|
|
Offre
n° 2
Pour découvrir un autre pays
africain, cliquez sur la carte !
-
-
- Cliquez
ici pour voir
la carte de la Mauritanie
MAURITANIE
-
- Nom officiel
- République
islamique de Mauritanie (Al Jumhuriyah al
Islamiyah al Muritaniyah)
- Administration
- La
Mauritanie est divisée en 12 régions et 208
communes plus 1 district (Nouachkott). Les 12
régions sont : Adrar, Assaba, Brakna, Dakhlet
Nouadhibou, Gorgol, Guidimaka, Hodh Ech Chargui,
Hodh El Charbi, Inchiri, Tagant, Tiris Zemmour et
Trarza.
- Capitale
- Nouachkott
- Chronologie
politique
Ier millénaire de notre ère : La
Mauritanie est peuplée de Berbères.
XVIe siècle : Les Berbères sont
assujettis par les Arabes.
1858 : Colonisation française.
1900-1912 : Conquête française.
1920 : La Mauritanie devient un colonie
française et est rattachée à l'Afrique
occidentale française.
1946 : La Mauritanie devient un territoire
d'outre-mer.
1957 : La ville de Nouakchott devint la
capitale mauritanienne à la place de Saint-Louis
qui fait partie du Sénégal.
1958 : Proclamation de la République
islamique de Mauritanie. Moktar Ould Daddah est
premier ministre, de 1958 à 1961, puis
président, de 1961 à 1978.
28 novembre 1960 : Proclamation de
l'indépendance, malgré l'opposition du Maroc et
de la Ligue arabe unie. Le Maroc estime que la
Mauritanie fait "partie intégrante" du
Maroc.
1970 : Accord avec le Maroc qui met fin à
ses revendications de souveraineté sur la
Mauritanie.
1973 : La Mauritanie intègre la Ligue
arabe unie.
1976 : La Mauritanie occupe la partie sud
du Sahara occidental. Conflit avec les Sahraouis
du Front Polisario.
1979 : La Mauritanie renonce au Sahara
occidental.
16 mars 1981 : Rupture des relations
diplomatiques avec le Maroc après une tentative
avortée de coup dEtat.
12 décembre 1984 : Coup dEtat militaire
mené par le colonel Maaouya Sid Ahmed Ould Taya
qui prend le pouvoir.
24 et 25 avril 1989 : Tension
avec le Sénégal après des affrontements
meurtriers entre Mauritaniens et Sénégalais à
Nouakchott et Nouadhibou, en réponse à des
violences perpétrées contre des Mauritaniens à
Dakar les 22 et 23 avril.
Août 1989 : Le Sénégal rompt ses
relations diplomatiques avec la Mauritanie.
12 juillet 1991 : Référendum sur une
nouvelle constitution adoptée avec 97,9 % de
oui.
27 juillet 1991 : Promulgation dune
nouvelle constitution après référendum. Le
multipartisme est instauré, ainsi que la
liberté de la presse.
24 janvier 1992 : Première élection
présidentielle multipartite de lhistoire
de la Mauritanie. Maaouya Sid Ahmed Ould Taya est
élu président. Son parti, le Parti républicain
démocrate et social (PRDS) remporte les
élections législatives boycottées par
lopposition. Rétablissement des relations
diplomatiques avec le Sénégal.
18 avril 1992 : Le Comité militaire de
Salut national (CMSN, junte au pouvoir) est
dissous. Sidi Mohamed Ould Boubacar est nommé
premier ministre.
13 janvier 1993 : La Mauritanie signe à
Paris le traité interdisant la fabrication et
lemploi darmes chimiques.
5 janvier 1994 : La première centrale
syndicale indépendante, la Confédération
générale des travailleurs de Mauritanie, est
reconnue par les autorités.
21 et 22 janvier 1995 : Emeutes à
Nouakchott et dans plusieurs autres villes à la
suite de la hausse de la TVA et des prix de la
farine.
23 janvier 1995 : Instauration de
létat durgence.
2 janvier 1996 : Cheikh el Avia Ould Mohamed
Khouna est nommé premier ministre en
remplacement de Sidi Mohamed Ould Boubacar.
