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Offre n° 1
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REGIONS
: POITOU-CHARENTES
De
notre correspondant à La
Rochelle, Philippe
PECCOLO
Le
raïs égyptien enfin
déchu - 12
février 2011
Une fois de plus, la rue
aura eu raison d'un
dictateur. Après la
Tunisie, les égyptiens
espèrent bien retrouver
une vie meilleure.
Attention, si Hosni
Moubarak a bien quitté
le pouvoir, il n'a pas
pour autant quitté le
pays, alors qu'une partit
de sa famille c'est
réfugié en Angleterre.
Les poursuites
judiciaires ne tarderont
pas à se mettre en route
à son encontre. Déjà
plusieurs de ces anciens
ministres sont
poursuivit. S'il a émis
le souhait de mourir sur
sa terre, Hosni Moubarak
en acceptera-t-il pour
autant d'y être jugé ?
Il ne parait pas
souhaitable qu'un seul de
ses anciens ministres
reste encore en exercice.
Même son vice président
élus depuis peu, ne
pourra pas tenir sa place
puisque le peuple
n'attend qu'une refonte
totale du gouvernement.
C'est à présent l'armé
qui détient le pouvoir,
dans l'attente d'une
transition claire et un
renouveau qui rendra bien
plus humaine la vie du
peuple égyptien. Si un
grand nombre de chef
d'Etat se félicite de la
décision prise par
l'ancien dictateur, il
n'en reste pas moins
qu'à présent et comme
tout après guerre, les
règlements de compte
vont avoir lieu entre
anti et pro Moubarak. Il
faut toutefois se
souvenir qu'il y a déjà
eu prêt de 200 morts
lors des manifestations.
Combien y en aura-t-il
encore durant ces
règlements de compte ?
Philippe PECCOLO
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