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- REPUBLIQUE
- CENTRAFRICAINE
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- Nom officiel
- République
Centrafricaine
- Administration
- La
République Centrafricaine est divisée en 14
préfectures, 2 préfectures* économiques, et 1
commune** : Bamingui-Bangoran, Bangui**,
Basse-Kotto, Gribingui*, Haute-Kotto,
Haute-Sangha, Haut-Mbomou, Kemo-Gribingui,
Lobaye, Mbomou, Nana-Mambere, Ombella-Mpoko,
Ouaka, Ouham, Ouham-Pende, Sangha*, Vakaga.
- Capitale
- Bangui
- Chronologie
politique
1905 : L'Oubangui-Chari,
découvert en 1885, devient une colonie
française.
Septembre 1949 : Barthélemy Boganda fonde
le Mouvement pour l'évolution sociale de
l'Afrique noire (MESAN).
1er décembre 1958 : Proclamation de la
République centrafricaine. Barthélémy Boganda
est président.
16 février 1959 : Mort de Barthélémy
Boganda dans un accident davion dans des
circonstances troublantes. Abel Goumba assure
lintérim.
13 août 1960 : Proclamation de
l'Indépendance de la République centrafricaine.
14 août 1960 : David Dacko est élu à la
présidence de la République, qui instaure un
régime de parti unique.
20 septembre 1960 : La République
centrafricaine est admise au sein de lONU.
5 janvier 1964 : David Dacko, candidat
unique, est réélu président avec 99,99 % des
voix.
8 décembre 1964 : Création à Brazzaville de
lUnion douanière des Etats de
lAfrique centrale (UDEAC) réunissant le
Cameroun, le Congo, le Gabon, la République
centrafricaine et le Tchad, et dont le siège est
à Bangui.
1er janvier 1966 : Coup dEtat militaire.
Le colonel Jean-Bedel Bokassa prend le pouvoir.
La Constitution de 1959 est abrogée. Un parti
unique, le MESAN.
4 janvier 1966 : Abrogation de la
Constitution.
2 avril 1968 : Création de lUnion
des Etats dAfrique centrale (UEAC) :
Congo-Kinshasa, Tchad et République
centrafricaine.
11 avril 1969 : Tentative de coup
dEtat du lieutenant-colonel Alexandre
Banza.
30 août 1970 : Réforme agraire.
2 mars 1972 : Jean-Bedel Bokassa est fait
président à vie.
19 mai 1974 : Jean-Bedel Bokassa est
promu maréchal.
Décembre 1974 : Tentative de coup
dEtat du général Lingoupou.
3 février 1976 : Le maréchal Bokassa
échappe à un attentat.
1976 : Le maréchal Bokassa dissout le
gouvernement et crée le Conseil de la
révolution centrafricaine (CRC).
5 septembre 1976 : David Dacko, ancien
président, devient le conseiller du maréchal
Bokassa.
4 décembre 1976 : Proclamation de
lempire centrafricain lors du congrès
extraordinaire du MESAN (Mouvement pour
lévolution sociale de lAfrique
noire).
6 janvier 1977 : Lappartenance au
MESAN devient obligatoire.
4 décembre 1977 : Bokassa se fait sacrer
empereur sous le nom de Bokassa Ier. La liberté
d'expression est supprimée et les opposants sont
jugés par des tribunaux militaires et condamnés
à mort.
Janvier 1979 : Emeutes détudiants
réprimées dans le sang par larmée.
17 au 19 avril 1979 : Arrestations
et meurtres denfants. Une commission
denquête conclut à la participation
effective de Jean-Bedel Bokassa à ces massacres.
20 et 21 septembre 1979 : Coup
dEtat. David Dacko prend le pouvoir alors
que Jean-Bedel Bokassa est en Libye. La France
organise lopération « Barracuda" qui
aboutit au renversement de Bokassa. Le
rétablissement de la République centrafricaine
est proclamée.
26 septembre 1979 : Formation du nouveau
gouvernement confiée à M. Ayando.
29 octobre 1979 : Manifestation de lycéens
et étudiants.
