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Offre n° 1
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REGIONS
: POITOU-CHARENTES
De
notre correspondant à La
Rochelle, Philippe
PECCOLO
La chute
"Royal" de
Ségolène - 18 juin
2012
Son Altesse Royal victime
d'un échec et mat peut
à présent s'en
retourner vendre ses
appartements et villas de
luxe dans le midi. Sa
tour de Babelle aussi
fragile qu'un château de
carte s'est écroulée.
Il ne restera plus pour
les historiens que
l'existence d'une
traqueuse à problèmes
ayant le pouvoir de
l'imagination et surtout
remplie de rêves aux
intentions douteuses. De
l'imagination, elle en a
à revendre la dame,
comme cette affiche
concernant son rival
Olivier Falorni, qu'elle
trouva proprement
scotchée sur la porte de
son appartement ! Qui
nous dit qu'elle ne l'a
pas elle même placée
là ? Des dons, elle en a
beaucoup et plus
particulièrement celui
que toutes actrices
rêvent de posséder,
celui de pleurer sur
commande. Dans son cas,
il paraît être
totalement inutile
d'utiliser des artifices
pour lui faire verser des
larmes, la moindre
contrariété lui suffit
et ce n'est pas les
désagréments, les
agacements, qui manquent
dans sa vie! Plus que
jamais en mal de
sensation, elle exulte
dans son comportement
ignoble. Une grande
question se pose :
Comment est-il possible
qu'une personne comme
elle, avec la fringale
politique dont elle
déborde, peut être
aussi détestée par son
propre parti ? En 1983,
elle veut s'implanter
électoralement à
Villers-sur-Mers dans le
Calvados, mais le maire
socialiste de l'époque
l'a rejette, la voilà
donc qui s'installe
quelques kilomètres plus
loin à
Trouville-sur-Mer. Elle
souhaite être investie
aux législatives de
1986, mais elle essuie à
nouveau un refus des
socialistes Bas-Normands.
En 1995, elle ne parvient
pas non plus à devenir
maire de Niort. Elle
échoue face au maire
socialiste sortant,
monsieur Bernard Bellec,
qui avait refusé de se
retirer. J'en passe et
des meilleurs ! Les
Français sont en droit
de se demander pourquoi
elle arbore plus que
jamais le badge et
l'étiquette d'un parti
qui n'en a jamais
vraiment voulu ! La
réponse est toute
trouvée, elle ne se bat
pas dans le bon sens du
terme pour obtenir, elle
prend, elle se sert, elle
impose par le biais de
ses supérieurs qu'on lui
laisse la place. C'est
une forme moderne de
droit de cuissage
politique. Ce 17 juin
2012, elle est battue
haut la main par Olivier
Falorni, qu'aujourd'hui
le PS rejette tout
simplement parce qu'il
est le meilleur.
Philippe PECCOLO
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