LA SUISSE, PAYS DU
NON-DROIT ? - 24
janvier 2011
En
Suisse, on connaît
l'existence d'un réseau
criminel de délinquants
judiciaires qui peut
commettre ses crimes en
toute impunité sous le
couvert de
"l'Autorité",
mettant ainsi gravement
en danger la démocratie.
Ce réseau criminel de
délinquants judiciaires
agit en tandem avec un
réseau de criminels
politiques dont les
ramifications s'étendent
jusque dans les hautes
sphères du pouvoir
juridico-politique. Une
partie non négligeable
de ces délinquants
évolue parallèlement
dans des sociétés
secrètes
(franc-maçonnerie etc...
) et des Conseils
d'administrations. De ce
fait, ils sont
"intouchables".
Le but recherché par ces
individus est, bien sûr,
l'enrichissement
personnel (corruption) et
l'avancement social
(copinage, corporatisme).
Lorsqu'un de ces
délinquants est
démasqué par un
honnête citoyen, les
réseaux auxquels il
appartient entrent alors
immédiatement et
secrètement en action,
selon le principe de
l'araignée sur sa toile,
n'hésitant pas, si
besoin est, à bafouer la
Constitution suisse et
les lois en vigueur ou à
violer la Convention
Européenne des Droits de
l'Homme pour lui venir en
aide.
On a pu observer que dans
un premier temps, la
victime est d'abord
"cernée" par
différents
"services" dont
le premier souci est de
la dépouiller
financièrement pour la
décourager, en
l'obligeant à
entreprendre parfois de
coûteuses actions en
justice pour défendre
son intégrité morale.
Une fois piégée dans le
circuit diabolique de la
délinquance judiciaire,
la victime se retrouve
alors complètement
démunie puisque très
souvent, son avocat,
nommé d'office, est de
connivence, soit avec la
partie adverse, soit avec
le Tribunal ou les deux
à la fois, les
"arrangements"
internes ayant lieu en
dehors des prétoires.
Privée de son droit
d'être entendue, la
victime est alors souvent
condamnée sans preuves
"sur l'intime
conviction des
juges" pour qui,
nous a-t-on précisé,
"c'est un jeu".
Procès truqués,
disparition de preuves
embarrassantes, faux
témoins, menaces de mort
et de représailles hors
prétoire, le réseau
criminel des délinquants
juridico-politiques
connait toutes les
ficelles du terrorisme
judiciaire et politique
et n'hésite pas à s'en
servir pour fabriquer de
faux arrêts, de faux
témoignages et de faux
aveux, toujours sous le
couvert de
"l'Autorité".
Si une victime persiste
à clamer son innocence,
elle risque de subir des
persécutions en règle :
dommages à la
propriété, filatures,
écoutes téléphoniques,
saisies de ses avoirs -
avec la complicité des
banques ! - avalanches de
plaintes pénales,
instruites uniquement à
charge et qui aboutissent
toutes à de nouvelles
"condamnations-boules-de-neige",
(prison ferme ou avec
sursis, peines
pécuniaires, saisies,
harcèlement continu
etc..). Si la victime
refuse de baisser les
bras, qu'elle continue à
revendiquer ses droits
devenant, de ce fait
franchement
"embarrassante",
elle peut fort bien être
"suicidée". On
en connaît plusieurs
cas.
Le réseau criminel des
délinquants
juridico-politiques
bénéficie également de
la complicité d'une
presse qui agit sous sa
haute surveillance. Ce
qui permet aux
délinquants précités
de porter publiquement
atteinte, sans risques
pour eux, à l'honneur de
leurs victimes. En
revanche, tout
journaliste qui critique
publiquement le réseau
risque son poste, voire
une condamnation pour
calomnie qualifiée. La
liberté de la presse en
Suisse est donc toute
relative.
En apparence, la Suisse
ressemble, certes, à un
parangon de vertu, un
modèle de démocratie
où la liberté de la
presse et la liberté
d'expression sont
garanties par la
Constitution, un pays
exemplaire qui respecte
farouchement les Droits
de l'Homme et la
séparation des pouvoirs,
pierre angulaire d'un
Etat de Droit. La
réalité est
légèrement différente.
Nos prisons abritent des
détenus politiques
condamnés à plusieurs
années de prison ferme
pour avoir osé critiquer
le pouvoir en place, et
surtout, pour avoir osé
dénoncer, preuves à
l'appui et nommément,
les délinquants
juridico-politiques de
ces réseaux criminels,
leurs multiples abus de
droits et abus de pouvoir
et l'inqualifiable
pourriture qui transite
entre ces deux réseaux
criminels dont les
égouts sont des vases
communiquants.
(www.swissjustice.net/fr).
A notre connaissance,
plusieurs avocats ont
quitté spontanément le
Barreau pour se distancer
de ces réseaux et de
plus en plus de citoyens,
préoccupés par
l'effondrement de nos
valeurs morales dû à la
corruption, au copinage
et au corporatisme,
dénoncent cette
réalité des faits que
"l'Autorité"
persiste, avec conscience
et volonté,
à vouloir ignorer.
Les récents événements
de Tunisie font
réfléchir. Qui aurait
pensé, l'an dernier
peut-être, que le peuple
descendrait dans la rue
et chasserait du pouvoir
le dictateur Ben Ali ?
Qui aurait soupçonné
que, derrière cette
"Révolution du
jasmin", s'activait
une grande puissance
mondiale ?
La Suisse ferait bien de
méditer sur ces faits.
Car elle non plus, n'est
pas à l'abri de
"l'impensable",
surtout avec toutes les
"casseroles"
qu'elle traîne derrière
elle, en particulier
l'affaire libyenne. Les
citoyens suisses qui ont
encore une once de
civisme dans les veines
n'ont en effet aucune
intention de payer pour
une justice de guignols
ni de faire les frais
d'attaques terroristes.
Cedric
Morgenstern
Correspondant www.fil-info-france.com
-