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Offre n° 1
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REGIONS
: POITOU-CHARENTES
De
notre correspondant à La
Rochelle, Philippe
PECCOLO
Quand
la police scientifique
prend du retard - 3
février 2011
Après avoir consulter le
service des personnes
recherchées pour crime
ou autre, je me suis
rendu compte que la
plupart des photos
étaient anciennes, voir
pour la plus ancienne 30
ans ce qui remonte à
1981. Il existe
aujourd'hui des logiciels
permettant de vieillir un
visage. Ne serait-il pas
plus judicieux pour la
police, de procéder à
un vieillissement
régulier de ses photos,
afin de garantir une plus
grande facilité pour
mettre la main sur ces
personnes recherchées?
Le problème est
identique pour les
personnes disparues. Il y
a actuellement en France,
89 personnes recherchées
pour délit et 54
personnes (enfant
compris) disparues
également recherché. La
plupart des délits
présentés, ont été
jugé par contumace,
c'est-à-dire sans la
présence de la personne
incriminée (qui vole
toujours de ses propres
ailes quelques part entre
ciel et terre). Cependant
tout le monde n'a pas les
moyens de subir une
chirurgie esthétique ou
de payer au prix fort une
nouvelle identité. Ceci
dit, quand on y regarde
de plus prêt les
identités, on comprend
très vite qu'un retour
au pays juste après
leurs méfaits, suffit
pour disposer d'une
tranquillité de rêve.
Sur les quatre types
présents dans le fichier
des personnes
recherchées, Européen,
Méditerranéen,
Nord-Africain ou du type
Levantin (natif du pays
du levant), les deux
derniers font légion.
Pour ce qui en est des
enfants, le problème
reste le même et parait
bien plus important du
fait que leurs
morphologies d'adulte
encore lointaine est en
pleine croissance. Ceci
dit, toute disparition
n'est pas dû à un
enlèvement si l'on en
juge le cas de ses deux
enfants, dont la fille
fût emporté par une
vague et jamais retrouvé
le 17 février 2007, et
le petit garçon, laisser
seul au domicile avait
disparu au retour de la
maman le 11 septembre
2008. Si toutefois ils
étaient encore en vie,
de 10 à 15 ans plus tard
il paraîtrait impossible
de les reconnaître.
Quand aux tenues
vestimentaires, si les
enfants sont avec des
adultes, il est à
considérer qu'au delà
de 24h00 ils ne portent
plus la même chose.
D'où l'importance d'une
reconnaissance
régulière des visages.
Philippe PECCOLO
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