|
De notre
correspondant Raymond
ARDISSON
La
véritable histoire de
Guy Môquet - 19
décembre 2007
A la demande de Nicolas
Sarkozy, la lettre de Guy
Môquet à sa famille a
été lue le 22 octobre
2007 dans tous les
lycées de France, ou
presque, certains
enseignants de
lEducation
nationale ayant refusé
de se plier à
lexercice,
dénonçant une
instrumentalisation de la
Mémoire au profit du
politique.
Il est pour le moins
intéressant de voir
dun peu plus près
cette affaire et pour
cela il faut remonter à
lannée 1920. En
décembre, au congrès de
Tours, la S.F.I.O adhère
à la Troisième
Internationale
Bolchevique. Ce faisant,
ce nouveau parti accepte,
entre autres directives,
létiquette «
communiste » qui perdure
jusqu'à
aujourdhui.
Un parti centraliste,
révolutionnaire, avec
une discipline de fer et
comme but, à plus ou
moins longue échéance,
la prise du pouvoir pour
instaurer « la dictature
du prolétariat ». Il
est totalement aux ordres
de Moscou, dont il
reçoit une importante et
régulière aide
matérielle lui
permettant de financer un
vaste appareil de
propagande : journaux,
revues, films,
conférences, permanences
et permanenciers
rétribués, et autres.
Il exerce une forte
activité
dendoctrinement et
de noyautage dans les
syndicats, coopératives,
et organisations de
masses ouvrières. 18 ans
après, en 1938, le PC
est une force politique
très importante, avec
320.000 adhérents
répartis en 13.000
cellules, et des journaux
et revues à fort tirage.
72 députés communistes
siègent à
lAssemblée
nationale.
Dès 1935 Moscou,
devinant la menace de
lEtat nationaliste
allemand du chancelier
Hitler, ordonne aux
divers PC (dont le
français) une politique
farouchement
anti-fasciste et anti
allemande. Alors que le
Front Populaire de 1936
refuse laide aux
républicains espagnols,
le PC réclame des canons
contre larmée de
Franco, et à son appel
de nombreux volontaires
partent sur le front
dEspagne, dont
Malraux.
Le mot dordre du
PC, dicté par
lURSS, est alors
soutien total au grand
frère soviétique, et la
constitution dun
front français contre le
fascisme. Mais le 23
août 1939, cest la
consternation chez les
communistes : des
tractations secrètes
entre Molotov et
Ribbentrop -
respectivement ministres
des Affaires étrangères
de lU.R.S.S et du
Reich - engagées depuis
deux mois, aboutissent ce
jour-là à la signature
dun accord de
non-agression
réciproque, et surtout
à un protocole
additionnel secret dont
on connaît le détail
depuis la chute de
lURSS et
louverture de leurs
archives. Lequel
protocole accorde la
livraison
dimportantes
quantités de céréales,
de matières premières,
et de pétrole à
lAllemagne qui, à
cette date après avoir
envahi la
Tchécoslovaquie, en a
bien besoin,
sapprêtant à
attaquer la Pologne. En
prime, Moscou livre aussi
150 communistes allemands
qui sétaient
réfugiés en URSS. Cet
accord secret stipule que
larmée soviétique
participera à la guerre
contre la Pologne, et
ensuite récupérera une
partie du territoire
polonais conquis.
Beaucoup de militants
communistes, outrés
devant cet accord du 23
août, quittent le parti
; il perd environ 30% de
son effectif. Le reste et
la plupart des cadres
continuent à respecter
les mots dordre de
Staline. Le 1er septembre
1939, lAllemagne
envahit la Pologne. En
France, le Parti
applaudit à
l'écrasement de ce pays
« réactionnaire » et
justifie l'attaque de la
Finlande « fasciste ».
Le 2 septembre, la France
et lAngleterre, par
le jeu des alliances,
déclarent la guerre à
lAllemagne.
