|
|
Offre
n° 2
Pour découvrir un autre pays
africain, cliquez sur la carte !
- Cliquez
ici pour voir
la carte générale de la Guinée
GUINEE
-
- Nom officiel
- République
de Guinée
- Administration
- La
Guinée est divisée en 33 préfectures and 1 zone
spéciale* : Beyla, Boffa, Boke, Conakry*, Coyah,
Dabola, Dalaba, Dinguiraye, Dubreka, Faranah,
Forecariah, Fria, Gaoual, Gueckedou, Kankan,
Kerouane, Kindia, Kissidougou, Koubia, Koundara,
Kouroussa, Labe, Lelouma, Lola, Macenta, Mali,
Mamou, Mandiana, Nzerekore, Pita, Siguiri,
Telimele, Tougue, Yomou.
- Capitale
- Conakry
- Chronologie
politique
- 1895-1911
: Naissance de la Guinée dans ses
frontières géographiques actuelles, tracées
par les puissances coloniales.
1891 : La Guinée est proclamée
colonie française, indépendamment du Sénégal,
auquel elle était précédemment rattachée.
1906 : La Guinée devient une
partie intégrante de l'Afrique-Occidentale
française (A.O.F.), administrée par un
gouvernorat général.
Septembre 1958 : La Guinée
devient indépendante à la suite d'un non à un
référendum organisé par le Général de
Gaulle, seul pays d'Afrique francophone à
rejeter ce référendum.
15 janvier 1959 : Sékou
Touré devient Président de la République
Populaire et Révolutionnaire de Guinée.
1961 : La Guinée adhère, avec
le Mali et le Ghana, à l'Union des Etats
africains, une fédération qui ne vit que 2 ans.
Cible de plusieurs tentatives d'assassinat,
Sékou Touré accuse la France de comploter pour
renverser son régime.
Novembre 1965 : La Guinée rompt ses relations
diplomatiques avec la France.
1982 : Une nouvelle Constitution,
renforçant les prérogatives du PDG au pouvoir,
est proclamée.
26 mars 1984 : Mort de
Sékou Touré après 26 ans de pouvoir.
3 avril 1984 : Coup d'Etat
militaire qui porte au pouvoir le colonel Lansana
Conté, qui prend la tête du Comité
révolutionnaire de redressement national (CMRN)
et devint président de la République. Il
amnistie les prisonniers politiques, s'attache à
démanteler le système socialiste, réduit le
pouvoir de l'armée et se rapproche de la France
et de ses voisins.
1985 : Le gouvernement de Lansana
Conté échappe à une tentative de coup d'Etat.
6 janvier 1986 : Changement
de monnaie. Le franc guinéen remplace le syli,
introduit en 1972, et vaut 15 fois moins.
23 décembre 1990 : Référendum
visant à l'adoption de la loi fondamentale. Le
oui remporte avec 98,7 % des voix.
12 décembre 1991 :
L'organisation de défense des droits de l'homme,
Amnesty International, dénonce la torture en
Guinée.
23 décembre 1991 : Promulgation
de la Constitution. Elle écarte les militaires
du pouvoir, autorise les partis politiques et la
liberté d'expression.
3 avril 1992 : Entrée en
vigueur de la loi organique qui réglemente le
formation des partis politiques.
19 décembre 1993 : Lansana
Conté remporte l'élection présidentielle.
Juin 1995 : Les
élections législatives, contestées par
l'opposition, confirment l'hégémonie du parti
présidentiel, Parti de l'Unité et du Progrès
(PUP). Les observateurs internationaux dénoncent
de nombreuses fraudes.
2 février 1996 : Les
militaires manifestent dans les rues de la
capitale, Conakry, pour demander le paiement de
leur solde.
14 décembre 1998 : Lansana
Conté est réélu président dès le premier
tour.
15 décembre 1998 : Le rival de
Lansana Conté à l'élection présidentielle,
Alpha Condé, du parti du Rassemblement du peuple
de Guinée, est arrêté.
18 mai 2001 : Alpha
Condé est condamné à 5 ans de prison.
18 mai 2001 : Alpha
Condé est libéré de prison.
11 novembre 2001 : Le
président Lansana Conté organise un
référendum visant à modifier la constitution
qui va lui permettre de briguer un troisième
mandat en 2003. L'opposition conteste les
résultats.
