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- Lundi 16 mars 2009 : En
visite au Niger, au titre de président
en exercice de l'Union Africaine, le chef
de l'Etat libyen, Mouammar Kadhafi,
s'est déclaré favorable "aux
amendements des Constitutions africaines.
Je suis pour la liberté de la volonté
populaire, il faut que le peuple
choisisse celui qui doit le gouverner,
même pour l'éternité". Il a
ajouté : "Ce que je voudrais dire,
c'est qu'annuler ou supprimer tout
article qui limite le mandat du
président, ce n'est pas
antidémocratique". Cette
déclaration intervient alors que les
partisans du président nigérien,
Mamadou Tandja, souhaitent que ce dernier
reste au pouvoir à la fin de son second
mandat qui expire fin 2009. Une
modification de la Constitution s'avère
nécessaire, mais la majorité de la
classe politique est opposée à toute
modification de la constitution. Mouammar
Kadhafi a également indiqué : "Si
le peuple est d'accord avec les
performances du programme d'un chef
d'Etat, il peut lui demander de continuer
un troisième, un quatrième et
cinquième mandat" et a demandé à
"l'opposition de ne pas s'y
opposer", soulignant : "A
supposer que la Constitution interdise à
un président de briguer plus de 2
mandats et que le peuple dise 'moi je
veux de ce président', est-il
raisonnable de respecter le texte écrit
sur un bout de papier et ne pas respecter
la volonté populaire ?".
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Samedi 28 mars 2009
: Le président français Nicolas Sarkozy a
terminé sa tournée de 2 jours en
Afrique par le Niger, vendredi 27 mars
2009. Il a été accueilli à Niamey la
capitale par le chef de l'Etat nigérien,
Mamadou Tandja.
Nicolas Sarkozy a déclaré au terme de
sa visite de quelques heures que la
France et le Niger "ont tourné la
page des malentendus et se sont engagés
dans un partenariat stratégique". 2
accords, l'un portant sur une aide
budgétaire de 5 millions d'euros et
l'autre de 11 millions d'euros pour
l'aménagement de la vallée de
Badaguichiri dans la région de Tahoua
(nord-est du pays) ont été signés.
Cette visite fait suite à l'accord
signé début janvier 2009, après de
longues négociations, entre le
gouvernement nigérien et le groupe
nucléaire français, Areva, qui va
investir 1,2 milliard d'euros au Niger
pour exploiter le deuxième gisement
d'uranium au monde, à Imouraren dans le
nord du pays. Le gouvernement de Niamey
détiendra un tiers de cette mine, qui
devrait produire 5 000 tonnes d'uranium
par an à partir de 2012. Une association
touareg et une ONG allemande de défense
des droits de l'homme ont annoncé
qu'elles entamaient des poursuites contre
le groupe français et un de ses
représentants locaux pour provocation à
la discrimination, à la haine et à la
violence raciales. Dans son interview à
des journaux locaux, le président
français a condamné sans appel les
agissements du Mouvement nigérien pour
la justice (MNJ), un groupe rebelle
touareg actif depuis début 2007 et qui
réclame un partage plus équitable des
ressources du nord du pays. Il a
déclaré : "Le Niger est une
démocratie vivante dans laquelle il
existe de nombreux canaux pour faire
valoir son point de vue ou ses
revendications sans avoir besoin de poser
des mines. Il n'est pas acceptable que
des individus ou des groupes prétendent
défendre par les armes des idées ou des
revendications qu'ils peuvent promouvoir
par la voie des urnes".
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Vendredi 3 avril 2009 : Habibou
Garba, directeur général de la radio et
télévision Dounia, et Idi Abdou, un
militant de l'organisation non
gouvernementale "Alternative espace
citoyens", ont été interpellés
jeudi 2 avril 2009 et placés en garde à
vue à Niamey la capitale. Ils sont
accusés de "diffamation" et
"propagation de fausses
nouvelles". Lors d'un débat
télévisé, consécutif à la visite du
président français, Nicolas Sarkozy,
Idi Abdou, avait qualifié ce
déplacement "d'escale technique et
de pillage des ressources du Niger".
Un accord d'exploitation des mines
d'uranium du Niger avait été signé en
janvier 2009 par le groupe nucléaire
français, Areva, et avait été l'un des
points importants de discussion entre le
président Nicolas Sarkozy, et son
homologue nigérien, Mamadou Tandja.
Areva doit investir 1,2 milliards d'euros
dans ce projet.