Cest la
mobilisation. Le 4, à la
Chambre des députés, il
est demandé une minute
de silence en hommage aux
Français partis pour le
front, les quatre
derniers députés
communistes à siéger à
la Chambre refusent de se
lever. Larmée
française pénètre sur
50 km dans le territoire
du Reich, sans trouver
beaucoup de résistance,
et cest
lattente ; il ne se
passe pas grand chose,
les Allemands sont bien
trop occupés en Pologne.
Cest « la drôle
de guerre » qui va durer
dix mois. Le 10
septembre, suite aux
accords, les troupes
soviétiques rejoignent
sur le sol polonais leurs
alliés allemands. Le
gouvernement français
interdit le 26 septembre
1939 le Parti Communiste
qui rentre en
clandestinité. Notre
pays essaie de rattraper
le temps perdu durant le
Front populaire, très à
gauche, où on avait eu
la brillante idée de
confier notre aviation au
ministre communiste
Pierre Cot, et de
réduire les cadences
dans les usines
darmement, tandis
que lAllemagne,
elle, doublait les
siennes.
Comment réagit le PC au
déclenchement de ces
hostilités, eh bien la
France attaque
lAllemagne, et de
ce fait son alliée
lURSS. Les
communistes se livrent
donc à une intense
propagande en faveur de
celle-ci, pour inciter
nos troupes à la
fraternisation, voire à
la désertion : « Les
soldats allemands sont
vos frères, pactisez, ne
vous trompez pas, votre
ennemi cest le
grand capital, les trusts
de France,
dAngleterre,
dAmérique »
« Vos ennemis ne
sont pas de lautre
côté de la ligne
Siegfried (1) mais dans
votre propre pays » (en
P.J. un de ces tracts)
Sur ordre de Moscou le PC
sabote l'appareil
industriel français et
les usines travaillant
pour la Défense
nationale, par
lintermédiaire des
ouvriers et des cadres
qui y sont employés. Des
sabotages sont commis
dans les poudrières,
laéronautique, les
usines de chars. Ainsi en
mai 1940, un mois avant
la défaite et
lArmistice, le
Troisième Tribunal
militaire de Paris juge
six jeunes communistes
travaillant aux usines
Farman, pour des
sabotages sur des moteurs
davion ayant causé
en vol la mort de quinze
de nos pilotes. Beaucoup
de ces saboteurs sont
arrêtés, jugés et
fusillés. Dautres
refusent la mobilisation,
refusent de porter
l'uniforme et désertent
devant l'ennemi. C'est le
cas de Maurice Thorez,
Secrétaire général du
Parti. Mobilisé en
septembre 1939, il
s'enfuit à Moscou le 6
octobre.
En juin 1940, après une
guerre éclair, les
Allemands sont à Paris
et lArmistice est
signé le 22. Depuis le
16, le maréchal Pétain
est chef de lEtat,
le PC se réjouit de la
défaite de la France, et
le journal « L'Humanité
», toujours clandestin,
écrit le 19 juin : «
Notre drapeau c'est celui
de la paix, celui de la
lutte contre le
capitalisme, celui de la
fraternité des peuples,
et tout cela c'est la
pensée profonde de notre
grand Parti ». La
Pologne, selon les
accords, est maintenant
partagée en deux, les
Soviétiques ont pris
officiellement le
territoire à lEst,
et les Allemands à
lOuest. Tandis que
ces derniers raflent les
Juifs et les confinent
dans des ghettos dont
celui de Varsovie,
larmée rouge fait
près de 250.000
prisonniers. Le NKVD (2)
se charge den
massacrer une partie,
notamment à Katyn où la
Werhmarcht découvrira,
en 1943, huit fosses
communes contenant 4000
corps que plus tard les
Russes essaieront en
vain, au procès de
Nuremberg, de leur
attribuer.
Le 4 juillet 1940, soit
12 jours après la
défaite et
loccupation
allemande, «
lHumanité »,
toujours clandestine mais
qui sapprête à
demander à
loccupant le droit
de reparaître, écrit :
« Il est
particulièrement
réconfortant de voir de
nombreux travailleurs
parisiens
sentretenir
amicalement avec les
soldats allemands ;
continuez camarades,
même si cela ne plaît
pas à certains bourgeois
aussi stupides que
malfaisants ».