20 juin 1996 : Accord de pêche avec
lUnion européenne qui prévoit le
triplement des prises européennes dans les eaux
mauritaniennes en échange du versement de 267
millions deuros sur cinq ans, soit le tiers
des ressources budgétaires de la Mauritanie.
Octobre 1996 : Le PRDS remporte largement
les élections législatives.
5 et 6 septembre 1997 : Visite
officielle en Mauritanie du président français
Jacques Chirac.
12 décembre 1997 : Maaouya Sid Ahmed Ould Taya
est réélu président dès le premier tour avec
90,3 % des suffrages. Lopposition dénonce
des fraudes massives.
18 décembre 1997 : Mohamed Lemine Ould Guig
est nommé premier ministre.
16 novembre 1998 : Mohamed Lemine Ould Guig
est remplacé par son prédécesseur Cheikh el
Avia Ould Mohamed Khouna.
28 octobre 1999 : La Mauritanie établit des
relations diplomatiques avec Israël.
28 octobre 2000 : Le principal parti
dopposition, Union des Forces
démocratiques, dAhmed Ould Daddah, est
dissous.
9 avril 2001 : Le gouvernement reconnaît
6 nouveaux partis.
11 juillet 2001 : Naissance dun nouveau
parti créé par des proches dAhmed Ould
Daddah, le Rassemblement des forces
démocratiques.
26 juillet 2001 : Le PRDS remporte les
élections législatives.
Vendredi 4 janvier 2002 : Le
principal parti d'opposition, Action pour le
changement, a été dissous par les autorités
qui l'accusent de "porter atteinte à
l'unité nationale par des discours racistes et
extrémistes". Ce parti d'opposition avait,
lors d'une session houleuse du parlement, le 24
décembre, porté en avant des questions sur les
droits de l'homme et sur l'esclavage. (Source :
Fil-info-France)
Vendredi 7 juin 2002 : Le pays,
qui a été violemment frappé en début d'année
par des intempéries qui a détruit le cheptel et
les cultures, attend toujours une aide d'urgence
du PAM (Programme alimentaire
mondial) d'environ 7 millions de dollars, lancée
en avril dernier. Malheureusement les fonds
récoltés ne représentent que 291 000 dollars. (Source :
Fil-info-France)
Vendredi 21 juin 2002 : L'Italie a
fourni 4000 tonnes de riz aux populations
mauritaniennes touchées gravement par des
inondations qui avaient dévasté les cultures en
début d'année. L'aide alimentaire nécessaire
pour venir en aide à ces populations déplacées
est estimée à 7 millions et demi de dollars. (Source :
Fil-info-France)
Mercredi 7 août 2002 : Une équipe
de scientifiques russes, travaillant pour le
gouvernement mauritanien a découvert, au Sahara,
un torrent souterrain après des forages à plus
de 250 mètres de profondeur. Selon cette
équipe, le torrent fournirait 32 000 litres à
l'heure, suffisamment d'eau pour satisfaire les
besoins de la ville d'Atar (nord-ouest du pays)
et ses 50 000 habitants. (Source :
Fil-info-France)
Mardi 10 juin 2003 : Le président Ould Taya a annoncé
lundi sur les ondes de la radio et de la
télévision publiques que le coup d'état lancé
dans la nuit de samedi à dimanche contre la
capitale Nouakchott par "des officiers de
l'armée nationale" avait échoué. Des
milliers de Mauritaniens sont descendus dans les
rues pour saluer leur président et l'échec du
coup d'état. Les ministres ont tenté de
reprendre le travail dans leurs bureaux
totalement saccagés par les pilleurs. Des
dizaines de blessés auraient été conduits dans
les hôpitaux. On ignore pour l'instant le nombre
de morts. Le
colonel Ould Taya (62 ans) est arrivé au pouvoir
par un coup d'état en décembre 1984, avant
d'être élu démocratiquement en 1992 et 1997.