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Samedi 18 avril
2009 : Incarcéré depuis
le 26 juin 2008 dans une prison de Niamey
la capitale, l'ancien premier ministre
Hama Amadou sera jugé le 23 avril 2009
pour détournement de fonds publics par
une juridiction dexception. Il est
accusé d'avoir versé des pots-de-vin à
un fonds spécial destiné à la presse
nationale pour un montant qui
avoisinerait 100 millions de francs CFA
(152 000 euros). S'il est reconnu
coupable, il pourrait renoncer à se
présenter à l'élection présidentielle
de 2009 dont il est donné favori. Copyright
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Lundi 27 avril 2009
: L'ancien premier ministre,
Hama Amadou, a été mis en liberté
provisoire jeudi 23 avril 2009 par la
Haute cour de justice après une demande
formulée par ses avocats pour problème
de santé. Incarcéré depuis le 26 juin
2008 dans une prison de Niamey la
capitale, l'ancien premier ministre Hama
Amadou est jugé pour détournement de
fonds publics par une juridiction
dexception. Il est accusé d'avoir
versé des pots-de-vin à un fonds
spécial destiné à la presse nationale
pour un montant qui avoisinerait 100
millions de francs CFA (152 000 euros).
S'il est reconnu coupable, il pourrait
renoncer à se présenter à l'élection
présidentielle de 2009 dont il est
donné favori. Le président de la Haute
cour a indiqué qu'Hama Amadou ne devra
"adopter aucune attitude arrogante
et de provocation" et devra pouvoir
"répondre à tout moment" aux
convocations de la Haute cour en vue de
"l'examen de la question au
fond", et l'informer de tous ses
déplacements. Copyright
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Lundi 4 mai 2009 : Le
journaliste, Abdoulaye Tiémogo,
directeur de l'hebdomadaire satirique
nigérien "Le Canard
déchaîné", a été inculpé pour
"diffusion de fausses
nouvelles", alors qu'il rentrait du
Mali où il s'était réfugié pendant 9
mois, après la plainte déposée par le
président Mamadou Tandja,
suite à un article publié le 28 août
2008 dans son journal et intitulé
"Enfin, le véritable dauphin de
Tandja". Abdoulaye Tiémogo
commentait les propos du président
nigérien et arguait "qu'à défaut
de réviser la Constitution pour briguer
un troisième mandat, le président
comptait imposer son fils, attaché
commercial de l'ambassade du Niger à
Pékin, à sa succession". Lire l'interview
d'Abdoulay Tiémogo, "Pourquoi j'ai
fui le Niger", datée du 2 septembre
2008 faite au quotidien
"L'Observateur" et publiée par
le site lefaso.net
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Mardi 5 mai 2009 : Le
président Mamadou Tandja a
rencontré dimanche 3 mai 2009 à huis
clos à Agadez dans le nord du pays les
représentants de 3 mouvements de la
rébellion du Nord-Niger, en provenance
de Tripoli, en Libye, auxquels il a
promis une amnistie s'ils déposent les
armes. Le gouvernement libyen a oeuvré
pour l'ouverture du dialogue entre les
Touaregs et le gouvernement nigérien.
C'est la première fois qu'il se rendait
dans la zone de conflit depuis plus de 2
ans. Copyright www.fil-info-france.com/
Mardi 12 mai 2009 :
Près de 20 000 personnes
ont manifesté samedi 9 mai 2009 à
Niamey la capitale, à l'appel du Parti
nigérien pour la démocratie et le
socialisme, principal parti d'opposition,
pour protester contre le projet de
référendum constitutionnel du
président Mamadou Tandja, qui lui
permettrait de se maintenir au pouvoir.
Selon la constitution adoptée en 1999,
le chef de l'Etat ne peut pas briguer un
troisième mandat consécutif. Son
deuxième et dernier mandat expire le 22
décembre 2009. Copyright
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Jeudi 14 mai 2009 :
Le principal mouvement armé
touareg au Niger, MNJ (Mouvement des
Nigériens pour la Justice) a annoncé
mardi 12 mai 2009 qu'il ne déposerait
pas les armes avant la tenue de
négociations avec les autorités, qui
devront se "dérouler sur un terrain
neutre" sur ses "revendications
politiques". Le président Mamadou
Tandja avai rencontré dimanche 3 mai
2009 à huis clos à Agadez dans le nord
du pays les représentants de 3
mouvements de la rébellion du
Nord-Niger, en provenance de Tripoli, en
Libye, auxquels il a promis une amnistie
s'ils déposent les armes. Le
gouvernement libyen a oeuvré pour
l'ouverture du dialogue entre les
Touaregs et le gouvernement nigérien.