En accord avec Duclos,
chef du parti clandestin
en France, et Maurice
Thorez, déserteur
réfugié en Russie, un
cadre militant féminin,
Ginette Ginolin,
accompagnée de Maurice
Tréand, bras droit de
Thorez, et bien sûr avec
laval des
Soviétiques, rencontre
le 8 juillet à Paris
Otto Abetz, représentant
en France occupée le
ministre des Affaires
étrangères allemand,
Von Ribbentrop. Voici un
extrait de
largumentaire,
notes retrouvées par la
suite tout à fait par
hasard aux archives de
Paris. Elles seront lues
à la Chambre des
députés par Edouard
Daladier le 18 juillet
1946. En prendre
connaissance est aussi
loccasion de noter
que le Parti Communiste,
en Russie, en France ou
ailleurs, est un parti
foncièrement antisémite
(3).
« Vous avez laissé
paraître des journaux
communistes en Belgique,
au Danemark, en Norvège,
nous sommes venus nous
aussi vous demander
lautorisation de
reparaître. Nous sommes
communistes, avons
appliqué la ligne du PC
sous Daladier, Reynaud,
le Juif Mandel. Ils ont
fait emprisonner et
fusiller des ouvriers qui
sabotaient la défense
nationale. Nous
navons pas cédé
face à la dictature du
Juif et du défenseur des
intérêts capitalistes
anglais : Reynaud. Notre
défense du Pacte
Germano-soviétique vous
a avantagés, pour
lURSS nous avons
bien travaillé, et donc
pour vous ».
Peut-être un peu
méfiant de ce parti pour
le moins girouette, les
Allemands tardent à
donner
lautorisation de
reparaître. Le dossier
fait plusieurs fois
laller-retour entre
Paris et Berlin.
Le 13 octobre 1940 la
police française arrête
Môquet et ses camarades
comme communistes
dun parti toujours
interdit. Le temps passe,
la France est divisée en
deux zones. En zone
occupée, les communistes
continuent à être au
mieux avec les Allemands,
tandis
quapparaissent les
premiers mouvements de
résistance provenant de
la droite dont celui
dHonoré Estienne
dOrves lui dés
août 40. Beaucoup de
communistes emprisonnés
sous Reynaud, Daladier ou
Pétain, sont petit à
petit relâchés sur
lordre des
Allemands ; cela aurait
été sans doute le cas
pour Guy Môquet et ses
camarades, fervents
propagandistes de la
fraternisation avec
lennemi. Mais bien
loin de là de
dramatiques événements
vont par ricochet
décider de leur sort.
Pendant quen
Pologne les Allemands
évacuent les Juifs des
différents ghettos
(Varsovie, mais aussi
Lodz, Bialystok, Vilnus
et dautres),
environ 3.500.000, vers
les camps pour être
exterminés, et que leurs
complices les
Soviétiques massacrent
et déportent en
Sibérie, en ce mois de
juin 1941 arrive au
Quartier Général
allemand un rapport
précis, détaillé,
émanent du service
despionnage
infiltré à Moscou : les
Soviétiques ont
lintention
dattaquer les
Allemands le 15 juillet
1941. La décision est
vite prise, le 4 juin
1941 ces derniers
franchissent la
frontière soviétique et
attaquent lURSS.
Les communistes
nont plus de raison
de soutenir leurs anciens
alliés, dautant
plus quarrive de
Moscou lordre de
multiplier les attentats
contre loccupant
pour créer un nouveau
front en France,
obligeant ainsi les
Allemands à retirer des
forces dURSS pour
les envoyer lci. Après
avoir collaboré avec
lenvahisseur
allemand, le PC rentre
alors tardivement en
résistance, mais les
chefs de ce qui est
maintenant les Forces FTP
(Francs Tireurs
Partisans) poursuivent
des buts plus cyniques.
