
portail du Togo
- Découvrir la ville de Lomé, ville
messagère de la Paix...
- Air Togo, la
compagnie aérienne togolaise
- ADV, Aide
Directe aux Villageois togolais
- Togo, la
terre de nos aïeux : Un site à
découvrir absolument pour tout connaître du
Togo !
- Découverte du Togo
- Découvrez
les villages du Togo ! Une visite
virtuelle agréable !
- FTF,
Fédération Togolaise de Football
- Médias
- La liste des médias présents au
Togo
- Togo Confidentiel
- Mediatogo,
Le portail de la presse togolaise
- Cité Mag, le premier
journal togolais en ligne !
- TVT, le site
officiel de la télévision togolaise !
- Monnaie
- Franc
CFA.
- Offre
n° 3
Partis
politiques
- CAR :
Comité d'Action pour le Renouveau
- CDPA
: Convention
Démocratique des Peuples Africains
- CFN :
Coordination de la Nouvelle Force
- RPT :
Rassemblement du Peuple Togolais (au
pouvoir)
- UFC :
Union des Forces de Changement
- UTD :
Union Togolaise pour la Démocratie
- ULI :
Union des Indépendants Libéraux
- Population
- Togolais.
- 5,1
millions d'habitants.
- Africains
(99 %)(37 tribus dont les plus importantes sont :
Ewe, Mina et Kabre). Européens et Syriens
Libanais (moins de 1 %)
- Principales
villes
- Lomé,
Kara, Sansanné-Mango, Bassar, Niamtougou,
Kpalimé, Ountivou.
- Offre
n° 4
Religion
- Croyances
locales (59 %), Chrétiens (29 %), Musulmans (12
%).
- Situation
géographique
- Etat
d'Afrique de l'Ouest avec une ouverture sur le
Golfe du Bénin et l'Océan Atlantique.
Frontières avec le Ghana, le Burkina Faso et le
Bénin.
- Statut
- Le
général Eyadéma tient les rênes du pouvoir
depuis 1967. Des élections libres ont eu lieu en
1993 mais ont été boycottées par l'opposition
qui protestait contre l'arrestation du rival de Gnassingbe
Eyadema, Gilchrist Olympio. Président : Faure
Gnassingbe (depuis le
6 février 2005), fils du Général Gnassingbé
Eyadéma (au pouvoir depuis le 14 avril 1967)
décédé le 5 février 2005. Premier ministre :
Kwesi Ahoomey-Zuni (depuis le 23 juillet 2012)
- Superficie
- 54
390 km2.
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.
- (Voir
également l'espace webcam)
-
Offre n° 5
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