REGIONS
: POITOU-CHARENTES
De
notre correspondant à La
Rochelle, Philippe
PECCOLO
Alexandra hôtesse de
caisse, mais pas
seulement ! - 13
décembre 2011
Alexandra
est Hôtesse de caisse.
C'est une jeune femme de
18 ans, qui n'a pas que
le mérite d'avoir un
emploi, dans une période
ou tout paraît aller mal
en France. La crise de
l'Euro, le chômage qui
flambe, les familles qui
ont de plus en plus de
mal à terminer les mois.
Née en 1993, elle ne
pouvait imaginer qu'à sa
majorité, elle aller
devoir affronter la vie
sous un angle différent.
Mais Alexandra, dispose
d'une force intérieure
que l'on ne reconnaît
que chez les femmes, et
qui lui permet de vivre
pleinement sa vie au
féminin, personnel et
professionnel. Ces 35h00,
elle les assumes en vrai
pro. Dans les moments
calmes, elle doit
également
réapprovisionner les
rayons, et lorsqu'on
garde une attention sur
elle, pas de doute
qu'elle aime son travail.
Elle s'accomplit, comme
si Carrefour l'avait
placé aux commandes de
la boutique. Sa
détermination volontaire
fait d'elle, une
employée modèle, ce qui
pourrait, et nous
l'espérons tous, la
propulser dans une avenir
meilleur que le notre.
'Carrefour City', est
l'enseigne qui remplace
aujourd'hui, 'Marché
Plus', au tout début de
la rue du Minage, à la
Rochelle. A leurs
demandent, Alexandra
renseigne les clients sur
tout type de produit
proposé. Depuis le
changement d'enseigne,
1200 articles
supplémentaires sont
venus renforcés la
vente. Son jeune âge lui
permettra sans nul doute,
de bravé les
intempéries politique
qui, telle une balance,
penche actuellement vers
le désastre. Alexandra
fait aujourd'hui partit
de la génération qui
nous porte nous, les
quinquagénaires, tel que
nous l'avons fait pour
nos parents. Les impôts
qu'elle reverse, ne
servent pas uniquement
pas uniquement aux
retraités, mais aussi à
un grand nombre de
personne et ce, pour
diverses raisons. C'est
sur des personnes comme
Alexandra, que nous
devons déposer tous nos
espoirs, pour un avenir
meilleur. Alexandra est
l'enseigne de la jeunesse
d'aujourd'hui et de nos
lendemains.
Philippe PECCOLO