|
Offre n° 1
|
REGIONS
: POITOU-CHARENTES
De
notre correspondant à La
Rochelle, Philippe
PECCOLO
2012 la bataille du
perchoir - 25 mai
2012
Nous pourrions commencer
par : Il était une fois
une dame qui passe son
temps à rêver. Quoi
qu'il arrive, quoi qu'il
fasse comme temps,
Ségolène Royal
s'autorise des défis de
grandes enveurgures,
peut-être même un peu
trop grands si l'on en
juge sa trop grande
faiblesse morale, depuis
sa défaite au second
tour des élections
présidentielles de 2007.
Aujourd'hui, elle se
targue d'avoir le soutien
du Président de la
République son
ex-compagnon et père de
ses enfants, ainsi que le
soutien du nouveau
Prmeier ministre un ami
de longue date. Avant
cela, ségolène Royal se
doit de remporter les
législatives afin de
devenir Député de la
Charente Maritime, mais
le premier secrétaire
fédéral du PS, monsieur
Olivier Falorni, se
présente également sans
oublier les concurrents
des partis adverses. Rien
n'est donc encore gagné
pour elle. Quand au
perchoir, deux autre
candidats à ce poste
également du PS
s'engagent dans cette
bataille. Il s'agit de
Jacques Lang et de Jean
glavany. Il reste encore
pour Ségolène Royal une
fête de Noël par an,
pour faire valoir ces
plus beaux voeux ou
souhaits. Aujourd'hui,
son impopularité ne joue
plus en sa faveur. Elle
est présidente du
conseil général du
Poitou Charente, mais
elle s'accroche
désespérément à
vouloir passer la
frontière pour devenir
Député à la Rochelle
tout en faisant main
basse sur l'île de Ré.
Personne ne peut nier que
la gauche se craquelle,
se divise, car il ne
parait pas y avoir un mot
d'ordre précis, pour
avoir accès à la
députation ainsi qu'au
perchoir. A y voir de
plus près, il serait
même à parier que c'est
chacun pour soi. Sans
l'ombre d'un doute il est
bien difficile de
reconnaître au sein du
parti socialiste, une
entraide équitable. Le
regret prend à ce jour
un volume important
lorsqu'en suivant bien le
comportement des
politiques et des
médias, on se rend très
bien compte, qu'il
n'existe à ce jour,
qu'une seule politique au
sein du parti socialiste,
celle de l'autruche.
Contrairement où la
concertation est de
rigueur dans la majorité
des cas comme à l'UMP,
au Front National, chez
les centristes et autres.
Le dialogue de sourds
fait légion.
Philippe PECCOLO
ARCHIVES
POITOU CHARENTES
2008-2009
RETOUR
SOMMAIRE REGIONS
Offre n° 3
ABONNEZ-VOUS
GRATUITEMENT !
ENTREZ SIMPLEMENT
VOTRE
EMAIL !
|
|
-
|