LE CREDIT SUISSE COMPLICE
DE LA MAFIA JUDICIAIRE
SUISSE - 20 août
2010
Pour pouvoir, sous le
couvert des Tribunaux,
exercer ses activités
illégales dans notre
Etat de Droit qui est en
réalité un Etat
policier, le réseau
criminel des délinquants
judiciaires suisses a
besoin de la complicité
des banques et de celle
du réseau criminel des
délinquants politiques,
pudiquement désigné
parfois sous le terme de
"Etat".
Le Crédit Suisse n'a
rien à envier à l'Union
de Banque Suisse. Il
collabore lui aussi
volontiers avec les
réseaux
juridico-politique du
pays dans des opérations
tout à fait illégales,
couvertes par le vernis
d'une prétendue
"justice" dont
le peuple, soi-disant
Souverain, est le dindon
de la farce. Aujourd'hui,
le peuple, les citoyens,
en ont tout simplement
ras-le-bol de leurs
institutions pourries par
la corruption, le
copinage, le mensonge et
le corporatisme et ils le
font savoir un peu
partout sur la Toile.
On vient d'apprendre que
le 4 août 2010, le
Crédit Suisse a bloqué
les deux comptes d'une
citoyenne genevoise à la
retraite sur ordre de
l'Office des Poursuites
de Genève, suite à une
plainte du Service
Juridique et Législatif
de Lausanne. La
citoyenne, qui
bénéficie d'une double
nationalité, a
immédiatement protesté
auprès du Crédit Suisse
par courrier recommandé,
avec copie à Madame
Micheline Calmy-Rey,
Ministre des Affaires
Etrangères.
En effet, un de ses
comptes abrite toutes ses
économies (Frs. s.
16'000.-). L'autre
reçoit les
remboursements de son
assurance-maladie qui lui
permettent de payer ses
factures médicales, et
sa rente AVS (Assurance
Vieillesse et Survivants)
de Frs. 1'509.- avec
laquelle elle doit vivre.
Or, il est tout à fait
illégal de bloquer cette
rente mais la
"justice"
helvétique, on le sait,
se fout éperdument de la
loi. De mobilité
réduite, conduisant un
véhicule nanti d'une
vignette
"handicapé",
la citoyenne en question,
qui devait payer
urgemment une facture de
son garagiste, s'est
battue pendant 6 jours
pour finalement obtenir
la levée du blocage de
son compte. Mais
attention, pas celui de
ses économies dont on
lui a annoncé qu'il
allait être vidé. Pour
payer quoi ?
Les frais que la
"justice"
helvétique a mis à sa
charge il y a 4 ans, lors
du scandaleux
procès-bidon truqué
dirigé contre
l'Association
Appel-au-Peuple. Ces
frais s'élevant, selon
la "justice",
à Frs. s. 25'000.- pour
la citoyenne à elle
toute seule, avaient
été mis à la charge de
l'Etat par le Tribunal
correctionnel de Lausanne
présidé par le
"juge"
Pierre-Henri Winzap avec
ordre à l'Etat de les
réclamer à la
retraitée. Or, c'est
totalement illégal. La
justice peut
effectivement mettre à
la charge de l'Etat des
frais de justice mais
elle ne peut en aucun cas
exiger de l'Etat qu'il
les réclame ensuite à
la personne concernée.
Dans le cas présent, il
s'agit donc manifestement
d'une mesure de
représailles à l'égard
de la citoyenne qui
résiste, de la part d'un
de ces nombreux
"guignols dérangés
du bocal"
gesticulant dans la
panoplie du réseau
criminel des délinquants
judiciaires.
Privée du droit d'être
entendue - son dossier
est explosif -la
citoyenne a donc opté
pour la résistance car
elle refuse de financer
de la corruption dans son
pays. Elle estime en
effet que c'est le seul
moyen dont elle dispose
"lorsque l'autorité
viole systématiquement
et gravement les droits
de l'homme", ce qui
est le cas en Suisse.
On attend maintenant la
réaction, dans cette
affaire, de Madame
Micheline Calmy-Rey,
Ministre des Affaires
Etrangères. Mais après
avoir fait le voyage
jusqu'à Tripoli pour
présenter les excuses de
la Suisse au Colonel
Kadhafi et versé un
million et demi à
Hannibal pour des photos
parues dans la Tribune de
Genève, la Conseillère
fédérale aura-t-elle le
courage de prendre la
défense des victimes des
agissements illégaux et
scandaleux du réseau
criminel des délinquants
juridico-politiques en
Suisse ? On l'espère,
sans trop y croire. Les
structures suisses sont
aujourd'hui en pleine
décadence morale.
Cedric
Morgenstern
Correspondant www.fil-info-france.com
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