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NICARAGUA
-
- Nom officiel
- République
du Nicaragua.
- Administration
- Le
Nicaragua est divisé en 15 départements et 2
régions autonomes* : Boaco, Carazo, Chinandega,
Chontales, Esteli, Granada, Jinotega, Leon,
Madriz, Managua, Masaya, Matagalpa, Nueva
Segovia, Rio San Juan, Rivas, Atlantico Norte*,
Atlantico Sur*
- Capitale
- Managua.
- Chronologie
politique
Vendredi 11 Janvier 2002 : Enrique
Bolanos est devenu le 3è président
démocratiquement élu depuis 1990. Il a été
investi hier lors d'une cérémonie boycottée
par les Sandinistes. Leur leader, et président
sortant Daniel Ortega, a en effet été battu aux
présidentielles du 4 novembre dernier par
Enrique Bolanos du Parti Libéral
Constitutionnaliste qui a recueilli 56 % des
voix.
Jeudi 16 octobre 2003 : Des heurts
ont opposé la police à quelques centaines
centaines de milliers d'étudiants et de
professeurs qui manifestaient mercredi à Managua
pour réclamer une hausse du budget de
l'éducation. Selon
le Centre nicaraguayen des droits de l'Homme, la
police a tiré sur des manifestants avec des
balles en caoutchouc. Deux personnes ont été
blessées. Une soixantaine d'autres a été
arrêtée. Cette manifestation intervient alors
que l'opposition critique le président Enrique
Bolanos qui selon des députés de gauche
percevrait un salaire de 19 000 dollars alors que
le Nicaragua est le 2ème pays le plus pauvre
d'Amérique après Haïti. Ce salaire place le
président Bolanos derrière le président Bush
sur le continent américain.
Lundi 1er décembre 2003 : Après la
libération, ce week end, de la prison de
Managua, où il était incarcéré depuis le mois
d'août, de l'ex-président Arnoldo Aleman, au
pouvoir de 1997 à janvier 2002, poursuivi pour
corruption et détournement de fonds (plus de 100
millions de dollars), les Etats-Unis ont annoncé
qu'ils suspendaient "toute aide au secteur
judiciaire" d'un montant de 49 millions de
dollars sur 5 ans en raison "des
événements de ces derniers jours". M.
Aleman a été assigné à résidence dans l'une
des plus somptueuses résidences de la capitale
Managua.
Mardi 9 décembre 2003 : Après un
procès de 10 mois, au cours duquel il a refusé
de comparaître, l'ex-président Arnoldo Aleman,
âgé de 57 ans, président de 1997 à 2002, a
été condamné lundi à 20 ans de prison pour
détournement de fonds, blanchiment d'argent et
fraude. Il sera assigné à résidence dans l'une
de ses somptueuses villas de la capitale Managua
dans l'attente de l'ouverture d'un autre procès.
Jeudi 4 mars 2004 : Plusieurs
multinationales américaines ont été
condamnées par un tribunal à indemniser 80
paysans tombés malades suite à l'utilisation de
pesticides dans les bananeraies dans les années
1970. Chaque paysan devrait recevoir un million
de dollars. 3 700 victimes de ce pesticide sont
actuellement en procès avec 7 multinationales
américaines qui exploitaient les bananeraies de
1968 à 1983 (Dow Chemical, Shell Oil Chemical,
Standard Fruit, Del Monte Foods, Occidental
Chemical Co., Dole Food et Chiquita Brands
International) et qui ont continué d'utiliser le
Nemagon, dont l'exploitation a commencé dans les
années 40, connu aussi sous lappellation
Fumazone 86, nom commercial du Dibrome Chlore
Propane (DBCP), pesticide et fertilisant dont le
Département de protection de
lEnvironnement des Etats-Unis a interdit
lusage il y a plus de vingt ans. Des
examens de laboratoire ont révélé que le
Nemagon altère la production de spermatozoïdes
chez lhomme, qui peut devenir stérile et
provoquent certaines formes de cancer, des
ulcères de la peau et des malformations de
nouveaux nés procréés par les personnes
exposées à ce pesticide. En décembre 2002, la
justice du Nicaragua avaient condamné les
entreprises américaines Dow, Shell et Dole à
verser 490 millions de dollars. Ces dernières
n'ont rien payé et engagé une contre-attaque
judiciaire aux Etats-Unis, accusant les paysans
de mentir. Plus de détails : Les bananes, paradis ou jungle ? Pesticides : des compagnies
américaines condamnées ; Les pays du sud rongés par les
pesticides ; Bananes : se défaire de l'emprise
des multinationales.
Lundi 22 mars 2004 : L'ex-président
Arnoldo Aleman, au pouvoir de 1997 à 2002,
condamné à 20 ans de prison pour corruption,
détournement de fonds (plus de 100 millions de
dollars), blanchiment d'argent et fraude et
placé en résidence surveillée en décembre
2003 après sa condamnation pour raisons de
santé, a été transféré samedi dans une
prison fédérale à l'extérieure de Managua.