Son parti avait annoncé sa candidature à
l'élection présidentielle du 7 novembre. (Source :
Fil-info-France)
Jeudi 9 octobre 2003 : Pour la
première fois dans son histoire, une femme,
Aicha Mint Jeddane (43 ans) a déposé sa
candidature à l'élection présidentielle du 7
novembre prochain. Responsable locale du Parti
Républicain Démocratique Social (PRDS au
pouvoir), elle se présentera sous aucune
étiquette politique. La campagne électorale
débutera le 22 octobre et se poursuivra jusqu'au
6 novembre. 6 candidats se sont déjà déclarés
dont le président Ould Taya arrivé au pouvoir
en 1984 à la faveur d'un coup d'Etat, élu en
1992, puis réélu en 1997. (Source :
Fil-info-France)
Jeudi 16 octobre 2003 : Le premier
président de la République Islamique de
Mauritanie, Moktar Ould Daddah, est mort mercredi
à Paris à l'âge de 79 ans. Il avait dirigé le
pays de 1961 à 1978 avant d'être renversé par
un coup d'état. Il s'était alors exilé en
France. Il est revenu en Mauritanie en juillet
2001. Un deuil de 3 jours a été décrété. Ses
mémoires "Mauritanie contre vents et
marées" devait paraître à la fin du mois.
(Source : Fil-info-France)
Vendredi 7 novembre 2003 : Le candidat
à l'élection présidentielle, l'ex-président
Mohamed Khouna Ould Haidallah, principal opposant
au président sortant Maaouiya Ould Sid'Ahmed
Taya au pouvoir depuis le 12 décembre 1984, dont
le scrutin débute jeudi avec 6 candidats en
lice, a été arrêté mercredi. Il est
soupçonné de fomenter un coup d'état.
L'arrestation de M. Ould Haidallah peut
entraîner le report des élections car selon la
loi, en cas de décès ou d'empêchement de l'un
des candidats, l'élection est reportée. C'est
au Conseil Constitutionnel de se prononcer sur
cette éventualité. (Source : Fil-info-France)
Lundi 10 novembre 2003 : Selon des
résultats officiels, le président sortant
Maaouiya Ould Sid'Ahmed Taya a remporté
l'élection présidentielle de vendredi. Il a
été réélu avec 66,7 % des suffrages pour un
nouveau mandat de 6 ans devant son principal
adversaire, l'ex-président Mohamed Khouna Ould
Haidallah, (NDLR. renversé en 1984 par un coup
d'état mené par le président Taya). Les forces
de sécurité ont procédé pour la deuxième
fois à l'arrestation de M. Ould Haidallah peu
après l'annonce de la victoire du président
Taya. Il est soupçonné de préparer un coup
d'état. (Source : Fil-info-France)
Vendredi 14 novembre 2003 : Le
président Ould Taya a reconduit à son poste le
premier ministre sortant Sghair Ould M'Bareck qui
a formé un nouveau gouvernement entièrement
remanié avec 8 nouveaux membres dont une femme,
Mme Salka Mint Bilal, qui occupe pour la
première fois un poste important, celui de la
Fonction Publique et de l'Emploi. (Source :
Fil-info-France)
Lundi 29 décembre 2003 : La Cour
criminelle de Nouakchott a condamné dimanche
l'ancien président Mohamed Khouna Ould Haidalla,
à 5 ans de prison avec sursis et le versement
d'une amende de 400 000 ouguiyas (environ 1 200
euros). Mohamed Khouna Ould Haidalla
comparaissait depuis le 1er décembre avec 14
co-accusés poursuivis pour "attentat
tendant à renverser le régime constitutionnel
par la violence au préjudice des intérêts