1er janvier 2002 : La Guinée
devient pour 2 ans membre du Conseil de
sécurité de l'ONU.
Samedi 9 mars 2002 : Selon un
rapport du HCR, les conditions de vie dans les
camps de réfugiés sierra-léonais obligent les
jeunes filles à se prostituer pour assurer leur
subsistance et celle de leur famille. (Source
Fil-info-France)
Lundi 1er juillet 2002 : Des
élections législatives ont eu lieu dimanche 30
juin 2002. L'opposition a appelé au boycott des
élections. Le parti au pouvoir, Parti de
l'Unité et du Progrès (PUP), du président
Lansana Conté, au pouvoir depuis 18 ans, est
assuré de la victoire. (Source
Fil-info-France)
Vendredi 14 février 2003 : La police a
évacué les étudiants en grève sur le campus
de l'université de Kankan, la deuxième ville du
pays et a procédé à de nombreuses arrestations
après l'incendie de plusieurs bâtiments de
l'université. Les étudiants manifestaient pour
demander la réintégration de plusieurs jeunes
radiés de l'université après une première
grève. (Source Fil-info-France)
Vendredi 7 mars 2003 : Une
manifestation de jeunes gens organisée mercredi
à Conakry et visant à demander de l'eau et de
l'électricité a été dispersée par la police
à coups de gaz lacrymogènes. Conakry souffre
depuis trois mois de coupures intempestives d'eau
et d'électricité. Cette manifestation
intervient après la mort de 9 personnes d'une même
famille carbonisées dans l'incendie de leur
maison provoqué par une bougie. Le président
Lansana Conté a demandé aux responsables du
secteur énergétique d'assurer la fourniture
régulière d'électricité. Notons que la
plupart des groupes électrogènes qui alimentent
la centrale thermique de Conakry sont en panne.
Même réparés ils ne peuvent pas tourner à
plein régime car ils consomment trop de
carburants.(Source Fil-info-France)
Mardi 11 mars 2003 : Le ministre
des affaires étrangères, François Fall, qui
rencontrait lundi à Washington le secrétaire
d'état américain Colin Powell, a déclaré
qu'il privilégiait une "issue
pacifique" à la crise en Irak. Rappelons
que la Guinée assure la présidence du Conseil
de Sécurité de l'ONU pour le mois de mars. (Source
Fil-info-France)
Jeudi 20 novembre 2003 : Lors d'une
conférence de presse mardi à Conakry, le
président de la coalition d'opposition, (Front
Républicain pour le Changement Démocratique,
FRAD) et chef de l'Union des Forces Démocratiques de
Guinée (UFDG), Ba Mamadou, a accusé le
ministre de la Sécurité, Aboubacar Sampil,
"de vouloir écraser l'opposition". Il
a appelé le président Lansana Conté à
reporter les élections présidentielles du 21
décembre prochain arguant que "les
procédures électorales adoptées n'étaient pas
normales". Rappelons que la Cour Suprême
n'a autorisé qu'un seul candidat de l'opposition
à se présenter contre le président sortant,
Lansana Conté. (Source Fil-info-France)
Vendredi 4 avril 2003 : Célébration
du 19ème anniversaire de l'arrivée au pouvoir
du président Lansana Conté, qui malade depuis
décembre, vit retiré dans son village natal
d'où il gère le pays. (Source
Fil-info-France)
Lundi 21 avril 2003 : La Guinée
a signé un accord d'annulation de sa dette avec
l'Italie qui devrait permettre la mise en place
de programmes d'éducation, de santé et de
promotion des petites entreprises. (Source
Fil-info-France)
21 décembre 2003 : Lansana
Conté est réélu pour un troisième mandat avec
95 % des voix. Le scrutin est boycotté par
l'opposition. (Source Fil-info-France)
Samedi 7 juin 2003 : Depuis 5
mois, la capitale Konakry est confrontée à une
pénurie d'eau sans précédent. Les barrages et
les centrales hydroélectriques sont à sec. Pour
subvenir à leurs besoins les populations locales
sont obligées d'acheter de l'eau à des vendeurs
d'eau occasionnels. Marché lucratif pour les
vendeurs mais onéreux pour les populations qui
dénoncent par ailleurs que certains quartiers ne
soient pas affectés par la pénurie. De fortes
pluies sont attendues pour le mois de juillet. (Source
Fil-info-France)
Lundi 9 juin 2003 : Plusieurs
centaines de partisans du Rassemblement du Peuple
de Guinée, venus accueillir leur leader, Alpha
Kondé à l'aéroport de Conakry, absent depuis
plusieurs semaines, ont été dispersés par la
police à coups de gaz lacrymogènes. (Source
Fil-info-France)
Lundi 10 novembre 2003 : L'Assemblée
Nationale a adopté une loi amnistiant tous les
condamnés politiques à la veille de la clôture
du dépôt des candidatures pour les
présidentielles du 21 décembre que l'opposition
a décidé de boycotter. (Source
Fil-info-France)
Samedi 20 décembre 2003 : Les
élections présidentielles doivent se tenir
dimanche où le président sortant Lansana Conté
(69 ans) est assuré de la victoire après
l'annonce du boycott du scrutin par l'opposition.