Mardi 9 novembre 2004 : Le Front
sandiniste de libération nationale (FSLN,
gauche) a remporté les élections municipales de
dimanche prenant 90 des 152 municipalités, selon
les résultats partiels communiqués lundi par le
Conseil électoral suprême. C'est sa première
victoire depuis 14 ans. Le FSLN a dirigé le pays
de 1979 à 1990 et a été remplacé par une
coalition de droite en 1990.
Samedi 27 novembre 2004 : L'armée a
détruit mercredi 334 missiles sol-air SAM-7
faisant suite à une demande des Etats-Unis
formulée il y a plusieurs mois. Le parlement,
contrôlé par l'opposition, s'était pourtant
opposé à cette mesure. Depuis le début de
l'année 2004, 1 000 missiles sur 2 174 ont été
détruits, Washington estimant que "ces
armes pouvaient tomber entre les mains de
terroristes". La Cour d'appel de Managua,
saisie par le Front sandiniste de libération
nationale (FSLN, opposition de gauche), avait
pourtant suspendu la mesure. Le FSLN dénonce
l'ingérence de Washington dans les affaires du
pays.
Mardi 14 décembre 2004 : 20 000
travailleurs de la santé ont entamé une grève
de 3 jours pour exiger une augmentation du budget
de ce secteur en 2005 de 37 millions de dollars
visant à une hausse des salaires et un
accroissement des fournitures de médicaments aux
hôpitaux. Gustavo Porras, dirigeant de la
Fédération des Travailleurs de la santé, a
signalé que le mouvement touche les quelque 3
000 établissements de santé que compte le pays
y compris les hôpitaux. Le Parlement devrait
adopter le budget 2005 mercredi.
Vendredi 28 janvier 2005 : Eugenio
Hernandez, dirigeant du Parti libéral
constitutionnaliste (PLC, droite) et ancien maire
d'El Ayote, a été reconnu coupable par le
tribunal de Juigalpa à 140 km à l'est de
Managua, du meurtre avec préméditation de la
journaliste Maria José Bravo, le 9 novembre
2004. Le ministère public et la partie civile
ont réquis 30 ans de prison à son encontre.
Maria José Bravo, 26 ans, correspondante des
journaux "La Prensa" et "Hoy"
dans le département de Chontales, avait été
tuée d'une balle dans la poitrine alors qu'elle
couvrait les violences ayant accompagné le
dépouillement des élections municipales dans la
région. L'ONG de défense de la liberté de la
Presse Reporters sans Frontières (RSF) s'était
indignée du meurtre de la journaliste et
demandé que toute la lumière soit faite sur sa
mort. Voir le communiqué de RSF
Mercredi 9 février 2005 : Après 8
jours de grève, les enseignants ont décidé de
manifester mardi dans la rue à Managua, la
capitale pour exiger des augmentations de
salaire. Ils répondaient ainsi aux menaces de
licenciement faites par le gouvernement du
Président Enrique
Bolanos. Le Président de l'Association
Nationale des Enseignants du Nicaragua
(Asociacion de Educadores de Nicaragua ANDEN),
José Antonio Zepeda, a signalé qu'il avait
présenté un recours devant la Cour d'appel de
Managua pour défendre les syndiqués contre les
menaces du gouvernement. Les 30 000 enseignants
demandent au gouvernement l'application de
l'augmentation de 24 dollars mensuels prévue
dans le budget 2005 sous forme de bons de
cotisation pour l'assurance sociale.
Jeudi 28 avril 2005 : Le
président Enrique Bolanos a annoncé mardi soir
dans un message radiotélévisé avoir mis en
alerte la police et l'armée "pour
contribuer à la tranquillité" après de
violentes manifestations qui ont secoué la
capitale Managua pour protester "contre
l'inaction du gouvernement" face à la
"hausse des prix de l'essence et des
transports publics". Lundi des affrontements
avec la police avaient fait 22 blessés.
Mardi 31 mai 2005 : Le
président Enrique Bolanos a
décrété l'état d'urgence lundi pour
"garantir la stabilité économique et
l'afflux d'aide étrangère" après la crise
provoquée par l'augmentation des prix de
l'énergie. Le décret impose un relèvement de
11,83 % du prix de l'électricité pour les
personnes consommant plus de 150 kilowatts par
mois, soit 25 % de la population. Le Président a
également limité le droit de manifestation pour
180 jours. Le décret doit être soumis sous 72
heures à l'Assemblée nationale dominée par
l'opposition qui tente en permanence de limiter
les pouvoirs du chef de l'Etat. Selon la Banque Mondiale, le
Nicaragua est l'un des pays les plus pauvres et
les moins développés d'Amérique latine. 45,8 %
des 5 millions d'habitants ne peuvent subvenir à
leurs besoins.