La multiplication de
maquis non contrôlés,
souvent remplis de
véritables gangsters,
visent à prendre de
court les autres maquis,
les gaullistes organisés
après lAppel du 18
juin, car le but est la
prise de pouvoir
insurrectionnelle à la
Libération. Et ce,
contrairement aux FFI (
Forces Françaises de
lIntérieur)
fidèles au mot
dordre de de Gaulle
: « Pas dexaction
contre lennemi qui
pourrait entraîner des
représailles contre des
innocents,
entraînez-vous, formez
une armée secrète qui
se joindra aux forces
françaises libres le
jour où nous viendrons
délivrer le pays ». Et
cest le cercle
infernal des attentats et
représailles qui
commencent. Le 21 août
1941, un communiste abat
de deux balles dans le
dos laspirant Moser
à une station de métro.
En représailles, les
Allemands tirent de leur
prison de Chateaubriand
Guy Môquet et 26 autres
prisonniers pour les
fusiller. Guy Môquet
aura le temps, avant
dêtre exécuté,
décrire la lettre
que lon connaît.
Une lettre émouvante,
mais à tout prendre
anodine et où il
nest nullement
question de Résistance,
et pour cause. Guy Moquet
est mort avec courage et
bien trop tôt dans sa
jeune vie, mais la
légende dun Moquet
dans la Résistance au
moment de son
arrestation, le 13
octobre 1940, alors
quil est arrêté
par la police française
comme membre dun
parti dissous incitant à
la collaboration avec
lennemi, a été
habilement
instrumentalisé. Le
mythe de Moquet mettra un
demi-siècle pour se
construire, renforcé par
le poème dAragon
« La rose et le réséda
». Cette lecture dans
les écoles est pain
béni pour les
communistes : exactement
quatre jours après cette
décision, avec une
célérité hors du
commun, le 12 octobre, le
PC affichait dans tout
lhexagone
laffiche que
lon connaît, avec
le portrait du résistant
et martyr, le communiste
Guy Môquet. De plus, la
date de son arrestation,
le 13 octobre 1940,
confirmait lidée
dune résistance
communiste dès les
premiers mois de
lOccupation.
Henri Guaino, chargé par
Sarkozy de trouver une
lettre de jeune
résistant, a été
séduit par celle-ci sans
chercher à faire un
fastidieux travail de
recherches pour
connaître le fin fond de
laffaire. Qui le
fait dailleurs
aujourdhui ? Il est
effarant de lire, sous
des plumes de gens
couverts de diplômes,
des textes concernant
lHistoire
contemporaine, prouvant
souvent que ceux qui les
écrivent connaissent
mal, ou pas du tout leur
sujet.
Constatons
lévidence :
comment des enseignants
pouvaient-ils commenter
le micmac
Môquet à des élèves
qui ne savent quasiment
rien de la deuxième
guerre mondiale ? Il
aurait fallu dire : «
Ben voilà, cétait
un garçon généreux,
fourvoyé, qui a payé de
sa vie les mensonges et
les approximations du
Parti communiste. Qui
na pas pu être
résistant, parce que le
Parti ne résistait pas
encore. Qui a été
arrêté par la police
française parce
quil était membre
dun parti interdit,
mais qui faisait avec ses
camarades de la
propagande pour le pays
qui avait envahi le
nôtre. Qui a été
versé par les Allemands
dans des listes
dotages. Et que
ceux-ci lont
fusillé, avec
dautres otages,
pour venger
lassassinat de
laspirant Moser, à
qui un communiste avait
tiré dans le dos
».
Après le départ des
occupants dans notre
région, comme
dailleurs partout
en France, va commencer
lépuration dite «
sauvage ». Le PCF va
prendre une place de
premier plan dans
lépuration, il est
important
déliminer les
élites et les notables
qui pourraient
sopposer à leur
prise du pouvoir.