3 novembre 1979 : Arrestation dAnge
Patassé, ancien Premier ministre de Jean-Bedel
Bokassa, chef de lopposition et leader du
Mouvement de libération du peuple centrafricain
(MLPC).
20 mars 1980 : Création par le président
David Dacko du parti unique, lUnion
démocratique africaine (UDC).
24 décembre 1980 : Condamnation à mort par
contumace de Jean-Bedel Bokassa.
1er février 1981 : Référendum sur le projet
de nouvelle Constitution. Adoption par une large
majorité. Instauration du multipartisme.
15 mars 1981 : Election présidentielle.
David Dacko est élu (50,23%) devant Ange
Patassé (38,11%).
3 avril 1981 : Simon Narcisse Bozanga est
nommé Premier ministre.
Mai à juillet 1981 : Grèves,
attentat à Bangui. Létat de siège est
décrété le 21 juillet 1981.
1er septembre 1981 : Le général André
Kolingba contraint le président David Dacko à
démissionner. La Constitution est suspendue, les
partis interdits. Le général André Kolingba
devient président du Comité militaire de
redressement national (CMRN).
3 mars 1982 : Tentative de coup
dEtat dAnge Félix Patassé.
21 septembre 1985 : Dissolution du CMRN.
Constitution dun nouveau gouvernement où
figurent plusieurs civils.
24 octobre 1986 : Retour de Jean-Bedel
Bokassa en République centrafricaine après un
exil en France et en Côte d'Ivoire. Il est
arrêté.
21 novembre 1986 : Référendum sur la
nouvelle Constitution qui prévoit
lélection du président pour six ans, la
création dune Assemblée et un parti
unique.
12 juin 1987 : Jean-Bedel Bokassa est
condamné à mort. Sa peine est commuée en
détention à perpétuité le 29 février 1988,
puis à dix ans de réclusion.
6 mars 1991 : La fonction de premier
ministre, suspendue depuis la Constitution de
1986, est réintroduite.
20 mars 1991 : Nomination dun
Premier ministre, Edouard Frank.
1er août 1992 : Jean-Claude Gonhugo, chef
de lAlliance pour la démocratie et le
progrès, est tué lors daffrontements avec
les forces de sécurité.
25 octobre 1992 : Elections présidentielle
et législatives.
29 octobre 1992 : La Cour suprême suspend
les élections générales.
17 janvier 1993 : Création dun Conseil
national politique provisoire de la République
(CNPPR).
1er août 1993 : Libération de Jean-Bedel
Bokassa, condamné à mort en juin 1987, peine
commuée en détention à perpétuité le 29
février 1988, puis à 10 ans de réclusion.
22 août 1993 : Premier tour des élections
présidentielle et législatives. Ange Félix
Patassé arrive en tête des suffrages (30 %),
André Kolingba est en quatrième position (13
%).
28 août 1993 : André Kolingba interrompt
le processus électoral en signant une ordonnance
modifiant la Cour suprême et le code électoral.
La France menace de suspendre sa coopération. Le
30 août 1993, ces ordonnances sont annulées.
19 septembre 1993 : Deuxième tour des
élections. Ange Félix Patassé (38 %) est élu
président de la République face à David Dacko
(21 %) et Abel Goumba (20 %).
24 octobre 1993 : Jean-Luc Mandaba est nommé
Premier ministre.
28 décembre 1994 : Une nouvelle Constitution
est approuvée par référendum avec 82 % de oui
avec une très faible participation.
11 avril 1995 : Démission de Jean-Luc
Mandaba. Gabriel Koyambounou est nommé Premier
ministre.
Avril à mai 1996 : Des soldats de
lethnie de lancien président André
Kolingba se mutinent et réclament le paiement de
leurs arriérés de salaires. Violents
affrontements entre les mutins et les troupes
fidèles aux gouvernement, suivis de pillages.
Mai 1996 : Grèves qui paralysent le pays. Les
fonctionnaires réclament le paiement de leurs
arriérés de salaires.
5 juin 1996 : Les participants à la
"Convention des forces vives de la
nation" signent un protocole daccord
ouvrant la voie à un gouvernement dunion
nationale.