Samedi 2 juillet 2005 : Le Congrès
du Nicaragua, contrôlé par l'opposition, a
notifié vendredi 1er juillet 2005 au président
Enrique Bolanos qu'une commission d'enquête
parlementaire avait enclenché une procédure
visant à lui retirer son immunité. La
commission d'enquête parlementaire devra
établir si le président Enrique Bolanos et son
vice-président, José Rizo, ont financé leur
campagne par le biais de la Fondation
démocratique nicaraguayenne, basée au Panama.
D'après l'accusation, la fondation était
dirigée par Arnoldo Aleman et servait de façade
pour des détournements de fonds publics.
Samedi 6 mai 2006 : En grève
depuis plus de 6 mois pour demander une hausse de
leur salaire, les médecins des hôpitaux publics
ont manifesté vendredi 5 mai 2006 à Managua la
capitale. Les forces de l'ordre sont intervenues
lorsque les manifestants ont pris d'assaut le
ministère des finances faisant au moins une
cinquantaine de blessés. 100 médecins ont été
arrêtés.
Vendredi 6 octobre 2006 : Le
quotidien britannique "The Guardian" a
annoncé dans son édition du 4 octobre 2006 que
le président nicaraguayen Enrique
Bolanos avait apporté son soutien lundi 2
octobre 2006, lors d'une réunion de ministres de
la Défense de l'hémisphère occidental, à un
projet de construction d'un canal entre
l'Atlantique et le Pacifique d'un coût de 18
milliards de dollars, visant à concurrencer le canal de
Panama. Le président Bolanos a ajouté
qu'il faudrait 12 ans pour financer, concevoir et
construire ce canal. Le canal du Nicaragua
permettrait aux bateaux de plus de 250 000 tonnes
de traverser l'isthme qui sépare les 2 océans.
Le canal du Panama n'autorise que le passage des
bateaux jusqu'à 78 000 tonnes. Un référendum
sera organisé le 22 octobre 2006 demandant
l'avis de la population sur un projet d'expansion
du canal.
Mardi 24 octobre 2006 : La mission
d'observateurs de l'Organisation des Etats
américains (OEA) a "regretté"
dimanche 22 octobre 2006 dans un communiqué
l'intervention américaine dans la campagne
électorale présidentielle du Nicaragua. Des
responsables américains ont en effet soutenu
dans des déclarations publiques Eduardo Montealegre, un
candidat de la coalition de l'Alliance
libérale-le Parti Conservateur. Le ministre
américain du Commerce, Carlos Gutierrez, avait
quant à lui indiqué à la presse
nicaraguayenne, jeudi 19 octobre 2006, que
"si Daniel Ortega, candidat
du Front de libération nationale sandiniste
remportait l'élection" du 5 novembre 2006,
"cela mettrait en danger les investissements
américains au Nicaragua".
Samedi 28 octobre 2006 : Le
Parlement du Nicaragua a adopté jeudi 26 octobre
2006 par 59 voix pour, 9 abstentions, (29
députés étaient absents) une disposition
interdisant tout avortement, y compris lorsque la
vie de la future mère est en danger. Si le
président Enrique Bolanos signe ce
texte, la loi mettra fin à la seule exception
acceptée dans ce pays depuis un siècle. Les
élus ont rejeté la proposition du président
Enrique Bolanos, qui souhaitait voir la peine de
prison encourue pour les mères avortant aussi
bien que les personnes qui les y aideraient
passer de 6 ans actuellement à 10 à 30 ans. Le
chef de l'Etat pourrait dans ces conditions
refuser de signer la loi. Dans toute l'Amérique
latine, seul Cuba permet aux femmes d'avorter en
toute liberté dans les 12 premières semaines de
grossesse.
Lundi 6 novembre 2006 : Le premier
tour de l'élection présidentielle s'est tenu
dimanche 5 novembre 2006. 5 candidats
s'affrontent. Daniel Ortega, 60 ans, candidat du
Front sandiniste de libération nationale (FSLN)
est, d'après les sondages, crédité d'environ
31 % des intentions de vote contre 26,4 % pour
son principal rival, le libéral Eduardo
Montealegre, 51 ans, de l'Alliance libérale
nicaraguayenne-Parti conservateur (ALN-PC).
Grâce à la loi électorale, il peut espérer
l'emporter dès le premier tour : il suffit en
effet d'obtenir au moins 35 % des suffrages et 5
points d'avance sur le deuxième pour être élu.