C'est la première fois qu'il se rendait
dans la zone de conflit depuis plus de 2
ans. Copyright
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Lundi 18 mai 2009 : Le
président Mamadou Tandja a procédé à
un remaniement ministériel et nommé un
de ses conseillers, Garba Lompo, ministre
de la justice. Il a également limogé
les ministres des Transports, du tourisme
et des Sports, qui s'étaient déclarés
opposés à une révision
constitutionnelle préconisée par le
président nigérien pour lui permettre
de briguer un troisième mandat, ce que
la Constitution lui refuse à l'heure
actuelle. Blogger, webmaster
: Conditions
d'utilisations ?
Mercredi 27 mai 2009 : Le
président Mamadou Tandja (71 ans), a
dissout mardi 26 mai 2009
lAssemblée nationale dans laquelle
son parti, le Mouvement national pour la
société de développement (MNSD),
détient 88 sièges sur les 113 que
compte le parlement. Cette décision n'a
pas été justifiée par le président.
L'Assemblée était en train d'examiner
une lettre reçue du président Mamadou
Tandja portant sur son projet de
référendum constitutionnel visant à
supprimer la limitation à 2 mandats
fixés par la Constitution, ce qui lui
permettrait de rester au pouvoir au-delà
de son dernier mandat qui expire à la
fin de l'année 2009. Ce projet a été
rejeté lundi 25 mai par la Cour
Constitutionnelle pour
inconstitutionnalité.
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: Conditions
d'utilisations ?
Lundi 8 juin 2009 : Le
Front pour la défense de la démocratie
(FDD) a finalement renoncé à manifester
dimanche 7 juin 2009 contre
l'organisation le 4 août 2009 d'un
référendum visant à permettre au
président sortant Mamadou Tandja à
briguer un troisième mandat à la tête
du Niger. Le FDD a aussitôt annoncé
qu'il portait plainte pour excès de
pouvoir devant la Cour constitutionnelle,
qui a 5 jours pour se prononcer. Le
second mandat du président Mamadou
Tandja, au pouvoir depuis 1999, s'achève
le 22 décembre 2009, la Constitution en
vigueur lui interdit de briguer un
troisième mandat. Le président Tandja a
justifié le projet par la nécessité de
répondre positivement à l'appel de la
population lui demandant de parachever
les grands chantiers en cours, dont le
site d'extraction d'uranium d'Imouraren
confié au groupe nucléaire français
Areva. Le 25 mai 2009, la Cour
constitutionnelle avait émis un avis
négatif en déclarant le projet
contraire à la Constitution. Le
lendemain, le chef de l'Etat ordonnait la
dissolution du Parlement, institution
seule à même de le poursuivre pour
haute trahison. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations ?
Samedi 13 juin 2009 : La
Cour constitutionnelle a annulé vendredi
12 juin 2009 le projet de référendum
prévu le 4 août 2009 visant à amender
la Constitution afin de permettre au
président Mamadou Tandja de se
présenter pour un troisième mandat.
Selon la Constitution en vigueur, le
mandat du président est limité à 2
mandats successifs. Ce projet de
référendum a été rejeté lundi 25 mai
par la Cour Constitutionnelle pour
inconstitutionnalité. Le président
Mamadou Tandja avait alors dissout
l'Assemblée nationale et signé un
décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations ?
Lundi 15 juin 2009 : A
l'appel du Front de défense de la
démocratie (FDD), une coalition de
partis, de syndicats et d'ONG, des
dizaines de milliers de personnes sont
descendues dans les rues de Niamey la
capitale dimanche 14 juin 2009 pour
protester contre le projet de
référendum décrété par le président
Mamadou Tandja qui vise à supprimer la
limitation de mandat afin qu'il puisse se
rester indéfiniment au pouvoir. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations ?
Samedi 20 juin 2009 : La
Commission électorale nationale
indépendante (CENI) a annoncé vendredi
19 juin 2009 que suite à l'annulation
vendredi 12 juin 2009 par la Cour
constitutionnelle du référendum prévu
le 4 août 2009 visant à amender la
Constitution afin de permettre au
président Mamadou Tandja de
se présenter pour un troisième mandat,
des élections législatives anticipées
se dérouleront le jeudi 20 août 2009.
Ce projet de référendum a été rejeté
lundi 25 mai par la Cour
Constitutionnelle pour
inconstitutionnalité. Le président
Mamadou Tandja avait alors dissout
l'Assemblée nationale et signé un
décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum.
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: Conditions
d'utilisations ?