6 juin 1996 : Jean-Paul Ngoupandé,
membre de lopposition, est nommé Premier
ministre.
18 juin 1996 : Lopposition refuse de
faire partie du gouvernement dunion
nationale en cours de constitution.
3 novembre 1996 : Décès de Jean-Bedel
Bokassa à Bangui.
Novembre 1996 à janvier 1997 : Nouvelles
mutineries des soldats et manifestations.
Larmée française est présente aux
côtés de la garde présidentielle.
30 janvier 1997 : Michel Gbezera-Bria
remplace Jean-Paul Ngoupandé au poste de Premier
ministre. Nomination dun nouveau
gouvernement qui inclut lopposition, avec
11 membres sur 26, contre 12 pour la majorité.
12 février 1997 : Une force interafricaine,
la Mission interafricaine de surveillance des
accords de Bangui (MISAB), remplace les
militaires français.
Juillet 1997 : Accords de cessez-le-feu
entre les mutins et la MISAB. Début d'une
"réunion de réconciliation".
1er septembre 1997 : Retour au gouvernement des
9 ministres de l'opposition, qui s'étaient
retirés le 5 mai.
26 février 1998 : Ouverture à Bangui de la
Conférence de réconciliation nationale.
4 mars 1998 : Adoption d'un pacte de
réconciliation nationale.
15 avril 1998 : La Mission des Nations
unies en République centrafricaine (MINURCA),
forte de 1350 hommes, remplace la MISAB.
22 novembre 1998 : Premier tour des élections
législatives. Le MLPC remporte 26 sièges sur
42.
19 septembre 1999 : Ange Félix Patassé est
réélu avec 51,6 % des voix.
15 février 2000 : Fin du mandat de la
MINURCA.
17 avril 2000 : Le Premier ministre
Anicet-Georges Dologuuélé procède à un
remaniement partiel du gouvernement.
28 mai 2001 : Une tentative de coup
dEtat échoue. Larmée et la garde
présidentielle traque les mutins. Massacre de
membres de lethnie yakoma de lancien
président André Kolingba, accusés dêtre
les instigateurs du coup dEtat.
Lundi 17 mars 2003 : Un coup d'état militaire a
été perpétré samedi par le général Bozizé
(ex-commandant des forces armées, déchu de son
titre en novembre 2001 après plusieurs
tentatives de coup d'état avortées), en
l'absence du président Félix-Ange Patassé en
visite à Niamey au Niger pour une réunion de
chefs d'état. François Bozizé s'est
autoproclamé président de la République et a
dissous l'Assemblée nationale. Le couvre-feu a
été instauré dans tout le pays. Dans un
communiqué il a appelé les fonctionnaires
civils et militaires à reprendre le travail.
L'armée française a évacué une quarantaine de
ressortissants français. Source :
Fil info France
Mercredi 26 mars 2003 : Le
président auto-proclamé, François Bozizé a
nommé Abel Goumba au poste de premier ministre.
Cet ex-médecin devenu député dirige le Front
Patriotique pour le Progrès. Il devrait former
son gouvernement dans les 48 heures. Source :
Fil info France
Mercredi 26 mars 2003 : Le
président auto-proclamé, François Bozizé a
nommé Abel Goumba au poste de premier ministre.