Selon Sidya Touré, président de l'Union des
Forces Républicaines (UFR, opposition) et
ex-premier ministre, ce scrutin sera "un
semblant d'élection." (Source
Fil-info-France)
Vendredi 26 décembre 2003 : Le ministre
de l'Administration du territoire et de la
Décentralisation, Moussa Solano, a annoncé que
le président sortant Lansana Conté a été
réélu au premier tour lors de l'élection
présidentielle du 21 décembre avec 95,63 % des
voix. La Cour suprême doit maintenant valider
les résultats. (Source Fil-info-France)
Mercredi 7 avril 2004 : L'Union des
Forces Démocratiques de Guinée (UFDG,
opposition) a dénoncé mardi "des
violations graves des droits de l'homme et des
dérives totalitaires intolérables". Selon
l'UFDG des militaires sont détenus depuis plus 4
mois dans "les prisons politiques du
régime". (Source Fil-info-France)
Lundi 12 avril 2004 : 2 membres
de l'opposition, qui s'apprêtaient à prendre
l'avion pour Dakar au Sénégal pour une visite
privée, ont été interdits de quitter le
territoire par la police qui les accuse de
"tentative de destabilisation du
pouvoir". (Source Fil-info-France)
Mercredi 28 avril 2004 : Le
président de l'Union des
forces républicaines (UFR,
opposition), et ancien Premier ministre, Sidya
Touré, mis lundi soir en garde à vue, a été
libéré mardi en début de soirée à Conakry et
placé sous contrôle judiciaire qui lui interdit
notamment interdit de quitter le territoire et de
participer à des réunions et autres
manifestations politiques. Il a été inculpé
pour "attentat et complot contre l'autorité
de l'Etat". (Source Fil-info-France)
Samedi 1er mai 2004 : Le Premier
ministre François Loucéni Fall a présenté sa
démission dans une lettre datant du 24 avril
2004 adressée au président Lansana Conté (chef
du gouvernement militaire depuis le 5 Avril 1984
et président depuis le 19 décembre 1993).
François Loucéni Fall avait été nommé en
février 2004 en remplacement de Lamine Sidimé,
démis de ses fonctions. Il a justifié sa
démission par l'impossibilité pour lui
d'engager les réformes annoncées par le
gouvernement. C'est le 4ème premier ministre du
président Conté qui donne sa démission. (Source
Fil-info-France)
Vendredi 27 août 2004 : Un
mouvement d'opposition jusque là clandestin,
"Mouvement des jeunes partisans du
changement" a appelé à une grande
manifestation vendredi dans la capitale, Conakry,
pour demander le départ du président Lansana
Conté, au pouvoir depuis 1984. Ce 27 août est
une date symbolique car en 1977, une
manifestation de femmes sous le régime de Sékou Touré avait
été violemment réprimée par les forces de
sécurité. (Source Fil-info-France)
Lundi 20 septembre 2004 : Les forces
de l'ordre sont intervenues pour ouvrir le campus
de l'Institut agronomique Valérie Giscard
d'Estaing (du nom de l'ancien Président de la
République française de 1974 à 1981) de
Faranah (400 km à l'est de Conakry) bloqué par
les étudiants en grève depuis le 10 septembre
2004, et fermé vendredi par les autorités de la
région de Faranah. Les étudiants réclament une
amélioration de leurs conditions de vie et une
augmentation de leur bourse. ** L'OGDH
(Organisation guinéenne de défense des droits
de l'homme) a dénoncé le durcissement des
conditions de détention de 10 prisonniers
politiques emprisonnés dans une prison de
Conakry et accusés de tentative de coup d'Etat.