Georges Marchais en son
temps avait dit que le
bilan du communisme
était globalement
positif. Voyons ce bilan
dun peu plus près
: la dictature
stalinienne a fait à
elle seule 20.000.000 de
morts. LAfrique, le
Cambodge, la Corée du
Nord, le Tibet :
120.000.000. Tel est le
bilan provisoire car le
communisme continue de
tuer. « Le communisme
tuait avant que le
nazisme tue, il tuait
pendant que le nazisme
tuait, il continue de
tuer pendant que le
nazisme ne tue plus »
disait Soljenitsyne. Mais
pour tous ces morts pas
de devoir de mémoire, on
na même pas prévu
des listes
dattente.
Raymond ARDISSON
(1) Equivalent en
Allemagne de notre ligne
défensive Maginot
(2) Police politique de
lURSS, responsable
daprès le
général du KGB
Alexandre Karbanov de la
mort de 3.000.000 de
Soviétiques durant les
purges staliniennes
(3) Les cheminots
communistes de la
Résistance dite «
résistance fer » ont
multiplié avec succès
le sabotage des trains
allemands, trains de
munitions, de soldats.
Rien à dire, cest
la guerre contre un
occupant. Souvent ces
trains transportent aussi
des femmes, auxiliaires
féminines ou familles
allemandes avec enfants,
venant voir un parent ou
retournant en Allemagne.
Désolant mais
acceptable, cest la
guerre toujours, et ils
navaient quà
rester chez eux. Hors,
considéré comme non
prioritaire, il ny
a jamais eu même la plus
petite tentative de
sabotage des trains
transportant des Juifs à
Auschwitz ou dans
dautres camps. Les
centaines de trains de
déportés sont toujours
arrivés à bon port,
enfin si on peut dire.
Vouloir intenter un
procès à la SNCF, comme
certains de leurs
descendants ont voulu
entamer, nest pas
envisageable, les
conventions
dArmistice
stipulant que, dans la
mesure des besoins, les
moyens de transports
français devaient être
mis à la disposition des
autorités allemandes ;
mais les cheminots, les
gardes-voies, les
services techniques de la
SNCF à qui les Allemands
avaient demandé
laménagement des
wagons à bestiaux, dans
le but de les sécuriser
pour éviter les fuites,
savaient très bien ce
qui allait être
transporté. On pourrait
ajouter dailleurs
que jamais
laviation alliée
na fait la moindre
attaque contre ces
trains, la moindre bombe
sur ces camps quils
connaissaient
parfaitement. Lors
dun déclassement
darchives du
Ministère de la Défense
des Etats-Unis en 1978
des clichés pris au
téléobjectif par
laviation
américaine ont été
publiés. Des vues
dAuschwitz
dune grande
précision, on voit même
les déportés alignés,
mais ces photos
navaient pas pour
but le repère de ces
camps, mais obtenir des
renseignements sur les
usines voisines dans le
vaste complexe Auschwitz
- Birkenau. Beaucoup plus
prioritaire était le
bombardement au phosphore
de Dresde, ville de
réfugiés sans intérêt
stratégique qui a fait
350.000 morts, dont
80.000 enfants.
Jusquen 1967 la
mention « juif » est
portée sur le passeport,
équivalent à notre
carte didentité
mais servant à
contrôler les
déplacements des
Soviétiques dans le
pays.
Sources : « Histoire
Intérieure du Parti
communiste », Philippe
Robrieux (Fayard)
« La négociation
secrète », Jean-Pierre
Besse ( Latelier)
« Comment les
démocraties finissent
», Jean-François Revel
(Grasset) « Petit rappel
à lusage des
amnésiques : la drôle
de guerre du parti
communiste », Didier
Lecerf (Synthèse
nationale été 2007)
« La vie des Français
sous lOccupation
», Henri Amouroux
(Laffont) « PCF : un
tragique soutien à
lURSS », Jean-Paul
Pierot, LHumanité,
28.10.1996
|
LES
PAGES "INFO" vous
proposent les meilleurs
sites de leurs
catégories ! |
|
|
|