Samedi 27 juin 2009 : La
Convention démocratique et sociale
(CDS), qui soutenait jusqu'alors le
président Mamadou Tandja, a annoncé
jeudi 25 juin 2009 dans un communiqué
qu'elle retirait ses 8 ministres
présents dans le gouvernement en signe
de protestation contre la décision du
président de convoquer un référendum
constitutionnel qui lui permettrait de se
représenter en supprimant la limitation
de mandat. La Cour constitutionnelle
avait annulé le 12 juin 2009
l'organisation d'un tel référendum.
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: Conditions
d'utilisations ?
Mardi 30 juin 2009 : Le
président Mamadou Tandja a procédé
lundi 29 juin 2009 à un remaniement de
son gouvernement et limogé les 7 juges
de la Cour constitutionnelle qui
s'opposaient à son projet de
référendum constitutionnel prévu pour
le 4 août 2009. Mamadou Tandja s'est
octroyé les pleins pouvoirs vendredi 26
juin 2009, après le refus de la Cour
constitutionnelle d'avaliser son projet
de consultation sur une nouvelle
Constitution devant lui permettre de
rester au pouvoir. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations ?
Vendredi 3 juillet 2009 : Le
président Mamadou Tandja a nommé
mercredi 1er juillet 2009 les nouveaux
membres de la Cour constitutionnelle
qu'il avait dissoute lundi 29 juin 2009,
les 7 juges de la Cour constitutionnelle
s'opposant à son projet de référendum
constitutionnel prévu pour le 4 août
2009. Mamadou Tandja s'est octroyé les
pleins pouvoirs vendredi 26 juin 2009,
après le refus de la Cour
constitutionnelle d'avaliser son projet
de consultation sur une nouvelle
Constitution devant lui permettre de
rester au pouvoir. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations ?
Lundi 6 juillet 2009 : Des
dizaines de milliers de personnes ont
manifesté dimanche 5 juillet 2009 à
l'appel du FDD, Front de défense de la
démocratie, qui regroupe plusieurs
partis politiques, syndicats et ONG, pour
dénoncer la tenue du référendum prévu
le 4 août 2009 visant à amender la
Constitution afin de permettre au
président Mamadou Tandja de se
présenter pour un troisième mandat. La
Cour constitutionnelle avait annulé le
décret présidentiel le 12 juin 2009
après l'avoir rejeté le lundi 25 mai
2009 pour inconstitutionnalité. Le
président Mamadou Tandja avait alors
dissout l'Assemblée nationale et signé
un décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum.
Blogger, webmaster
: Conditions
d'utilisations ?
Lundi 13 juillet 2009 :
BELGIQUE : La Commission
européenne a
bloqué une aide au budget de l'Etat du
Niger, dont le montant n'a pas été
communiqué, pour protester contre
"les dérives du président Mamadou
Tandja qui cherche par tous les moyens à
rester au pouvoir au-delà du terme de
son mandat fin décembre" 2009. Le
Fonds européen de développement (FED)
devrait verser, d'ici 2013, 470 millions
d'euros d'aide au Niger. La ministre des
Affaires étrangères du Niger, Aïchatou
Mindaoudou, a déclaré que cette
suspension est "injuste et
prématurée", ajoutant que "le
président n'est pas un président
illégitime, il exerce un mandat légal
et démocratique que lui a confié par le
peuple à l'issue d'élections libres et
démocratiques. (...) Je trouve cette
réaction de l'Union européenne dommage
car elle prive les populations
nigériennes d'appui essentiels pour
l'amélioration de leurs conditions de
vie. Peut-on traiter notre président
comme quelqu'un qui est arrivé au
pouvoir par un coup d'Etat ou par des
moyens illégitimes ?". Selon
certains hauts responsables nigériens,
cette aide serait comprise entre 8 et 10
millions d'euros. Rappelons que le
président Mamadou Tandja s'est octroyé
les pleins pouvoirs vendredi 26 juin
2009, après le refus de la Cour
constitutionnelle d'avaliser son projet
de consultation sur une nouvelle
Constitution devant lui permettre de
rester au pouvoir. Il a également
convoqué un référendum pour le 4 août
2009 visant à amender la Constitution
afin de lui permettre de se présenter
pour un troisième mandat. La Cour
constitutionnelle avait annulé le
décret présidentiel le 12 juin 2009
après l'avoir rejeté le lundi 25 mai
2009 pour inconstitutionnalité. Le
président Mamadou Tandja avait alors
dissout l'Assemblée nationale et signé
un décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations ?