Mardi 7 novembre 2006 : Selon les
résultats partiels annoncés par le Conseil
suprême électoral, Daniel Ortega, 60 ans,
candidat du Front sandiniste de libération
nationale (FSLN), serait largement en tête de
lélection présidentielle de dimanche 5
novembre 2006 avec 40,85 % des voix contre 32,68
% à son principal rival, le libéral Eduardo
Montealegre, 51 ans, de l'Alliance libérale
nicaraguayenne-Parti conservateur (ALN-PC).
Mercredi 8 novembre 2006 : Le Conseil
Suprême électoral (CSE) a annoncé mardi 7
novembre 2006 qu'après le dépouillement de
91,48 % des bulletins de vote, Daniel Ortega, 60
ans, candidat du Front sandiniste de libération
nationale (FSLN), a été élu président du
Nicaragua dès le 1er tour de l'élection
présidentielle du dimanche 5 novembre 2006. Le
candidat de l'Alliance Libérale nicaraguayenne
(ALN, droite), le banquier Eduardo Montealegre, a
reconnu la victoire de Daniel Ortega.
Jeudi 9 novembre 2006 : La
commission électorale a officiellement annoncé
mercredi 8 novembre 2006 la victoire de Daniel
Ortega , 60 ans, candidat du Front sandiniste de
libération nationale (FSLN), à lélection
présidentielle. Lancien chef de la
révolution sandiniste a obtenu environ 38 % des
suffrages et revient au pouvoir après 16 ans
dabsence. Il prendra ses fonctions le 11
janvier 2007.
Mercredi 15 novembre 2006 : Selon des
sources diplomatiques, sous couvert d'anonymat,
le nouveau président, Daniel Ortega, élu le 7
novembre 2006 avec 38,07 % des voix, "a
proposé formellement, via des négociateurs
étrangers (ni nicaraguayens, ni américains),
l'ouverture d'un dialogue formel" avec les
autorités américaines. Daniel Ortega, 60 ans,
candidat du Front sandiniste de libération
nationale (FSLN), qui s'était toujours battu
contre l'hégémonisme américain, revient au
pouvoir après 16 ans dabsence. Il prendra
ses fonctions le 11 janvier 2007.
Mardi 21 novembre 2006 : Le
président Enrique
Bolanos a promulgué vendredi 17 novembre
2006 une loi interdisant l'avortement dans tous
les cas de figure, même lorsque la vie de la
mère est menacée, malgré l'opposition de
médecins, de groupes de défense des droits des
femmes et de diplomates étrangers.
Samedi 25 novembre 2006 : Le Conseil
électoral suprême a confirmé mercredi 22
novembre 2006 l'élection à la présidence du
pays, Daniel Ortega , 60 ans, candidat du Front
sandiniste de libération nationale (FSLN), avec
38 % des voix son principal rival, le libéral
Eduardo Montealegre, 51 ans, de l'Alliance
libérale nicaraguayenne-Parti conservateur
(ALN-PC) qui a obtenu 28 % des suffrages. C'est
la première fois dans l'histoire récente du
pays qu'un candidat est élu sans obtenir la
majorité absolue des votes. Une modification de
la loi électoral a permis de déclarer vainqueur
un candidat qui obtient au moins 35 % des
suffrages, et 5 points d'avance sur le second au
minimum. Daniel
Ortega prendra ses fonctions le 10 janvier 2007.
Jeudi 11 janvier 2007 : Daniel
Ortega, candidat du Front sandiniste de
libération nationale (FSLN), élu dès le premier tour de
l'élection présidentielle du 5 novembre 2006
avec 37,99 % des voix, devant le conservateur
Eduardo Montealegre qui a recueilli 28,30 % des
suffrages, a prêté serment mercredi 10 janvier
2007 en présence d'une quinzaine de chefs d'Etat
et de gouvernement.
Lundi 15 janvier 2007 : Après le
Vénézuela, le président iranien Mahmoud
Ahmadinejad est arrivé samedi 14
janvier 2007 dans la soirée à Managua, où il a
été reçu par le nouveau président Daniel
Ortega, candidat du Front sandiniste de
libération nationale (FSLN), élu dès le
premier tour de l'élection présidentielle du 5
novembre 2006 avec 37,99 % des voix, et qui a
prêté serment mercredi 10 janvier 2007. Les 2
hommes doivent signer des accords de coopération
dans les domaines de lénergie et de
lagriculture.
Jeudi 6 septembre 2007 : Le cyclone
Felix qui a touché mardi 4 septembre 2007 le
nord du Nicaragua a fait 21 mort et une centaine
de disparus. 50 000 personnes sont sans abris.
Mardi 9 octobre 2007 : La Cour
internationale de justice (CIJ), organe
judiciaire principal des Nations Unies, dont le
siège est à La Haye aux Pays-Bas, a rendu un
arrêt lundi 8 octobre 2007 en l'affaire du
"Différend territorial et maritime
entre le Nicaragua et le Honduras dans la mer des
Caraïbes" (format
pdf), qui attribue la souveraineté des îles de
Bobel Cay, Savanna Cay, Port Royal Cay et South
Cay au Honduras.