majeurs de la Mauritanie". 4 co-accusés (le
fils aîné de l'ex-président, Sidi Mohamed Ould
Haidalla, son directeur de campagne, Ismaël Ould
Amar, son porte-parole, Ely Ould Sneiba et d'un
de ses conseillers, Devally Ould Cheïne ont
été condamnés à la même peine ; 4 autres à
2 ans de prison avec sursis et 200 000 ouguyas
d'amende (environ 600 euros) et les 6 derniers
ont été acquittés. Le Procureur de la
République avait demandé 15 à 20 ans de prison
avec travaux forcés pour tous les accusés. (Source :
Fil-info-France)
Jeudi 30 septembre 2004 : Le ministre
de l'Intérieur, Mohamed Ghali Ould Chérif Ahmed
a annoncé mercredi que ses services ont déjoué
une tentative de coup d'Etat qui prévoyait
"la destruction de la présidence, des
états-majors, des centres de communications, de
l'aéroport et des centrales électriques"
et accusé Moustapha Limam Chafi, conseiller
spécial du président du Burkina Faso, Blaise
Compaore, d'avoir "préparé et financé ces
actes criminels avec le concours financier de la
Libye." (Source : Fil-info-France)
Mercredi 29 décembre 2004 : L'Assemblée
nationale a adopté lundi une loi autorisant le
président de la République à ratifier la Charte africaine des droits de
l'homme et des peuples. Elle a
également promulguer mardi une loi autorisant le
président de la République, Maaouya Sid Ahmed
Taya, à ratifier la Convention des Nations Unies
sur la criminalité transnationale (CTO). Cette
convention dite "Convention de Palerme" a été
adoptée le 15 novembre 2000 à New York par
l'Assemblée générale de l'ONU. (Source :
Fil-info-France)
Vendredi 23 septembre 2005 : Après le
coup d'Etat du 3 août 2005 qui a destitué le
Président Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya, parti
assister aux obsèques du roi Fahd d'Arabie
Saoudite, le Conseil Militaire pour la Justice et
la Démocratie (CMJD) a instauré mardi 20
septembre 2005 par décret du Président, le
colonel Ely Ould Mohamed Vall,
l'Inspection générale de l'Etat (IGE) pour
mettre fin aux "abus de gestion et à la
dilapidation des ressources publiques". (Source :
Fil-info-France)
Lundi 27 mars 2006 : Le Conseil
militaire pour la justice et la démocratie
(CMJD), qui a pris le pouvoir le 3 août 2005 à
la suite d'un coup d'Etat sans effusion de sang
contre l'ancien président Maaouiya Ould Taya, a adopté
vendredi 24 mars 2006 un projet constitutionnel
rétablissement de la Constitution du 20 juillet
1991 dans lequel figure notamment la limitation
de la durée du mandat présidentiel à 5 ans, au
lieu de 6, renouvelable une fois. Ce projet de
loi sera soumis à référendum le 25 juin 2006.
Le gouvernement estime que cette limitation du
mandat présidentiel "garantira désormais
l'alternance pacifique et démocratique". (Source :
Fil-info-France)
Lundi 26 juin 2006 : Près d'1
million d'électeurs était appelé aux urnes
dimanche 25 juin 2006 pour se prononcer par
référendum sur une modification de la
constitution en vigueur depuis 1991, qui prévoit
notamment la réduction à 5 ans renouvelables
une seule fois du mandat présidentiel, qui
était de 6 ans sans limitation auparavant, et
limite l'âge du Président entre 40 et 75 ans.