Samedi 25 juillet 2009 : Le
tribunal de Niamey la capitale a
décrété illégale jeudi 23 juillet
2009 la grève générale de 48 heures
qui devait débuter mercredi 22 juillet
2009, à l'appel de 7 centrales
syndicales pour protester contre la
décision du président Mamadou Tandja d'organiser
un référendum, prévu le 4 août 2009
visant à amender la Constitution afin de
permettre au président Mamadou Tandja de
se présenter pour un troisième mandat.
Ce projet de référendum a été rejeté
lundi 25 mai par la Cour
Constitutionnelle pour
inconstitutionnalité. Le président
Mamadou Tandja avait alors dissout
l'Assemblée nationale et signé un
décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum. Mamadou Tandja
s'est octroyé les pleins pouvoirs
vendredi 26 juin 2009, après le refus de
la Cour constitutionnelle d'avaliser son
projet de consultation sur une nouvelle
Constitution devant lui permettre de
rester au pouvoir. Mamadou Tandja, dont
le mandat expire le 22 décembre 2009, a
indiqué mercredi 22 juillet 2009 à la
Télévision d'Etat qu'il ne céderait
pas à la pression de la communauté
internationale, qui menace de sanctions
s'il organise "son"
référendum, déclarant : "On veut
que je recule parce que l'opinion
internationale veut que je le fasse, mais
je ne le ferai jamais !". Il a
ajouté que le Niger devait rester un
Etat "indépendant et
souverain". Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations ?
Vendredi 31 juillet 2009 : 7
centrales syndicales ont lancé jeudi 30
juillet 2009 un appel à la grève
générale de 48 heures pour dénoncer
"un coup d'Etat
constitutionnel" suite à la la
décision du président Mamadou Tandja
d'organiser un référendum le 20 août
2009 qui lui permettrait de se maintenir
au pouvoir. Selon la constitution
adoptée en 1999, le chef de l'Etat ne
peut pas briguer un troisième mandat
consécutif. Son deuxième et dernier
mandat expire le 22 décembre 2009. La
Cour constitutionnelle a annulé vendredi
12 juin 2009 le projet de référendum
prévu le 4 août 2009 visant à amender
la Constitution afin de permettre au
président Mamadou Tandja de se
présenter pour un troisième mandat.
Selon la Constitution en vigueur, le
mandat du président est limité à 2
mandats successifs. Ce projet de
référendum a été rejeté lundi 25 mai
par la Cour Constitutionnelle pour
inconstitutionnalité. Le président
Mamadou Tandja avait alors dissout
l'Assemblée nationale et signé un
décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum pour le 20 août
2009. Mamadou Tandja s'est octroyé les
pleins pouvoirs vendredi 26 juin 2009,
après le refus de la Cour
constitutionnelle d'avaliser son projet
de consultation sur une nouvelle
Constitution. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations Fil-info-France ?
** Un mandat d'arrêt
international a été lancé jeudi 30
juillet 2009 par la justice nigérienne
à l'encontre de l'ancien premier
ministre, Hama Amadou, pour
"enrichissement illicite".
Selon une enquête, l'ancien premier
ministre possède 15 000 actions dans la
banque Ecobank, qui s'élèvent à plus
de 500 millions de Francs CFA (1 euro =
655,957 FCFA), souscrite par Hama Amadou
au nom de son fils aîné. Il était
pressenti pour devenir le successeur du
président Mamadou Tandja mais ce dernier
l'avait évincé du pouvoir après 7 ans
à son poste suite à une mise en
accusation dans une affaire de
détournement de fonds. Hama Amadou avait
été mis en liberté provisoire jeudi 23
avril 2009 par la Haute cour de justice
après une demande formulée par ses
avocats pour problème de santé.
Incarcéré depuis le 26 juin 2008 dans
une prison de Niamey la capitale,
l'ancien premier ministre Hama Amadou
était jugé pour détournement de fonds
publics par une juridiction
dexception, accusé d'avoir versé
des pots-de-vin à un fonds spécial
destiné à la presse nationale pour un
montant qui avoisinerait 100 millions de
francs CFA (152 000 euros).
Blogger, webmaster
: Conditions
d'utilisations Fil-info-France ?
Samedi 1er août 2009 : Les
maires des communes de Téra, Bankilaré
et Gorouol dans l'est du Niger ont été
destitués et remplacés, les 3 élus
ayant refusé dorganiser le
référendum en vue de ladoption
dune nouvelle Constitution
nécessaire à Mamadou Tandja pour
briguer un troisième mandat. Aucune
raison officielle n'a été donnée pour
expliquer ces destitutions. Tous les
conseillers municipaux auraient
également démissionné à
lexception dAbdoulaye Sabbou,
Hadaoula Siddo et Abouda Mohamed qui ont
été nommés respectivement maires des
communes de Téra, Bankilaré et Gorouol.