Vendredi 18 juillet 2008 :Le
président Daniel Ortega, ancien guerillero, a
répondu favorablement à une demande des FARC , (Forces
armées révolutionnaires de Colombie) formulée
avant la libération d'Ingrid Betancourt, le priant
de servir de médiateur dans un échange
humanitaire des otages dits
"politiques" contre la libération de
500 des combattants des FARC emprisonnés.
Samedi 19 juillet 2008 : Le parti au
pouvoir au Nicaragua, le Front sandiniste de
libération nationale (FSLN), qui s'exprimait
jeudi 17 juillet 2008 sur les ondes de la radio
sandiniste "La Nueva Radio Ya", a
accusé les Etats-Unis d'avoir financé les
activités de l'opposition dans le but de
déstabiliser le gouvernement. Selon le FSLN,
l'Agence des Etats-Unis pour le développement
international (USAID) a
accordé 321 000 dollars à 15 associations
sociales, religieuses et de communication avant
les élections municipales prévues pour le 9
novembre 2008, affirmant que cette somme a été
utilisée pour déstabiliser le gouvernement
nicaraguayen, comme ce qu'il s'est passé à
Santa Cruz, en Bolivie et au Venezuela en 2002,
ils voulaient renverser ces gouvernements".
Jeudi 4 septembre 2008 : Le
président, Daniel Ortega, a
annoncé mercredi 3 septembre 2008 à l'occasion
du 29e anniversaire de l'Armée, qu'il
reconnaissait l'indépendance des républiques
séparatistes géorgiennes d'Ossétie du Sud et
d'Abkhazie, devenant ainsi le second président,
après le président russe, Dmitri Medvedev, à
prendre cette mesure. Daniel Ortega a dénoncé
les "politiques hégémoniques" qui
"investissent des millions de dollars à
travers l'OTAN
(Organisation du traité de l'Atlantique Nord)
pour "encercler militairement la
Russie".
Lundi 8 septembre 2008 : Le
président, Daniel Ortega, a signé
vendredi 5 septembre 2008 un décret-loi qui
officialise sa décision, annoncée mercredi 3
septembre 2008, de reconnaître l'indépendance
des républiques séparatistes géorgiennes
d'Ossétie du Sud et d'Abkhazie, devenant ainsi
le second président, après le président russe,
Dmitri Medvedev, à
prendre cette mesure.
Mercredi 10 septembre 2008 : L'ambassadeur
des Etats-Unis à Managua, Robert Callahan, a
annoncé mardi 9 septembre 2008 que le
secrétaire d'Etat américain au Commerce, Carlos Gutierrez, a annulé
la visite qu'il devait effectuer fin septembre
2008 au Nicaragua, indiquant que "le moment
n'était pas approprié" et que les
"circonstances ont changé". Rappelons
que le président du Nicaragua, Daniel Ortega, avait
annoncé mercredi 3 septembre 2008 à l'occasion
du 29e anniversaire de l'Armée, qu'il
reconnaissait l'indépendance des républiques
séparatistes géorgiennes d'Ossétie du Sud et
d'Abkhazie, devenant ainsi le second président,
après le président russe, Dmitri Medvedev, à
prendre cette mesure. Daniel Ortega avait
dénoncé les "politiques
hégémoniques" qui "investissent des
millions de dollars à travers l'OTAN
(Organisation du traité de l'Atlantique Nord)
pour "encercler militairement la
Russie". Daniel Ortega avait officialisé
vendredi 5 septembre 2008 par décret-loi la
reconnaissance par le Nicaragua de
l'indépendance des républiques séparatistes
géorgiennes d'Ossétie du Sud et d'Abkhazie.
Mardi 23 septembre 2008 : La presse
nicaraguayenne a rapporté dans son édition du
samedi 20 septembre 2008 une accusation du
président Daniel Ortega faite
vendredi 19 septembre 2008 à l'encontre des
Etats-Unis, selon laquelle ils auraient préparé
une tentative d'assassinat contre le président
du Vénézuela Hugo Chavez. Selon
Daniel Ortega, le plan consistait à
"utiliser un avion de combat, des officiers
de l'Armée de l'air vénézuélienne au service
de l'empire et de l'oligarchie pour bombarder
l'endroit où Chavez se trouvait, sans se soucier
qu'il y aurait là cent ou deux cents personnes.
C'était ça, le plan". Il a ajouté :
"Ils veulent l'assassiner (NDLR. Hugo
Chavez) parce que c'est un homme bon, parce qu'il
est au côté des pauvres, parce qu'il veut
l'unité latino-américaine".