Cet ex-médecin devenu député dirige le Front
Patriotique pour le Progrès. Il devrait former
son gouvernement dans les 48 heures. Source :
Fil info France
Mardi 23 septembre 2003 : La plainte
déposée par l'ex-président Ange-Félix
Patassé à l'encontre de François Bozizé a
été classée sans suite, le Parquet de Bangui
s'en référant à la jurisprudence
constitutionnelle qui fait état que "tout
chef d'état en fonction ne peut être
poursuivi". Rappelons que l'ex-président
Ange-Félix Patassé, en exil au Togo, déchu à
la suite d'un coup d'état perpétré le 15 mars
dernier par le général François Bozizé, a
déposé plainte contre ce dernier pour crimes de
guerre auprès du parquet de Bangui. Le 27 août
dernier, des poursuites similaires et un mandat
d'arrêt international avaient été lancés
contre l'ex-président Patassé. Source :
Fil info France
Samedi 13 décembre 2003 : Le premier
ministre Abel Goumba, démis jeudi de ses
fonctions par le président auto-proclamé
François Bozizé à la suite du coup d'état du
15 mars 2003, a été nommé par ce dernier,
vice-président de la République. Source :
Fil info France
Mardi 9 mars 2004 : En exil
dans ce pays depuis le 1er mars après avoir
donné sa démission, le président haïtien,
Jean-Bertrand Aristide, a, une nouvelle fois
clamé, au cours de sa première apparition
publique à Bangui, "avoir été victime
d'un enlèvement politique" et estime
"qu'il est toujours le président
démocratiquement élu d'Haïti". Source :
Fil info France
Mardi 16 mars 2004 : Le
président autoproclamé François Bozizé a
célébré en grande pompe lundi le premier
anniversaire de son arrivée au pouvoir le 15
mars 2003 par un coup d'état qui a destitué le
président en place Ange-Félix Patassé, au
pouvoir depuis 1993, et qui était en visite
officielle à Niamey au Niger. Un défilé
militaire, qui a duré plus de 3 heures, avait
été organisé pour l'occasion. Les
délégations des ministères et des entreprises
publiques, dont les personnels avaient été
fermement invités à se joindre à la parade,
"sous peine de sanctions exemplaires"
ont également défilé. Une dizaine de partis
d'opposition sur les 40 enregistrés avait
boycotté les cérémonies.
Source : Fil info France
Mercredi 4 août 2004 : Le
Groupement des éditeurs de la presse privée
indépendante de Centrafrique (Geppic) a décidé
d'organiser un sit-in mercredi matin à Bangui
pour demander la libération du directeur du
quotidien indépendant "Le Citoyen" et
journaliste, Maka Gbossokotto, arrêté
puis écroué le 12 juillet 2004, poursuivi pour
"diffamation" et "injures
publiques" à la suite d'une plainte de
Jean-Serge Wafio, un proche du président
François Bozizé. ** La Ligue
Centrafricaine des droits de l'homme a accusé le
président autoproclamé François Bozizé
d'être "personnellement et directement
responsable" de nombreuses atteintes aux
droits de l'homme commises dans le pays depuis
son arrivée au pouvoir par un coup d'état en
mars 2003. Source : Fil info France
Lundi 6 décembre 2004 : Les
électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 6
décembre 2004 pour se prononcer par référendum
sur la nouvelle constitution, première phase du
retour du pays à la démocratie après le coup
d'Etat du général François Bozizé en mars
2003 autoproclamé président. Des élections
présidentielle et législatives sont ensuite
prévues les 30 janvier et 27 février 2005. Source :
Fil info France
Lundi 9 mai 2005 : Les
électeurs étaient appelés aux urnes dimanche
pour le second tour des élections
présidentielles qui voyaient l'affrontement
entre le Président sortant François Bozizé,
arrivé au pouvoir en mars 2003 par un coup
d'Etat qui avait destitué le Président
Félix-Ange Patassé, et l'ancien Premier
ministre Martin Ziguélé. Lors du premier tour
en mars 2005, François Bozizé avait obtenu 43 %
des voix. Source : Fil info France
Mercredi 25 mai 2005 : La
Commission électorale a validé mardi
l'élection de François Bozizé, arrivé au
pouvoir par un coup d'Etat en décembre 2003, qui
a renversé le président démocratiquement élu