Les visites et les communication avec leur
famille leur ont été supprimées. (Source
Fil-info-France)
Mercredi 22 septembre 2004 : Plus d'une
centaine d'étudiants en grève à l'Institut
agronomique Valérie Giscard d'Estaing (du nom de
l'ancien Président de la République française
de 1974 à 1981) de Faranah (400 km à l'est de
Conakry) ont été arrêtés vendredi et samedi
et placés en détention dans un camp militaire
de la ville. Les étudiants sont en grève
illimitée depuis le 10 septembre 2004 pour
exiger l'amélioration de leurs conditions de vie
sur le campus.
- (Source
Fil-info-France)
Samedi 30 octobre 2004 : Une
société canadienne, Global Alumina Production
Corporation (GAPCO), soutenue par les
conglomérats industriels japonais Marubeni et
Mitsubishi, a signé un contrat ferme avec le
gouvernement guinéen portant sur la construction
dune raffinerie dalumine dune
valeur de 2 milliards de dollars américains USD
dans la ville minière de Sangarédi, au
nord-ouest de la Guinée qui prévoit la
construction dune raffinerie ayant une
capacité de produire annuellement de 2,8
millions de tonnes dalumine destinées à
lexportation. La Guinée est lun des
plus grands pays producteurs de bauxite au monde,
un minerai qui, une fois épuré, est transformé
en alumine, une fine poudre métallique blanche
qui est fondue pour devenir de laluminium.
GAPCO a prévu dinvestir 600 millions de
dollars USD en fonds propres dans le projet de la
raffinerie. Elle est dirigée par un Américain,
Bruce Wrobel, un industriel et investisseur de
capitaux à risque qui a fait fortune dans la
construction et lexploitation de centrales
électriques aux Etats-Unis et dans dautres
pays du monde. Il a obtenu du gouvernement
américain 507 000 dollars en 2002 pour réaliser
une étude de faisabilité sur lusine
dalumine à Sangarédi. Selon GAPCO, la
Guinée fournit actuellement près de la moitié
de la quantité de bauxite importée par les
Etats-Unis et le Canada. (Source
Fil-info-France)
Jeudi 20 janvier 2005 : Selon des
diplomates et des témoins à Conakry, la
capitale, une tentative de coup d'Etat aurait
été perpétrée mercredi contre le chef de
l'Etat, Lansane Conte, qui s'est emparé du
pouvoir en 1984 également à la faveur d'un coup
d'Etat. Il a été réélu pour un troisième
mandat en 2003. L'armée aurait déployé son
dispositif de sécurité autour du palais
présidentiel. (Source Fil-info-France)
Lundi 19 décembre 2005 : Plus de 5
millions d'électeurs étaient appelés aux urnes
dimanche pour élire plus de 4 000 conseillers
communaux et communautaires. L'opposition n'avait
pas appelé au boycott du scrutin contrairement
à l'élection présidentielle de 2003. (Source
Fil-info-France)
Jeudi 29 décembre 2005 : La
commission électorale a publié mercredi les
résultats officiels des élections communales et
communautaires qui se sont tenues le 18 décembre
2005. Le Parti de l'unité et du progrès (PUP,
au pouvoir), a remporté le scrutin. (Source
Fil-info-France)
Vendredi 6 janvier 2006 : L'Union pour le progrès et le
renouveau (UPR), principal parti
d'opposition, a annoncé mercredi 4 janvier 2006
à Conakry la capitale qu'il se retirait de
l'Assemblée Nationale et de la Commission
électorale nationale autonome (CENA) "pour
marquer notre indignation face à ce qui est
désormais qualifié de farce électorale du 18
décembre" 2005, selon les déclarations du
secrétaire administratif de l'UPR, Yaya Keïta.