Jeudi 13 novembre 2008 : Le Conseil
suprême électoral (CSE) a indiqué mercredi 12
novembre 2008 que les résultats des bureaux de
vote vont être revus avec l'opposition dans 2107
bureaux de la capitale Managua, après une
demande de l'opposition qui a rejeté les
résultats. De nombreux affrontements ont eu lieu
à l'annonce des résultats, qui donnent la
victoire au Front sandiniste de libération
nationale (FSLN) du président Daniel Ortega,
entre les partisans du président Daniel Ortega
et le Parti libéral constitutionnalisme (PLC),
opposition.
Samedi 22 novembre 2008 : Le Front
sandiniste de libération nationale (FSLN) du
président Daniel Ortega a
remporté les élections municipales du 9
novembre 2008 dont les résultats définitifs ont
été annoncés jeudi 20 novembre 2008.
L'opposition a dénoncé des "fraudes"
tandis que les observateurs internationaux, ONU, Union européenne,
Etats-Unis, Organisation des Etats américains (OEA) ont
indiqué que le scrutin manquait de
"transparence". (Reproduction
interdite)
Samedi 18 avril 2009 : Le
ministère des Affaires étrangères a annoncé
mercredi 15 avril 2009, sur la demande expresse
du président Daniel Ortega, avoir accordé un
passeport diplomatique à l'ancien premier
ministre thaïlandais déchu à la suite d'un
coup d'Etat militaire, Thaksin Shinawatra en exil,
qui est sous le coup d'un mandat d'arrêt en
Thaïlande, avec 12 de ses partisans,
"inculpés par un tribunal pour
rassemblement illégal de plus de 10 personnes,
menace de violence et atteinte à la paix civile,
ce qui est passible de 5 ans de prison",
selon le texte du mandat qui ajoute que l'ancien
premier ministre est également accusé d'avoir
incité des personnes à violer la loi et à
provoquer des désordres, ce qui est passible de
7 ans de prison. Copyright www.fil-info-france.com/
Mercredi 15 juillet 2009 : COSTA
RICA/NICARAGUA : La Cour
internationale de justice (CIJ), la plus
haute juridiction de l'ONU chargée de trancher
les conflits entre Etats, dont le siège est à
La Haye aux Pays-Bas, a rendu lundi 13 juillet
2009 un arrêt définitif, sans recours et
obligatoire pour les Parties dans l'affaire du Différend relatif à des droits de
navigation et des droits connexes (format
pdf), indiquant que "le Costa Rica a le
droit de libre navigation sur le fleuve San Juan
à des fins de commerce", et que le droit de
naviguer à des fins de commerce dont jouit le
Costa Rica couvre le transport des passagers
ainsi que celui de touristes". La décision
de la CIJ note aussi que "les personnes qui
voyagent sur le fleuve San Juan à bord de
bateaux costariciens exerçant le droit de libre
navigation du Costa Rica ne sont pas tenues de se
procurer un visa nicaraguayen ni d'acheter une
carte de touriste nicaraguayenne et que les
habitants de la rive costaricienne du fleuve San
Juan ont le droit de naviguer sur celui-ci entre
les communautés riveraines, afin de subvenir aux
besoins essentiels de la vie quotidienne qui
nécessitent des déplacements dans de brefs
délais. Enfin la pêche, à des fins de
subsistance, pratiquée par les habitants de la
rive costaricienne du San Juan depuis cette rive,
doit être respectée par le Nicaragua en tant
que droit coutumier. Mais les droits du Costa
Rica ne s'étendent pas à la navigation sur le
fleuve San Juan avec des bateaux affectés à des
fonctions de police. Le Nicaragua garde ainsi le
droit d'exiger que les bateaux costariciens et
leurs passagers fassent halte aux premier et
dernier postes nicaraguayens situés sur leur
trajet le long du fleuve San Juan. Il a aussi le
droit d'exiger la présentation d'un passeport ou
d'un document d'identité par les personnes
voyageant sur le fleuve San Juan ainsi que le
droit d'imposer des horaires de navigation aux
bateaux empruntant le fleuve San Juan. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Lundi 20 juillet 2009 : S'exprimant
lors du 30e anniversaire de la Révolution
sandiniste qui a mis fin à la dictature du
général Anastasio Somoza, le
président Daniel Ortega a annoncé dimanche 19
juillet 2009 qu'il allait convoquer un
référendum portant sur une modification de la
Constitution, visant à porter le mandat des
députés et du président à 2 mandats
successifs, estimant que le peuple "doit
dire s'il veut récompenser ou punir" son
gouvernement. La Constitution, révisée en 1995,
autorise une seule réélection au président de
la République, et à condition que les 2 mandats
ne soient pas successifs. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 12 septembre 2009 : Le ministre
des Affaires étrangères du Nicaragua, Samuel
Santos, et le vice-ministre abkhaz des Affaires
étrangères ont signé jeudi 10 septembre 2009
à Managua la capitale, une déclaration commune
sur l'établissement des relations diplomatiques,
ainsi qu'une coopération bilatérale dans les
domaines politique, scientifique, technique,
écologique, humanitaire et culturel, ainsi que
des liens entre les gouvernements et des
organisations publiques des 2 pays. Le Nicaragua
est le deuxième pays après la Russie à avoir
reconnu l'indépendance de l'Abkhazie et de
l'Ossétie du Sud. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 9 octobre 2009 : Le ministre
de la Santé, Guillermo Gonzalez, a annoncé
jeudi 8 octobre 2009 que 8 personnes, dont une
majorité d'enfants âgés de 4 à 14 ans, sont
mortes ces 2 dernières semaines suite à une
épidémie de fièvre dengue. 1 600 cas ont été
recensés. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Mercredi 4 novembre 2009 : L'ambassadeur
des Etats-Unis au Nicaragua, Robert J. Callahan, a
affirmé lundi 2 novembre 2009 qu'il restera à
son poste malgré les manifestations d'opposition
et les critiques du gouvernement, qui ont
éclaté après qu'il ait critiqué la décision
de la Cour suprême du pays. Des milliers de
partisans du parti sandiniste au pouvoir avaient
manifesté violemment jeudi 29 octobre 2009
devant l'ambassade des Etats-Unis à Managua pour
réclamer son expulsion l'accusant d'ingérence.