Blogger, webmaster
: Conditions
d'utilisations Fil-info-France ?
Mardi 4 août 2009 : Les
électeurs sont appelés aux urnes mardi
4 août 2009 pour se prononcer par
référendum sur une réforme
constitutionnelle qui supprime la
limitation de mandats du président, qui
selon la constitution adoptée en 1999,
ne peut pas briguer un troisième mandat
consécutif, permettant ainsi au
président Mamadou Tandja de se maintenir
indéfiniment au pouvoir. Le second
mandat du président doit expirer le 22
décembre 2009. Le 25 mai 2009, la Cour
constitutionnelle avait émis un avis
négatif en déclarant le projet
contraire à la Constitution. Le
lendemain, le chef de l'Etat ordonnait la
dissolution du Parlement, institution
seule à même de le poursuivre pour
haute trahison et signé un décret le 5
juin 2009 autorisant la tenue d'un
référendum. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations Fil-info-France ? **
Suite à une
plainte déposée par l'un des fils du
président Mamadou Tandja, Hadia Doulaye
Tandja et Ibrahim Hamidou, un journaliste
proche de la famille présidentielle, les
directeurs des 8 principaux hebdomadaires
privés du Niger ont été interpellés
et interrogés par la police dimanche 2
août 2009 après avoir mis en cause un
fils du président Mamadou Tandja dans
une affaire de corruption. Il aurait
reçu en 2008 un pot de vin de 5 millions
de dollars versé par "Niger uranium
Venture SA" après l'obtention d'un
permis de recherche d'uranium dans le
nord du Niger. Les organisations
nigériennes de défense de la liberté
d'expression ont dénoncé ces
arrestations indiquant que "toutes
ces manoeuvres visent à empêcher la
presse indépendante de poursuivre des
investigations sur les conditions
d'octroi des permis miniers au Niger et
à donner la parole aux opposants au
référendum".
Blogger, webmaster
: Conditions
d'utilisations Fil-info-France ?
Mercredi 5 août 2009 : Le
référendum convoqué mardi 4 août 2009
par le président Mamadou Tandja, portant
sur une révision constitutionnelle qui
supprime la limitation de mandats du
président, qui selon la constitution
adoptée en 1999, ne peut pas briguer un
troisième mandat consécutif, permettant
ainsi au président Mamadou Tandja de se
maintenir indéfiniment au pouvoir, a
été suivi de heurts dans l'ouest du
pays entre les opposants au président
nigérien et les forces de l'ordre qui
ont procédé à de nombreuses
arrestations. Les résultats devraient
être connus d'ici à 5 jours.
Blogger, webmaster
: Conditions
d'utilisations Fil-info-France ?
Samedi 8 août 2009 : La
Commission électorale a annoncé
vendredi 7 août 2009 que le
"oui" avait l'emporté avec
92,50 % des voix, et une participation de
plus de 68 %, lors du référendum qui
s'est tenu mardi 4 août 2009, portant
sur une révision constitutionnelle
visant à supprimer la limitation à 2
mandats fixés par la Constitution, ce
qui permettra au président Mamadou
Tandja, au pouvoir depuis 1999, et dont
le mandat s'achève le 22 décembre 2009,
de se représenter indéfiniment.
L'opposition avait dénoncé
l'organisation de ce référendum
estimant qu'il s'agissait d'un "coup
d'Etat" du président.
Lire les archives
2009 du Niger Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations Fil-info-France ?