Il a accusé le Parti de l'unité et du progrès
(PUP, parti au pouvoir) "d'avoir agi de
manière déloyale, d'utilisé les menaces et
l'intimidations, manoeuvré pour rendre des
bureaux de vote inaccessibles à leurs militants,
ou encore centralisé et proclamé les résultats
en dehors de tout contrôle", entre autres
"manipulations possibles et
imaginables" concluant : "Nous
dénonçons avec la dernière énergie et
élevons une vive protestation contre cette
manière de violer la conscience des
Guinéens". (Source Fil-info-France)
Vendredi 24 mars 2006 : La radio
nationale a diffusé jeudi 23 mars 2006 un
communiqué officiel indiquant que le président Lansana
Conté, 72 ans, au pouvoir depuis 1984,
hospitalisé depuis une semaine en Suisse, sera
de retour vendredi à Conakry. Une quinzaine de
partis politiques d'opposition associés à des
membres de la société civile avaient lancé un
appel pour la formation d'un gouvernement de
transition en raison des incertitudes politiques
liées à l'état de santé du président. (Source
Fil-info-France)
Vendredi 7 avril 2006 : Le
président Lansana
Conté a limogé, mercredi 5 avril 2006,
son premier ministre Cellou Dalein Diallo, entré en
fonctions en décembre 2004, pour "faute
lourde" quelques heures seulement après
avoir signé un décret lui
confiant des pouvoirs étendus. (Source
Fil-info-France)
Samedi 17 juin 2006 : Un accord a
été signé vendredi 16 juin 2006 entre des
représentants du patronat, de l'intercentrale
syndicale Confédération Nationale des
Travailleurs Guinéens (CNTG) et Union Syndicale
des Travailleurs Guinéens (USTG) et le
gouvernement des augmentations salariales, des
mesures sur les départs en retraite des
fonctionnaires et des discussions sur le prix du
carburant à la pompe "en fonction du prix
du marché". Cet accord intervient après un
mouvement de grève illimité lancé le 8 juin
2006 par l'intercentrale syndicale
Confédération Nationale des Travailleurs
Guinéens (CNTG) pour réclamer des augmentations
salariales immédiates, une révision à la
baisse du prix du pétrole à la pompe et une
diminution du prix du sac de riz, qui avait
paralysé tout le pays, les commerces, les
banques, les administrations et les
établissements scolaires restant fermés. Cette
grève avait conduit le gouvernement à annuler
sine die les dates du baccalauréat provoquant la
colère des collégiens et lycéens qui ont
lancé des manifestations. La police avait
réprimé à Conakry la capitale par la force ces
actions. 18 personnes avaient été tuées et
plus de 80 blessées. (Source
Fil-info-France)
Mercredi 6 septembre 2006 : Le Haut
Commissariat des Nations Unies pour les
réfugiés (HCR) a procédé lundi 4
septembre 2006 au 61e et dernier convoi de
rapatriement volontaire de 297 réfugiés
libériens depuis les camps de Kountaya et
Télikoro en Guinée. Ces 2 camps fermeront plus
tard dans le mois après que les 2 000 réfugiés
restants, qui n'ont pas souhaité rentrer, seront
relogés dans d'autres camps. Depuis le début du
programme de rapatriement volontaire en novembre
2004, plus de 38 000 réfugiés libériens sont
retournés dans leur pays avec l'aide du HCR. Il
reste encore plus de 33 000 réfugiés libériens
en Guinée. (Source Fil-info-France)
Samedi 30 septembre 2006 : Le Haut
Commissariat des Nations Unies pour les
réfugiés (HCR) a annoncé vendredi 29
septembre 2006 la fermeture de son bureau de
Kissidougou, après 8 ans de présence dans la
ville de Guékédou, près des frontières avec
la Sierra Leone et le Libéria, en raison du
succès de son opération de rapatriement de
près de 16 000 réfugiés libériens sur les 18
000 présents sur place qui sont rentrés chez
eux entre mars 2005 et septembre 2006. Les 2 000
réfugiés libériens restants, qui ne pouvaient
rentrer ou qui ne le voulaient pas, ont été
transférés ce mois ci à Kouankan, près de la
ville de Nzérékoré dans le sud-est de Guinée.
Depuis octobre 2004, plus de 90 000 Libériens
ont été rapatriés. (Source
Fil-info-France)
Mardi 26 décembre 2006 : Le
président, le général Lansana
Conté, a procédé vendredi 22 décembre
2006 à un remaniement ministériel au sein de
son gouvernement formé le 29 mai 2006 où 4
nouveaux ministres font leur entrée dans la
nouvelle équipe de 28 membres dirigée par le
ministre d'Etat aux Affaires présidentielles et
coordonnateur des activités gouvernementales,
Fodé Bangoura.(Source Fil-info-France)
- Chaud
et humide. Saison des pluies : juin à novembre.