Dans un communiqué publié jeudi 29 octobre
2009, le gouvernement sandiniste avait également
qualifié d'"inadmissible" cette
"intervention des Etats-Unis dans des
affaires internes et des décisions souveraines
de l'Etat nicaraguayen". Cette affaire
intervient après la décision de la Cour
Suprême de justice, qui a jugé inapplicable un
article de la Loi fondamentale qui interdit au
chef de l'Etat de briguer un second mandat, en
violation de la Constitution qui autorise
seulement les parlementaires à se représenter
indéfiniment. Cette décision permettra au
président Daniel José Ortega Saavedra de se
présenter pour un nouveau mandat en 2011. La
Cour suprême avait estimé que cette disposition
de la Constitution "enfreignait le principe
d'égalité des citoyens devant la loi". Le
président de la Cour suprême de Justice, Manuel
Martinez, s'était déclaré "surpris"
par ce jugement et a estimé que les 6 membres
sandinistes de la chambre constitutionnelle qui
l'ont adopté avaient fait preuve "d'un
irrespect complet de la Constitution". Blogger,
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Fil-info-France
Jeudi 12 novembre 2009 :Le député
européen néerlandais, Hans Van Baalen, de l'Alliance
des démocrates et des libéraux pour l'Europe
(ADLE), arrivé mardi 10 novembre 2009 à
Managua la capitale, a été prié de quitter le
pays pour "ingérence dans les affaires
intérieures" du Nicaragua. Hans Van Baalen,
qui est également président de la fédération
rassemblant les libéraux du monde entier, Liberal International, avait
dénoncé dans son discours lors du congrès de
la Fédération, le projet du président Daniel José Ortega Saavedra de briguer
un second mandat consécutif, ce que la
Constitution ne lui permettait pas. Il avait
saisi alors la Cour suprême de justice qui lui a
donné raison le 19 octobre 2009. Cette dernière
a jugé inapplicable un article de la Loi
fondamentale qui interdit au chef de l'Etat de
briguer un second mandat, en violation de la
Constitution qui autorise seulement les
parlementaires à se représenter indéfiniment.
Cette décision permettra au président Daniel José Ortega Saavedra de se
présenter pour un nouveau mandat en 2011. La
Cour suprême avait estimé que cette disposition
de la Constitution "enfreignait le principe
d'égalité des citoyens devant la loi". Le
président de la Cour suprême de Justice, Manuel
Martinez, s'était déclaré "surpris"
par ce jugement et a estimé que les 6 membres
sandinistes de la chambre constitutionnelle qui
l'ont adopté avaient fait preuve "d'un
irrespect complet de la Constitution". Le
vice-ministre nicaraguayen des Relations
extérieures, Manuel Coronel, s'était montré
virulent à l'encontre de Hans Van Baalen,
déclarant : "Ces gens sont des
interventionnistes venus d'Europe (...) pour
fanfaronner dans les pays appauvris, montrer leur
prééminence, leur orgueil", ajoutant que
le député européen "n'avait pas à venir
donner des leçons" au Nicaragua,
"parce que la Hollande est un petit pays
insignifiant, pas comme l'Allemagne qui a un
poids énorme" en Europe. Blogger,
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Fil-info-France
Jeudi 3 juin 2010 : Le
gouvernement a annoncé mardi 1er juin 2010 la
suspension immédiate de ses relations
diplomatiques avec Israël suite à le raid
militaire mené lundi 31 mai 2010 par l'armée
israélienne contre la flottille d'aide
internationale à destination de Gaza, soulignant
"la nature illégale de l'attaque contre une
mission humanitaire en violation claire du droit
international et humanitaire". Blogger,
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Fil-info-France
Lundi 21 juin 2010 : Le
président Daniel José Ortega Saavedra a annoncé
que son pays est entièrement "libre de
mines anti-personnel, après la destruction de
plus de 2 millions de ces engins explosifs"
précisant que pour "se libérer de ce
fléau qui a fait plus dun millier de
handicapés et une centaine de morts, il a fallu
21 ans". Ces opérations de déminage ont
été réalisées depuis 1996 grâce à la
participation dune trentaine de pays et
dorganisations. Blogger,
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Fil-info-France
Samedi 26 mars 2011 : Le
Nicaragua dénonce une violation de son espace
aérien par le Costa Rica : Le
ministère des Affaires étrangères a
officiellement protesté vendredi 25 mars 2011
auprès du Costa Rica pour ses "incursions
répétées" dans son espace aérien.