Le scrutin est supervisé par la Commission
électorale nationale indépendante (CENI) et une
trentaine d'observateurs internationaux de la Ligue arabe, de l'Union Africaine et de l'Organisation de la Francophonie. Le
Colonel Ely Ould Mohamed Vall,
président du Conseil militaire pour la justice
et la démocratie (CMJD) avait pris le pouvoir
par un coup d'Etat le 3 août 2005 destituant le
Président Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya, parti
assister aux obsèques du roi Fahd d'Arabie
Saoudite. (Source : Fil-info-France)
Mercredi 4 octobre 2006 : La nouvelle
loi sur la presse, qualifiée de "très
libérale" par de nombreux observateurs,
adoptée en juillet 2006, est entrée en vigueur
lundi 2 octobre 2006 au cours d'une cérémonie
présidée par les ministres mauritaniens de la
Justice, Mahoudh Ould Bettah, de l'Intérieur,
Mohamed Lemine Ould Mohamed Ahmed et de la
Communication, Cheikh Ould Ebbe. Les 3 ministres
ont voulu marquer la fin du contrôle des
services du ministère de l'Intérieur sur les
organes de presse, et l'abolition définitive de
la censure. Le ministère de l'Intérieur, des
postes et télécommunications a transféré,
lundi, ses compétences en matière de presse au
ministère de la Justice. Le ministre de la
Justice, Mahoudh Ould Bettah, a précisé que la
nouvelle loi garantit, pour la première fois
(article 7), le droit du journaliste de
bénéficier du soutien financier de l'Etat. (Source :
Fil-info-France)
Lundi 4 décembre 2006 : Près de
600 000 électeurs étaient appelés aux urnes
dimanche pour le second tour des élections
législatives où 52 des 95 sièges de
l'Assemblée encore à pourvoir après le premier
tour du 19 novembre 2006. Une coalition d'anciens
partis d'opposition à Maaoya Sid'Ahmed Ould
Taya, l'ancien président déchu, en exil au
Qatar, à la suite d'un coup d'Etat militaire,
perpétré le 3 août 2005 par le général
colonel Ely Ould Mohamed Vall, a déjà
remporté 43 sièges et se trouve en lice pour 21
autres. (Source : Fil-info-France)
Mardi 5 décembre 2006 : Le ministre
de l'Intérieur Mohamed Ahmed ould Mohamed Lemine
a annoncé les résultats des élections
législatives qui se sont déroulées dimanche 3
décembre 2006 et qui ont la victoire de la
"coalition des forces du changement"
(opposition à l'ancien régime) qui a remporté
41 des 95 sièges au sein de l'Assemblée
nationale suivi par les partis indépendants avec
39 sièges et enfin le parti républicain, ancien
parti au pouvoir, avec 7 sièges. (Source :
Fil-info-France)
Lundi 12 mars 2007 : 1,1 million
d'électeurs étaient appelés aux urnes dimanche
11 mars 2007 pour élire leur président parmi 19
candidats, un chiffre record dans ce pays, pour
succéder au chef de la junte militaire, le
colonel Colonel Ely Ould Mohamed Vall,
président du Conseil militaire pour la justice
et la démocratie (CMJD) en Mauritanie qui a pris
le pouvoir par un coup d'Etat le 3 août 2005
destituant le Président Maaouya Ould Sid'Ahmed
Taya, parti assister aux obsèques du roi Fahd d'Arabie
Saoudite, qui ne se présente pas à ce scrutin,
conformément à ses engagements de restaurer le
pouvoir à la société civile. (Source :
Fil-info-France)
Mardi 27 mars 2007 : Sidi Ould Cheikh Abdallahi,
69 ans, candidat soutenu par la majorité
présidentielle au pouvoir avant le coup d'Etat
de 2005, a remporté l'élection présidentielle
lors du second tour, dimanche 25 mars 2007, avec
52,85 % des suffrages. Son rival, Ahmed Ould
Daddah, 65 ans, opposant au régime renversé par
la junte en août 2005, a reconnu sa défaite et
promis de mener "une opposition
responsable". (Source : Fil-info-France)
Samedi 21 avril 2007 : Le nouveau
président, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, a nommé
vendredi 20 avril 2007 par décret, Zeine Ould
Zeidane, 41 ans, candidat le plus jeune à
s'être présenté à l'élection
présidentielle, au poste de Premier ministre. Le
président Sidi Cheikh Ould Abdallahi est le
premier président démocratiquement élu depuis
l'indépendance de la Mauritanie en 1960, ses
prédécesseurs étant jusque-là arrivés au
pouvoir par des coups d'Etat. (Source :
Fil-info-France)
Mardi 29 mai 2007 : Au cours
d'une soirée de solidarité avec le peuple
palestinien qui s'est tenue vendredi 25 mai 2007
à Nouakchott la capitale, co-organisée par le
parti Hatem et l'ONG Ribat ( organisation qui
lutte contre la percée du sionisme en
Mauritanie), des partis politiques et des
organisations non gouvernementales ont demandé
au nouveau gouvernement mauritanien de rompre ses
relations diplomatiques avec Israël à cause des
"souffrances que ce pays inflige au peuple
palestinien". (Source : Fil-info-France)
Vendredi 8 juin 2007 : Le nouveau
président, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, a
annoncé, mercredi 6 juin 2007, en conseil des
ministres, qu'il renonçait à 25 % de son
traitement et demandé "un effort
similaire" aux membres du gouvernement. Le
président a expliqué que sa décision fait
suite à la baisse du niveau des revenus
pétroliers et à lécart important entre
le niveau de rémunération des ministres et des
autres fonctionnaires de lEtat. (Source :
Fil-info-France)
-
- Climat
- Désertique.