Mercredi 19 août 2009 : Le
président Mamadou Tandja a signé mardi
18 août 2009 un décret promulguant la
nouvelle constitution adoptée par
référendum en date du 4 août 2009 avec
92,5 % des voix, qui supprime la
limitation de mandats du président, lui
permettant ainsi de conserver
indéfiniment le pouvoir. L'opposition
avait dénoncé l'organisation de ce
référendum estimant qu'il s'agissait
d'un "coup d'Etat" du
président. Cette promulgation a
entraîné de fait la démission du
premier ministre Seïni Oumarou et de son
gouvernement. Blogger,
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Vendredi 11 septembre 2009 :
Le principal opposant au
président Mamadou Tandja, Mahamadou
Issoufou, a indiqué jeudi 10 septembre
2009, alors qu'il s'apprêtait à prendre
l'avion pour Cotonou au Mali, que la
police lui a retiré son passeport et lui
a signifié quil figurait sur une
liste de 124 anciens parlementaires
désormais interdits de quitter le pays. Blogger,
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Lundi 5 octobre 2009 : Le
président Mamadou Tandja a signé
vendredi 2 octobre 2009 un décret
portant nomination d'Ali Badjo Gamatié,
ancien vice-gouverneur de la Banque Centrale des
Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) et
ancien ministre de l'Economie et des
Finances du Niger, au poste de Premier
ministre, en remplacement de Seïni
Oumarou qui a démissionné pour pouvoir
présenter son parti le Mouvement
National pour la Société de
Développement (MNSD, principal parti au
pouvoir) dont il est le président, aux
élections législatives du 20 octobre
2009. Blogger, webmaster
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Mercredi 21 octobre 2009 : 6
millions d'électeurs étaient appelés
aux urnes mardi 20 octobre 2009 pour
élire les 113 députés du nouveau
Parlement que le président Mamadou
Tandja avait dissous en mai 2009 afin de
faire passer son projet de référendum
constitutionnel visant à supprimer la
limitation à 2 mandats fixés par la
Constitution. L'opposition a boycotté ce
scrutin. Le référendum, organisé le 4
août 2009 malgré son annulation par la
Cour constitutionnelle le 12 juin 2009,
avait permis au chef de l'Etat, au
pouvoir depuis 10 ans, d'obtenir une
prolongation de 3 ans de son mandat
jusqu'en 2012. Le 25 mai 2009, la Cour
constitutionnelle avait émis un avis
négatif en déclarant le projet
contraire à la Constitution. Le
lendemain, le chef de l'Etat ordonnait la
dissolution du Parlement, institution
seule à même de le poursuivre pour
haute trahison. Le 26 juin 2009, Mamadou
Tandja s'octroyait les pleins pouvoirs.
L'opposition avait alors organisé des
manifestations et des grèves dénonçant
"un coup d'Etat
constitutionnel". La Communauté
économique des Etats d'Afrique de
l'Ouest (CEDEAO) a immédiatement
suspendu le Niger de son organisation
suite à la décision de Mamadou Tandja
de maintenir ces élections. Le
président en exercice de la CEDEAO, le
Nigérian Umaru Yar'Adua a
estimé que "la tenue de ces
élections s'est faite au mépris total
des chefs d'Etat et de gouvernement de la
CEDEAO et témoigne de la volonté
manifeste des autorités nigériennes de
poursuivre dans la voie de l'illégalité
constitutionnelle qui prévaut
actuellement" ajoutant : "Cela
signifie également le rejet des appels
au dialogue pour résoudre la crise
constitutionnelle dans laquelle s'enfonce
le pays".
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Samedi 24 octobre 2009 : Selon
des résultats encore partiels publiés
vendredi 23 octobre 2009, le Mouvement
national pour la société de
développement (MNDS, au pouvoir), a
obtenu la majorité absolue lors des
élections législatives qui se sont
déroulées mardi 20 octobre 2009,
boycottées par l'opposition. Le
président Mamadou Tandja
avait signé mardi 18 août 2009 un
décret promulguant la nouvelle
constitution adoptée par référendum en
date du 4 août 2009 avec 92,5 % des
voix, qui supprime la limitation de
mandats du président, lui permettant
ainsi de conserver indéfiniment le
pouvoir. L'opposition avait dénoncé
l'organisation de ce référendum
estimant qu'il s'agissait d'un "coup
d'Etat" du président. Blogger,
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Mercredi 25 novembre 2009 : Une
manifestation rassemblant plusieurs
milliers de personnes s'est déroulée
dimanche 22 novembre 2009 à Niamey la
capitale pour réclamer le départ du
président Mamadou Tandja, dont le mandat
prend officiellement fin le 22 décembre
2009, à l'appel de la Coordination des
forces démocratiques pour la république
(CFDR), une coalition de partis
politiques, d'organisations de défense
des droits de l'Homme et de syndicats
dénonçant le "coup d'Etat" du
président nigérien. Or, la Constitution
en vigueur lui interdisant de briguer un
troisième mandat, Mamadou Tandja avait
convoqué pour le 4 août 2009 un
référendum visant à supprimer la
limitation à 2 mandats fixés par la
Constitution, ce qui lui permettrait de
rester au pouvoir jusqu'en 2012, malgré
l'annulation de la consultation par la
Cour constitutionnelle. Le président
Mamadou Tandja avait alors dissout
l'Assemblée nationale et signé un
décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum. Des
manifestations ont été organisées dans
tout le pays pour dénoncer "un coup
d'Etat constitutionnel". La
Commission électorale avait annoncé
vendredi 7 août 2009 que le
"oui" avait l'emporté avec
92,50 % des voix, et une participation de
plus de 68 %. Blogger,
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Mardi 15 décembre 2009 : Une
importante manifestation, regroupant
plusieurs dizaines de milliers de
personnes, s'est déroulée dimanche 13
décembre 2009 à Niamey la capitale, à
l'appel de la Coordination des forces
démocratiques pour la république
(CFDR), une coalition de partis
politiques, d'organisations de défense
des droits de l'Homme et de syndicats,
qui dénonce le coup d'Etat du président
Mamadou Tandja, qui a obtenu par un
référendum controversé de rester au
pouvoir jusqu'en 2012. Les manifestants
ont exhorté le président nigérien à
quitter le pouvoir le 22 décembre 2009,
date légale de la fin de son mandat. Blogger,
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Jeudi 24 décembre 2009 : La CEDEAO, Communauté
Economique des Etats de l'Afrique de
l'Ouest, a annoncé mardi
22 décembre 2009 qu'elle "prend
acte du fait que le 22 décembre 2009
sanctionne la fin légale du mandat"
du président nigérien, Mamadou Tandja.