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Fil-info-France
Samedi 1er octobre 2011 N°
3030/24426
NICARAGUA - Signature avec les
Etats-Unis d'un accord sur la lutte contre le
trafic de drogue et la criminalité
Lundi 7 novembre 2011 N°
3061/24457
NICARAGUA - Election
présidentielle, le président sortant donné
favori
Mardi 8 novembre 2011 N°
3062/24458
NICARAGUA - Daniel Ortega vainqueur
de l'élection présidentiel dès le premier
tour, son rival refuse d'admettre sa défaite
Mercredi 9 novembre 2011 N°
3063/24459
NICARAGUA - Daniel Ortega réélu
avec 62,65 % des voix
Jeudi 17 novembre 2011 N°
3070/24466
NICARAGUA - Daniel Ortega
officiellement vainqueur de l'élection
présidentielle
Samedi 24 décembre 2011 N°
3102/24498
NICARAGUA - Le Nicaragua poursuit le
Costa Rica devant la CIJ pour violation de sa
souveraineté
Mercredi 11 janvier 2012 N°
3117/24513
FIL INFO NICARAGUA - Daniel Ortega a
prêté serment pour un nouveau mandat de 5 ans,
en présence du président iranien, Mahmoud
Ahmadinejad
Mercredi 2 mai 2012 N°
3214/24610
FIL INFO NICARAGUA - Mort du
fondateur du Front Sandiniste de Libération
Nationale
Climat
- Tropical.
Le pays est souvent touché par des cyclones et
des tremblements de terre.
- Code ISO
- NI
- Devise nationale
- Dios,
Patria y Honor (Dieu, Patrie et Honneur).
- Drapeau
- Economie
- Or,
argent, plomb, zinc, cuivre. Cultures vivrières
: haricots, maïs. Café (essentiellement à
l'exportation).
- Fête nationale
- 15
septembre (1821, indépendance).
- Langue officielle
- Espagnol.
- Liens
- La Présidence de la République
- L'Assemblée Nationale
- L'Ambassade de France au Nicaragua
- Banque
centrale du Nicaragua
Institut nicaraguayen du Tourisme
RSF : La liberté
de la presse au Nicaragua
- Collège Victor Hugo à Managua
- Découvrir le Nicaragua, pays de
lacs et de volcans
- Cartes Postales du Nicaragua
- Photos du Nicaragua
- Médias
- http://www.laprensa.com.ni/ La Prensa
- http://www.ciberdiario.com.ni/ Ciberdiario
- Offre
n° 3
Monnaie
- Cordoba.
- Partis politiques
- FSLN
: Front Sandiniste de Libération Nationale
- PCC :
Parti de la Voie Chrétienne
- PCN :
Parti Conservateur du Nicaragua
- PLI :
Parti Libéral Indépendant
- PRONAL
: Parti Conservateur du Nicaragua
- Population
- Nicaraguayens.
- 5
millions d'habitants.
- Meztisos
(Amérindiens et Blancs) (69 %), Blancs (17 %),
Noirs (9 %), Amérindiens (5 %).
- Principales
villes
- Managua,
Matagalpa, Puerto Cabezas, Leon, Granada, Esteli.
- Offre
n° 4
Religion
- Catholique
(85 %). Protestants (15 %)
- Situation
géographique
- Pays
le plus vaste d'Amérique centrale bordé à
l'ouest par l'Océan Pacifique et à l'est par la
mer des Antilles. Frontières avec le Honduras et
le Costa Rica.
- Statut
- République.
Président et chef du gouvernement : Daniel
Ortega Saavedra (depuis le 10 janvier 2007).Vice
Président : Moises Omar Halleslevens Acevedo
(depuis le 10 janvier 2012)
- Superficie
- 129
494 km2
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.
- (Voir
également l'espace webcam)
Offre
n° 5
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