Toujours très chaud et sec attisé par le vent
saharien, l'harmattan.
- Code ISO
- MR
- Devise nationale
- Honneur,
fraternité, justice.
- Drapeau
- Economie
- Fer.
Gisements de gypse les plus importants du monde.
Cuivre. Pêche. Chameaux. Dattes, millet, sorgho.
- Fête nationale
- 28
novembre (1960, indépendance).
- Langue officielle
- Arabe
Hasaniya. Langues parlées : wolof et français.
- Liens
- Le portail officiel de la Mauritanie
- Commissariat
aux Droits de l'Homme, à la lutte contre la
pauvreté et à l'insertion
- L'ambassade de France en Mauritanie
- Les Pages
Jaunes de Mauritanie
- Drapeau, hymne national et heure
locale
- Air Mauritanie, Les Ailes
du désert
- L'Université
de Nouakchott
- La cité de Chinguetti, classée
patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1996
- Alban Fatkin : reportage
photo vie au quotidien et portraits du Maroc,
Mali, Mauritanie
- Amathliche Tours : Randonnées
et safaris dans le désert en 4 X 4 ou à dos de
chameau. Manuscrits de Chinguetti et de Ouadane,
peintures rupestres
- Randonnée en Mauritanie. Un beau
site tout en photographies !
- Voyage en Mauritanie. * De
belles photos à découvrir.
- Médias
- http://www.mauritania.mr/ami/ AMI, Agence
Mauritanienne d'Information (en arabe)
(télécharger les polices)
- http://www.mauritania.mr/ami/fr/defaultfr.htm AMI, Agence
Mauritanienne d'Information (en français)
- Nouakchott
Info, hebdomadaire
- Le Flambeau, le
journal des FLAM Forces de
Libération Africaines de Mauritanie
- Offre
n° 3
Monnaie
- Ouguiya
- Partis politiques
- http://www.prds.mr/ PRDS :
Parti Républicain Démocratique et Social (parti
au pouvoir)
- FP :
Front Populaire
- UNDD
: Union Nationale pour la Démocratie et le
Développement
- PMRC
: Parti Mauritanien pour le Renouveau et la
Concorde
- RDU :
Rassemblement pour la Démocratie et l'Unité
- http://flamnet.fr.fm/ FLAM Forces de
Libération Africaines de Mauritanie
- http://membres.lycos.fr/faas/ FAAS Front
Arabo-Africain de Salut contre l'esclave, le
racisme, le tribalisme
- Population
- Mauritaniens.
- 2,7 millions
d'habitants.
- Métissage Maure/Noir
(40%), Maure (30%), Noir (30%).
- Principales
villes
- Nouachkott,
Rosso, Nouâdhibou, Kiffa, Kaédi.
- Offre
n° 4
Religion
- Musulmans
(100 %).
- Situation
géographique
- Etat
du nord-ouest africain bordé par l'Océan
Atlantique. Frontières avec le Sahara
occidental, l'Algérie, le Mali et le Sénégal.
- Statut
- Le
multipartisme est rétabli en 1991. Les partis
d'opposition ont boycotté les élections
législatives de 1992 et 1996. Coup d'Etat
militaire le mercredi 6 août 2008 qui a déposé
le premier président démocratiquement élu,
Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi (au pouvoir
depuis le 19 avril 2007). Chef de la junte
militaire : général Mohamed Ould Abdel Aziz
(élu président depuis le 18 juillet 2009).
Premier Ministre : Moulaye Ould Mohamed Laghdaf
(depuis le 14 août 2008).
- Superficie
- 1 030 400 km²
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.(Voir aussi
espace Webcam)
Offre n° 5
|