Félix-Ange Patassé, avec 64,6 % des suffrages
exprimés contre 35,4 % à son adversaire, Martin
Ziguélé, dernier Premier ministre du président
Ange-Félix Patassé. Source :
Fil info France
Mardi 21 juin 2005 : Le Premier
ministre Elie Douté, nommé le 13 juin 2005 par
le président François Bozizé, a rendu public
dimanche à la radio nationale la composition de
son gouvernement qui comprend 27 membres. Source :
Fil info France
Vendredi 7 juillet 2006 : Le chef de
l'Etat, le général François Bozizé, arrivé
au pouvoir le 15 mars 2003 par un coup d'état
qui a déposé le président démocratiquement
élu, Félix-Ange Patassé depuis 1993, et élu le
8 mai 2005 avec 64,6 % des voix, a limogé,
mercredi 5 juillet 2006, le général de division
Antoine Gambi, chef d'état-major général des
Forces armées centrafricaines (FACA), en
fonction depuis 2002. Il lui est reproché de ne
pas avoir mené à bien "le processus de
pacification des régions nord où sévissent des
groupes armés". 11 membres des FACA avaient
été tués le 26 juin 2006 lors d'une attaque
attribuée à des rebelles tchadiens. Source :
Fil info France
Lundi 21 mai 2007 : Le
président François Bozizé a démis
de ses fonctions samedi 19 mai 2007 le ministre
d'Etat chargé de la Communication, Abdou Karim
Meckassoua, également en charge de la
Réconciliation nationale, la Culture civique et
démocratique et des Droits de l'Homme. Aucune
raison n'a été donnée pour expliquer ce
limogeage. Abdou Karim était considéré comme
un proche du général Bozizé, aux côtés
duquel il avait participé à la rébellion qui
lui a permis de renverser en 2003 son
prédécesseur Ange-Félix Patassé. Source :
Fil info France
Mardi 23 octobre 2007 : Le
président François Bozizé, a reconnu lundi 22
octobre 2007 dans une interview accordée à
l'hebdomadaire "Jeune Afrique"
"l'existence de bavures par les Forces
armées centrafricaines dans le nord de son pays
confronté depuis plusieurs mois à une
rébellion armée". Il a précisé qu'il a
"sévi avec rigueur : des militaires ont
été rétrogradés, cassés, sanctionnés ou
renvoyés dans leurs foyers". L'organisation
de défense des droits de l'homme, Human Rights
Watch avait dénoncé dans un rapport publié en
septembre 2007 et intitulé "Etat d'anarchie. Rébellions
et exactions contre la population civile" les
exactions commises par les Forces armées
centrafricaines dont la garde présidentielle
dans le nord du pays et accusé les forces
françaises présentes en Centrafrique de
"fermer les yeux" face aux bavures
commises par l'armée centrafricaine dans des
zones présumées favorables aux mouvements
rebelles en lutte contre le gouvernement de
Bangui. Source : Fil info France
Vendredi 4 juillet 2008 : L'ancien
vice-président de la République démocratique
du Congo (RDC), Jean-Pierre Bemba, 45 ans,
chef des anciens rebelles du Mouvement
de Libération du Congo (MLC), arrêté,
samedi 24 mai 2008, à Bruxelles en Belgique, à
la suite d'un mandat d'arrêt lancé le 16 mai et
tenu secret jusqu'alors à la demande de la
République centrafricaine (RCA), incapable de
mener les procédures judiciaires dans les graves
crimes commis sur son territoire, a été
transféré jeudi 3 juillet 2008 à La Haye où
il doit comparaître vendredi devant la Cour
pénale internationale (CPI). Il
est le quatrième prisonnier de la CPI et est
visé par 5 chefs d'accusation de crimes de
guerre et 3 de crimes contre l'humanité. Lire l'édition de Fil-info-France
du 26 mai 2008 Source :
Fil info France
Mercredi 15 octobre 2008 : Le
président François Bozizé, a
promulgué, mardi 14 octobre 2008, la loi
d'amnistie, adoptée par le parlement le 29
septembre 2008, qui prévoit une amnistie
"de toutes les infractions commises par les
éléments des forces de défense et de
sécurité, les autorités civiles et militaires
dans le cadre des opérations de maintien de
l'ordre et de la défense du territoire"
depuis le 15 mars 2003 lors du coup d'Etat
perpétré le 15 mars 2008 par le général
Bozizé et qui a renversé le président en
place, Félix Ange Patassé, au pouvoir depuis le
