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Correspondance
suisse de Shirley
WINTERS.
16 septembre 2005
ENTRE VOISINS, ON PEUT
SENTRAIDER
14 septembre 2005, 6
heures du matin :
Daniel Conus,
citoyen suisse du Canton
de Fribourg dort encore
profondément
lorsquil est
réveillé en sursaut par
des coups frappés à sa
porte.
Cest la Police de
Sûreté. On vient pour
larrêter et le
conduire en prison.
En pyjama, Daniel Conus
prend connaissance du
mandat darrêt
signé de la main du juge
Stephane R., son «
bourreau » de longue
date. Lordre est
justifié par une
expertise psychiatrique
de Daniel Conus
denviron 30 pages,
signée par un
psychiatre, le Dr. Michel
Sch. Daniel Conus
écarquille les yeux,
stupéfait. Non seulement
il ne connaît pas ce
psychiatre mais en plus,
il ne la même
jamais rencontré ! Il
na cependant que le
temps de shabiller
avant dêtre
emmené par les
policiers. Pour Daniel
Conus, cest la
sixième fois que le juge
Stephane R. se livre à
ce type dexercice.
Au poste de police où il
est dabord emmené
avant dêtre
écroué, Daniel Conus
réussit à prévenir son
collègue Gerhard Ulrich,
fondateur et Président
dAPPEL AU PEUPLE,
lAssociation
non-violente qui dénonce
les dysfonctionnements de
la justice en Suisse et
dont Daniel Conus est
membre du Comité.
LAssociation APPEL
AU PEUPLE se mobilise
immédiatement.
Marc-Etienne Burdet,
membre de
lAssociation
dénonce
larrestation
illégale de Daniel Conus
en termes vigoureux
(www.googleswiss.com/conus)
et expédie des centaines
dE-mails, notamment
aux parlementaires et aux
députés. Gerhard Ulrich
alerte la presse bien
quen Suisse,
celle-ci soit muselée.
La cellule de crise
dAPPEL AU PEUPLE
décide des actions à
entreprendre.
Mais que reproche
exactement le juge
Stephane R. à Daniel
Conus pour le persécuter
comme sont persécutés
en Suisse tous les
membres ou sympathisants
dAPPEL AU PEUPLE ?
LAssociation a
limmense mérite
doser dénoncer
publiquement, preuves à
lappui et
nommément, toute
personne assermentée qui
manque à ses devoirs de
fonction. Elle organise
des audits pour les cas
les plus percutants,
distribue des tracts
jaunes et visite les
magistrats fautifs à
leur adresse privée sans
ne jamais commettre
néanmoins la moindre
violation de domicile.
Les manifestations sont
rigoureusement
pacifiques, parfois
silencieuses et se
déroulent exclusivement
sur la voie publique.
Mais elles déstabilisent
les magistrats coupables
au point quune
véritable névrose
sest installée
parmi eux. Tous les
systèmes de sécurité
ont été renforcés dans
les administrations
judiciaires du pays, ce
qui amuse beaucoup les
membres non-violents
dAPPEL AU PEUPLE
qui ont fait chacun le
serment personnel de
demeurer pacifiques. Dans
le cas de Daniel Conus,
cest un avocat,
cumulant les fonctions de
Président du Conseil des
Etats au moment des
faits, qui a fauté, en
détournant à son profit
personnel les pensions
alimentaires versées par
Daniel Conus à son
épouse Bernadette.
Lescroquerie porte
sur un montant de Frs.s.
50.000.-.
Avec raison, Daniel Conus
a donc dénoncé ces
détournements
malhonnêtes, de même
quAPPEL AU PEUPLE,
ce qui a donné lieu à
des plaintes pénales. A
six reprises, Daniel
Conus a été emprisonné
sans jugement, privé
davocat et de
défense et interdit de
répondre aux
interrogatoires autrement
que par oui ou par non.
On croit rêver ! La
première fois quil
a été emprisonné,
Daniel Conus est ressorti
grâce à une caution de
Frs. 10.000.- payée par
sa famille qui voulait le
récupérer. Il est
ensuite chaque fois
ressorti de prison grâce
à des actions musclées
dAPPEL AU PEUPLE ou
à des recours
interminables par
lesquels il a prouvé que
les agissements du juge
Stephane R. violaient
tout simplement la
Convention Européenne
des Droits de
lHomme et la
Constitution helvétique.
Nommé « juge spécial
» pour toutes les
plaintes relatives à
APPEL A PEUPLE dans le
canton de Fribourg, le
juge R. a alors imaginé
de faire passer Daniel
Conus pour un malade
mental en vue
vraisemblablement, de
linterner en milieu
psychiatrique, ce qui
nécessitait, dès lors,
la complicité dun
médecin-psychiatre peu
scrupuleux. Convoqué,
Daniel Conus a refusé de
se présenter à une
telle consultation et
la fait savoir au
juge R.
Lexpertise a donc
eu lieu sans
lintéressé.
Pratiquée par le Dr.
Michel Sch. , elle a
servi de support au
mandat darrêt du
juge Stephane R. pour
incarcérer Daniel Conus.
Aux dernières nouvelles,
on apprend que le cabinet
médical du psychiatre
Michel Sch. et
lEtude du juge
Stephane R. sont tous les
deux situés à la même
adresse !
Entre voisins, on peut
bien sentraider...
Labus de la
psychiatrie en Suisse
préoccupe sérieusement
lAssociation APPEL
AU PEUPLE qui voit là un
moyen de répression pour
museler les victimes
embarrassantes qui
dénoncent un
dysfonctionnement
général de
lappareil
judiciaire suisse que,
malheureusement, il
nest désormais
plus possible de nier.
Shelley WINTERS
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