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Offre n° 1
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DEPARTEMENT
D'OUTRE-MER
SOMMAIRE
- De
notre correspondant en
Guadeloupe, François
de la Salette
LA FRANCE
ABANDONNE-T-ELLE SES DOM
? - 24 mai
2009
..."Beaucoup de
personnes se sont
légitimement émues de
ce qui sest
déroulé lors de
lAssemblée des
Elus à Basse Terre le 10
mai 2009.
Lintrusion musclée
de quelques dizaine
dexcités du LKP
dirigé par Elie Domota
et les sbires de
lUGTG (syndicat
guadeloupéen) dans
lenceinte
dune assemblée
délus avec pour
but den interdire
le bon fonctionnement
ressemble à sy
méprendre à une
énième tentative de
mettre à mal les
institutions de la
République en Guadeloupe
au bénéfice de ce «
Syndicat » pervers et
dangereux.
Mais ce nest pas la
première fois, si
lon ne
sétend pas sur les
multiples exactions
inacceptables menées sur
les Guadeloupéens
pendant la prise
dotages de 44
jours, on ne peut pas
oublier la tentative de
prise de contrôle par la
force de la station de
RFO par les leaders de
lUGTG suivis par
quelques naïfs
décidément opaques à
la moindre réflexion.
Prendre de force une
station de télévision
rappelle bien les
comportements
extrémistes de quelques
« républiques
bananières ». Pourtant
personne ici ne peut
prétendre que RFO
nait pas été
systématiquement et
très scandaleusement
favorable au LKP. A tel
point que lon est
en droit de se demander
sil existe en
Guadeloupe des
journalistes
indépendants ! (en tout
cas pas à RFO, ni à
France Antilles, encore
moins à Canal 10
)
Le 10 mai le LKP, vexé
de son cuisant échec
(guère plus de 1000 à
2000 personnes dans les
rues) a voulu se lancer
dans un baroud de
déshonneur qui illustre
bien la médiocrité et
les méthodes réelles de
ses leaders.
Aujourdhui il faut
être réaliste. Le LKP
est fini. Malgré les
rodomontades des Domota
et autres, ce mouvement a
épuisé le panel de ses
interventions négatives
et est exsangue.
Il ne me semble pas que
la Guadeloupe soit
réellement le
département français le
plus à plaindre en ce
moment mais bon passons,
cela nest pas
grave.
Le problème qui fait que
je nai jamais pu
accepter la forme prise
par ce mouvement tient
précisément dans la
tournure que les leaders
du LKP lui ont donnée.
Au lieu de sen
tenir à un conflit
social intelligent, il a
fallu quassez
rapidement les meneurs
manipulateurs du LKP
plongent dans
léternel
galimatias pseudo
intellectuel qui ici est
un véritable frein à
toutes formes
dévolution de la
pensée et de la
société Antillaise.
Discours de « anti
nègres, ou de complots
à chiens » comme on dit
ici qui de façon
sempiternelles reprennent
à lenvie la
ritournelle de la
victimisation de la
population locale, le
ténébreux schéma de
lesclavage, le
routinier et mensonger
blabla de la
colonisation.
Plus fort queux, il
a fallu une nouvelle fois
que ces individus à la
pensée confuse
ressortent tout le
schéma passéiste dans
lequel beaucoup ici se
prennent les pieds sans
sapercevoir
quils se mettent
eux-mêmes dans une
situation inextricable
dont ils sont les
premières victimes.
Elie Domota tient des
discours vieux de 50 ans
dans lesquels très
naïvement il positionne
les populations
antillaises dans un
schéma réducteur qui
les infantilise et les
déresponsabilise en
permanence. De plus il
ruine léquilibre
intercommunautaire sur
des îles assez fragiles
de ce coté là. En outre
assez puérilement il
nest même pas
capable de respecter la
réalité ethnique des
diverses composantes
humaines des îles.
Son désir viscéral et
incontrôlé
dopposer sans cesse
Noirs et Blancs méprise
de façon édifiante
toutes les autres
populations locales.
Le discours social de
Domota nest pas
plus brillant.