Saison sèche : décembre à mai.
- Code ISO
- GN
- Devise nationale
- Travail,
Justice, Solidarité.
- Drapeau
- Economie
- Bauxite,
diamants, or, uranium. Pêche. Riz, cacao, palme.
- Fête nationale
- 2
octobre (1958, indépendance).
- Langue officielle
- Français
- Liens
- Biographie
de Lansana Conté, président de la République
de Guinée
Biographie
de Sekou Touré, premier président de Guinée
Hymne de la République de Guinée
La symbolique du drapeau de la
République de Guinée
Quelle heure est-il en Guinée ?
- Site
officiel du gouvernement de la République de
Guinée
- La présidence de la République de
Guinée
http://www.mirinet.com/AirGuinee/
Compagnie nationale de transport aérien, Air
Guinée
- Les Pages Jaunes de la Guinée
- http://membres.lycos.fr/lymam/
* La ville de Dinguiray : histoire,
géo, plan
- Les percussions de Guinée
- http://www.guinee.net/ Site
entièrement consacré à la Guinée : histoire,
géo, politique, tourisme, société, musique,
littérature, etc.
- http://www.accpuf.org/gui/idx_10.htm Histoire
et perspectives de la justice constitutionnelle
- Les Amazones : Percussions de
Guinée (Amazon Woman Master
Drummers of Guinea)
- Les Ballets Africains : Compagnie
Nationale de Danse de la République de Guinée
- Médias
- L'actualité guinéenne
- Guineatime
GuineeNews : Les
dernières nouvelles de Guinée
- Lynx, l'hebdo satirique de
Guinée
- La Lance, l'hebdo qui perce le coeur
de l'événement
- L'Observateur,
hebdomadaire d'infos générales de la Guinée
Radio Sans Frontière
- Offre
n° 3
Monnaie
- Franc
guinéen.
- Partis politiques
- PDG-ASP
: Parti Démocratique de Guinée
- UNP :
Union Nationale pour le Progrès
- PUP :
Parti pour l'Unité et le Progrès (parti au
pouvoir)
- PRP :
Parti du Renouveau et du Progrès
- http://www.rpg-asso.org/ RPG :
Rassemblement du Peuple de Guinée
- http://www.ufrguinee.org/ UFR :
Union des Forces Républicaines
- UPG :
Union pour le Progrès en Guinée
- UNR :
Union pour la Nouvelle République
- Population
- Guinéens.
- 7,6
millions d'habitants.
- Peuhl (40%), Malinke(
30%), Soussou (20%), autres (10%).
- Principales
villes
- Conakry, Labè,
Siguiri, Kindia, Boké, Kankan.
- Offre
n° 4
Religion
- Musulmans
(85 %), Chrétiens (8 %), Croyances indigènes (7
%).
- Situation
géographique
- Pays
d'Afrique de l'Ouest bordé par l'Océan
Atlantique. Frontières avec la Guinée-Bissau,
le Sénégal, le Mali, la Côte d'Ivoire, le
Libéria et la Sierra Leone.
- Statut
- République
de Guinée. Président : Alpha Condé (depuis le
21 décembre 2010). Premier ministre : Mohamed
Said Fofana (depuis le 24 décembre 2010).
- Superficie
- 245
860 km2
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.
- (Voir
également l'espace webcam)
A lire :
Guinée, de Sékou Touré à Lansana
Conté de Maligui Soumah
Sékou Touré : Un totalitarisme
africain de Maurice Jeanjean
Sékou Touré, l'ange exterminateur
: Un passé à dépasser de Charles
E. Sorry
Dix ans dans les geôles de Sékou
Touré : Ou la vérité du ministre d'Alpha-Abdoulaye Diallo
L'auteur : Né à Conakry en
1935, Alpha-Abdoulaye Diallo a fait ses études
supérieures à Paris. Toute sa carrière s'est
déroulée au service de l'Etat guinéen, de 1959
à son arrestation en 1971. Il a été notamment
secrétaire d'Etat aux affaires étrangères,
chef de la délégation guinéenne à l'O. NU. et
secrétaire d'Etat à la Jeunesse, aux Sports et
à la Culture populaire. Libéré au bout de dix
ans d'incarcération, avant la disparition de
Sékou Touré, il se sentira menacé de nouveau
et choisira l'exil.
-
Offre n° 5
|