22 octobre 1993. "Les responsables et les
membres des groupes politico-militaires se
trouvant sur le territoire national ou en
exil" depuis cette date jusqu'à la
promulgation de la loi, sont également
concernés par cette amnistie. La loi exclut de
l'amnistie "les crimes de génocide, les
crimes contre l'humanité, les crimes de
guerre" ou tout crime "relevant de la
compétence de la Cour Pénale
Internationale" (CPI). Source :
Fil info France
Vendredi 31 octobre 2008 : La France a
effacé 25 milliards de FCFA (38 millions
d'euros) de dettes de la République
Centrafricaine, ce qui va lui permettre de
bénéficier du statut PPTE, initiative Pays
pauvres très endettés (PPTE). Source :
Fil info France
Mercredi 21 janvier 2009 : Le
président François Bozizé a
reconduit dans ses fonctions lundi 19 janvier
2009 le premier ministre Faustin-Archange
Touadéra, au lendemain de la dissolution de son
gouvernement en place depuis le 22 janvier 2008. Copyright
www.fil-info-france.com/
Lundi 10 août 2009 : Le
président François Bozizé a annoncé le
lancement, le jeudi 13 août 2009, à l'occasion
du 49e anniversaire de la République
centrafricaine, du programme de Désarmement
Démobilisation Réinsertion (DDR), visant à
mettre fin aux activités des groupes armés. Blogger,
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Mardi 16 mars 2010 : Le
président François Bozizé a annoncé lundi 15
mars 2010 lors d'un rassemblement de son parti,
le Kwa na Kwa (KNK), dans un
stade de la capitale Bangui, qu'il était
candidat à l'élection présidentielle prévue
le 25 avril 2010. François Bozizé est arrivé
au pouvoir le 15 mars 2003 à la suite d'un coup
d'Etat militaire qui a destitué le président
élu, Ange-Félix Patassé. Il a été élu
président en mai 2005 avec plus de 64 % des voix
au second tour face à l'ancien premier ministre
Martin Ziguélé. Blogger,
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Vendredi 30 avril 2010 : Le
président François Bozizé a annoncé jeudi 29
avril 2010 un nouveau report des élections
présidentielle et législatives, prévues le 16
mai 2010, sans fixer d'autre date. Ces élections
devaient initialement se tenir le 25 avril 2010.
La Commission électorale et une grande partie
des partis politiques, qui menaçaient de
boycotter le scrutin, avaient demandé ce report
suite à des problèmes de préparation du
scrutin. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
Samedi 31 juillet 2010 : Selon un
décret publié vendredi 30 juillet 2010 par le
président François Bozizé, les élections
présidentielle et législatives en Centrafrique
devraient avoir lieu le 23 janvier 2011. Le
président François Bozizé avait annoncé jeudi
29 avril 2010 un nouveau report des élections
présidentielle et législatives, prévues le 16
mai 2010, sans fixer d'autre date. Ces élections
devaient initialement se tenir le 25 avril 2010.
La Commission électorale et une grande partie
des partis politiques, qui menaçaient de
boycotter le scrutin, avaient demandé ce report
suite à des problèmes de préparation du
scrutin. L'Assemblée nationale avait adopté
lundi 10 mai 2010, par 95 voix pour, 6 contre et
une abstention, un projet de loi avancé par le
gouvernement et destiné à prolonger le mandat
des députés et celui du président de la
République François Bozizé qui arrivent à
terme le 11 juin 2010. Blogger,
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Mercredi 2 février 2011 :
Le président sortant François Bozizé réélu :
La Commission électorale indépendante
(CEI) a annoncé mardi 1er février 2011 les
résultats de l'élection présidentielle qui
s'est tenue le dimanche 23 janvier 2011 et qui
donne la victoire dès le premier tour au
président sortant, François Bozizé, avec près
de 66 % des suffrages. Blogger,
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Jeudi 17 février 2011 :
L'opposition boycotte le second tour des
élections législatives : Le Collectif
des forces du changement (CFC), coalition
regroupant les principaux partis d'opposition et
les anciennes rébellions, a annoncé qu'il avait