Basé sur des mensonges
permanents et éculés,
il ne semble même pas
capable de réaliser que
son entêtement à
maintenir des ultimatums
sociaux irréfléchis est
directement à
lorigine dune
bonne partie des
problèmes de
lîle. Et ce
nest pas
daujourdhui !
Cela fait plus de 20 ans
que lUGTG na
dautre objectif que
de déstabiliser les
Antilles et den
ruiner léconomie.
Il serait bien difficile
de trouver dans la longue
série des grèves
initiées par
lUGTG, autre chose
que destructions sociales
et mise à sac des outils
de travail.
Le problème cest
quaujourdhui
la quasi disparition
dune « Gauche
politique »
représentative et
crédible met les
mouvements
dextrême gauche et
certains syndicats très
en avant.
Cela ne serait pas
catastrophique si ces
mouvements avaient
quelques projets positifs
à nous proposer.
Or malheureusement les
seules actions dont ils
sont capables sont, soit
le massacre généralisé
des outils de travail
soit comme on la vu
le 10 mai des tentatives
violentes de prise de
contrôle des assemblées
légales.
Domota ici est
certainement ce qui se
fait de pire en matière
desprit étroit et
obtus. Fin manipulateur
certes pour fomenter des
troubles, il na en
rien la stature dun
« politique » et ne
représente en réalité
quune infime frange
dirresponsables. Il
ne peut en aucun cas
prétendre parler au nom
de la population
Guadeloupéenne qui selon
toute évidence ne lui a
jamais donné quitus pour
le faire. Il ne peut donc
se baser que sur le
mensonge médiatique et
la manipulation
permanente.
Domota avec son
positionnement dépassé
maintient les îles dans
des attitudes négatives
totalement insupportables
dont personne ne sort
satisfait.
Lautonomie pour nos
iles serait une
catastrophe surtout
lorsque lon voit
entre les mains de quels
incapables le pouvoir
serait susceptible de
tomber.
Nous sommes isolés dans
larc Caraïbe, tout
en y étant les deux
îles les plus nanties et
favorisées. Par
égocentrisme et
nombrilisme nous
navons jamais été
capables de nous y
intégrer. Notre
attachement à la
métropole reste donc
notre seule et dernière
chance de survie !
Aujourdhui il faut
bien être totalement
irresponsable pour croire
aux fadaises de
lindépendance ou
même de lautonomie
! Notre état économique
pitoyable très dégradé
par des crises comme
celle du LKP nous permet
juste de tendre la main
envers la métropole pour
lui demander aide et
assistance et souhaitons
vivement quun
cyclone ( la saison
cyclonique commence
début Juin) ne vienne
pas nous mettre
définitivement à genoux
dans quelques semaines !
Malheureusement les
discours manipulateurs
dilluminés comme
Elie Domota maintiennent
certains Antillais dans
des rêves et des
postures presque
puérils.
Jen arrive à me
demander si le seul moyen
dobtenir ici une
catharsis des pensées ne
serait pas
denvisager un
référendum national sur
le sort de certains DOM.
On sait que la tenue
dun vote local
redonnera les mêmes
résultats quen
2003 et ne servira à
rien. Tout sera prêt
pour recommencer dans
quelques temps. Mais la
menace dun débat
national serait une tout
autre affaire et
remettrait certainement
très vite les pendules
à lheure.
Certains antillais se
comportent comme de
grands enfants immatures
et irresponsables, le
point levé derrière
Domota, ils ânonnent
bêtement leur chant« la
Gwadloup cé tan nou »(
la guadeloupe est à
nous). Les grands
enfants, cest bien
connu, méritent de temps
en temps une sévère
remontrance; le
référendum national
serait celle qui leur
conviendrait le mieux.
Il ne se fera pas car la
métropole na
toujours pas décidé de
conduire ici une
politique réaliste.
Paris fait toujours
semblant de ne pas
entendre certains
discours locaux,
racistes, haineux, même
anti-blancs et accepte
encore de serrer la main
à des Domota, Lollia ou
Nomertin (syndicalistes
leaders du mouvement
LKP).
Erreur fatale dont tout
le monde pâti gravement
ici. De temps en temps il
faut savoir traiter les
délinquants comme des
délinquants..."
SOURCE: domactu.com -
tatun.unblog.fr
Franck de la
Salette
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