La Cour constitutionnelle a annulé
vendredi 12 juin 2009 le projet de
référendum prévu le 4 août 2009
visant à amender la Constitution afin de
permettre au président Mamadou Tandja de
se présenter pour un troisième mandat.
Selon la Constitution en vigueur, le
mandat du président est limité à 2
mandats successifs. Ce projet de
référendum a été rejeté lundi 25 mai
par la Cour Constitutionnelle pour
inconstitutionnalité. Le président
Mamadou Tandja avait alors dissout
l'Assemblée nationale et signé un
décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum. L'opposition
avait alors vivement protesté en
organisant d'importantes manifestations,
dénonçant "un coup d'Etat
constitutionnel". La Commission
électorale avait annoncé vendredi 7
août 2009 que le "oui" avait
l'emporté avec 92,50 % des voix, et une
participation de plus de 68 %. En
réponse à la déclaration de la CEDEAO,
le président a déclaré, mercredi 23
décembre 2009 qu'il "suspendait sa
participation au dialogue politique"
de sortie de crise politique où la
CEDEAO est médiatrice. Ajoutant :
"On ne peut pas continuer à
discuter si la CEDEAO dit qu'elle ne
reconnaît plus le président Mamadou
Tandja", estimant que la Communauté
économique des Etats dAfrique de
lOuest "torpille les
discussions qui se sont ouvertes lundi 21
décembre 2009 à Niamey la capitale. La
Communauté économique des Etats
d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) avait
suspendu le Niger de son organisation
suite à la décision de Mamadou Tandja
de maintenir les élections législatives
du 20 octobre 2009, boycottées par
l'opposition. Le président en exercice
de la CEDEAO, le Nigérian Umaru Musa
Yar'Adua avait estimé que "la tenue
de ces élections s'est faite au mépris
total des chefs d'Etat et de gouvernement
de la CEDEAO et témoigne de la volonté
manifeste des autorités nigériennes de
poursuivre dans la voie de l'illégalité
constitutionnelle qui prévaut
actuellement" ajoutant : "Cela
signifie également le rejet des appels
au dialogue pour résoudre la crise
constitutionnelle dans laquelle s'enfonce
le pays".
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Jeudi 24 décembre 2009 :
ETATS-UNIS/NIGER : Le Département d'Etat a
réitéré mercredi 23 décembre 2009 sa
position concernant la crise politique au
Niger, indiquant que "le président
doit renoncer pacifiquement au pouvoir et
permettre qu'aient lieu des élections
transparentes" et menacé le Niger
de sanctions portant sur l'interdiction
de "certains membres du gouvernement
du Niger, ainsi que d'autres personnes
qui soutiennent la politique et les
actions empêchant le retour du Niger à
un pouvoir constitutionnel" de se
rendre aux Etats-Unis. Le Département
d'Etat a également précisé que l'aide
non humanitaire au Niger, qui s'élevait
en 2009 à 27 millions de dollars, allait
être suspendue. Blogger,
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Samedi 26 décembre 2009 : Abdulsalami
Abubakar, médiateur de la CEDEAO,
Communauté Economique des Etats de
l'Afrique de l'Ouest, a annoncé jeudi 24
décembre 2009 que les négociations
débutées lundi 21 décembre 2009 entre
le pouvoir et l'opposition, qui conteste
la réélection du président Mamadou
Tandja, qui a amendé la Constitution
pour pouvoir briguer un troisième
mandat, a été suspendu jusqu'au mardi
29 décembre 2009 en raison des fêtes de
Noël. Il a invité les parties "à
faire des propositions écrites de sortie
de crise". Blogger,
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