décidé de boycotter le second tour des
élections législatives, prévues pour le
dimanche 20 mars 2011, après le rejet, samedi 12
février 2011, par la Cour constitutionnelle de
tous ses recours en annulation de l'élection
présidentielle qui a donné la victoire au
président sortant, François Bozizé, arrivé au
pouvoir par un coup d'Etat en 2003 et élu en
2005, avec 64,37 % des voix. Blogger,
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Jeudi 17 mars 2011 :
François Bozizé investi pour un second mandat :
Le président sortant, le général
François Bozizé, réélu dès le premier tour
avec 66,08 % des voix lors de l'élection
présidentielle du 23 janvier 2011, a été
investi mardi 15 mars 2011 pour un nouveau mandat
de 5 ans, au cours d'une cérémonie à laquelle
ont participé plusieurs chefs d'Etat africains,
dont le président gabonais Ali Bongo Ondimba. Blogger,
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Vendredi 22 avril 2011 : Les
obsèques de l'ancien président Ange-Félix
Patassé ne se dérouleront pas avant 3 semaines
à 1 mois : Après la mort mardi 5 avril
2011 à Douala au Cameroun du premier président
démocratiquement élu, Ange-Félix Patassé, qui
a dirigé la RCA de 1999 jusqu'en 2003, date du
coup dEtat perpétré par son ancien chef
d'Etat-major des armées François Bozizé, les
autorités de Centrafrique ont annoncé que les
obsèques de l'ancien président ne pourront pas
se dérouler avant le 15 mai 2011, en raison de
la construction d'un mausolée sur un terrain,
près de Bangui, la capitale, dont le nettoyage
vient de commencer. Blogger,
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Fil-info-France
Lundi 23 mai 2011 :
Obsèques de l'ancien président Ange-Félix
Patassé : Plusieurs milliers de
personnes ont assisté samedi 21 mai 2011 à
Bangui la capitale aux obsèques de l'ancien
président Ange-Félix Patassé qui a dirigé la
République centrafricaine de 1999 jusqu'en 2003,
date du coup dEtat perpétré par son
ancien chef d'Etat-major des armées François
Bozizé, décédé le 5 avril 2011 à Doula au
Cameroun. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
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humains en République Centrafricaine
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entièrement consacré à la République
Centrafricaine : vie politique, sites
centrafricains, livres, langues, opinions, etc.
- http://www.socatel.intnet.cf/ Société
centrafricaine des télécommunications :
annuaire, indicatifs internationaux, conversion
devises, etc.
- Médias
- http://www.centrafrique-presse.com/
Bi-hebdomadaire
- Offre
n° 3
Monnaie
- Franc
CFA
- Partis politiques
- FODEM : Forum
Démocratique pour la modernité
- MIDI-PS :
Mouvement pour la Démocratie et l'Indépendance
- MLPC : Mouvement pour
la Libération du Peuple Centrafricain
- RDC : Rassemblement
démocratique centrafricain
- FPP : Front
patriotique pour le progrès
- CFD : Groupe
Consultatif des forces démocratiques
- PLD : Parti libéral
démocratique
- Population
- Centrafricains.
- 3,6 millions
d'habitants
- Baya (34%), Banda
(27%), Sara (10%), Mandjia (21%), Mboum (4%),
M'Baka (4%).
- Offre
n° 4
Principales
villes
- Bangui,
Bambari, Bouar, Berbérati
- Religion
- Croyances
indigènes (24 %), Protestants (25 %),
Catholiques romains (25%), Musulmans (15 %),
autres (11 %).
- Situation
géographique
- Etat
enclavé d'Afrique centrale.Frontières avec le
Cameroun, le Tchad, le Soudan, la RDC et le
Congo.
- Statut
- La
République Centrafricaine connaît les
élections démocratiques et le multipartisme à
partir de 1993, après 12 ans de régime à parti
unique du général Kolingba. Président :
Francois BOZIZE (depuis le 15 mars 2003 à la
suite d'un coup d'état qui a destitué le
président Ange-Félix Patassé élu depuis le 22
octobre 1993). Premier ministre : Nicolas
Tiangaye (depuis le 17 janvier 2013).
- Superficie
- 622 980 km²
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.(Voir aussi
espace Webcam)
Offre n° 5
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