REGIONS
: POITOU-CHARENTES
De
notre correspondant à La
Rochelle, Philippe
PECCOLO
Prothèses mammaires,
l'implant de tous les
dangers - 22
décembre 2011
Pourquoi les femmes se
trouvent laide, au point
qu'elles n'hésitent pas
à utiliser divers types
de prothèse pour
modifier leur corps ? En
théorie, les corps sont
justement proportionner.
La modification
s'effectue d'après le
comportement de la
personne. Je laisse de
côté ceux, qui dès la
naissance, sont sujets à
une modification due à
une maladie et qui,
malheureusement, ne
trouveront peut-être
aucun remède pour
retrouver une ligne et
des formes attirantes. Au
pire des cas, une
hyposussion ou un anneau
gastrique pourrait les
aider. Tournons notre
regard en direction de
ces femmes, qui veulent
à tout prie subir des
transformations
chirurgicales, pour
devenir encore plus
belle! En majorité, se
sont les seins qui sont
visé, et elles sont de
plus en plus jeune à
vouloir augmenté le
volume de leurs
poitrines. Aujourd'hui,
c'est cette partit du
corps qui se trouve en
danger. Il aura fallut la
mort d'une femme, adepte
de la prothèse mammaire,
pour tirer la sonnette
d'alarme. Mais! Que
s'est-il donc passé? Le
chirurgien lui avait mis
en place, des prothèses
fabriquées par la
société marseillaise
'Poly Implant Prothèse'.
Ces implants, qui sont
remplis d'un silicone
industriel, ne possède
pas la solidité
obligatoire. Ils se
déchirent, et le liquide
se répand
progressivement dans tout
le corps. Au fil des
jours, la mort s'avance
à grand pas. Sur les 30
000 femmes qui portent
aujourd'hui les implants
provenant de 'Poly
Implant Prothèse', 2500
ont déposé plainte, car
ces personnes souffrent
de différents maux, qui
leur rend la vie
impossible. A 53 ans, le
lundi 21 novembre 2011,
Edwige Ligonèche ferme
définitivement les yeux,
vaincue par une
tromperie. En 2010,
l'Agence française de
sécurité sanitaire des
produits de santé
(L'AFSSAPS), retire ces
prothèses du marché,
mais le mal est fait. A
la suite d'une enquête
rondement mener,
l'AFSSAPS découvre que
le gel des implants,
n'est autre qu'un liquide
plutôt utilisé pour les
circuits imprimés des
ordinateurs. Suite à
cette affaire, une femme
ayant pris peur de subir
de terribles souffrances,
a préféré se suicider.
L'AFSSAPS déconseille
vivement aux porteuses de
ces prothèses, et jeunes
futures mamans,
d'allaiter leur bébé.
Une autre victime serait
actuellement sous
morphine, pour calmer les
douleurs qui la
tiraillent en tout sens.
Ce qui devait désormais
faire partie de leurs
beautés, s'est
transformé en calvaire.
Par soucis d'économie,
la société 'Poly
Implant Prothèse', a
tout simplement remplacé
le gel médical par un
gel industriel, et n'a
pas respecté le
protocole de protection
de la prothèse, qui est
de sept couches, et non
de trois, ce qui
fragilise
considérablement la
poche contenant le gel.
La société 'Poly
Implant Prothèse', a
commis là, un acte
délibéré, qui mérite
une sanction lourde. En
dehors d'une
indemnisation importante
pour les victimes et
leurs ayants droits, le
gouvernement devrait
créer une loi, exigeant
la fermeture définitive
des laboratoires qui
jouent et font de
l'argent, avec la vie des
gens. Les dirigeants de
cette société se sont
manifestement enfui comme
des voleurs !
Philippe PECCOLO