SOMMAIRE

FRANCE,
mardi 5 juin 2007, premier ministre, francois, fillon, critique, gauche, campagne, elections, legislatives, comparution, 8 musulmans, djihadistes, tribunal, correctionnel, paris, association, malfaiteurs, entreprise, terroriste, financement, terrorisme, participation, attentats, casablanca, maroc, jean louis, brugiere, juge antiterroriste, proche, nicolas, sarkozy, prix, du conseil des institutions juives de france, crif, sos reporters, accusation, francois, rebsamen, maire, socialiste, dijon, violation, article 19, declaration, universelle, droits, homme, article 11-1, charte des droits fondamentaux de l'union europeenne, liberte, opinion, liberte, expression, francois, rebsamen, censure sans precedent, internet, moteur, recherche, google, 300 pages supprimees



Mardi 5 juin 2007 :

Le Premier ministre, François Fillon, a vivement critiqué la "gauche" lors d'un meeting de campagne tenu à Lyon (Région Rhône-Alpes) pour les élections législatives. François Fillon a déclaré : "Il faut rompre, pour rejeter l'imposture morale de cette gauche qui joue à colin-maillard avec l'histoire". Ajoutant : "La gauche des grandes âmes sèches, qui pratique la justice sociale comme on offre un caramel mou du bout des doigts, à la sortie de la kermesse dominicale, celle qui n'ose plus aimer la France, celle qui considère comme déplacé d'être fier, celle qui prêche le statu quo quand tous les Français disent : 'nous voulons autre chose, nous avons faim de réussir'". Accusant : "Pourquoi cette agressivité quand (Bernard) Kouchner, (Jean-Pierre) Jouyet, (Martin) Hirsch, ces hommes qui n'ont pas renié leurs valeurs de gauche, ont choisi de nous rejoindre ?" ; "Le parti socialiste hurle au débauchage et à la traîtrise, parce qu'il sait, au fond de lui-même, que cette ouverture révèle sa vacuité intellectuelle et son conservatisme politique" ; "La gauche s'énerve parce qu'elle sent que nous sommes en train de bousculer les frontières idéologiques et partisanes derrière lesquelles elle prospérait au chaud" ; "La vérité, c'est que nos socialistes, à l'inverse de tous leurs homologues européens, n'ont toujours pas pris la mesure de leur époque et des audaces qu'elle exige. Idéologues, ils ne s'intéressent pas à l'intelligence des électeurs, ils craignent leur clairvoyance, ils méprisent la sincérité de leur engagement". Concluant : "Et ce sont ces mêmes socialistes qui viennent réclamer les clés de l'Assemblée" ; "Croyez-moi, il y a mieux à faire de ces clés".

TERRORISME : 8 Musulmans djihadistes ont comparu lundi 4 juin 2007 devant le Tribunal correctionnel de Paris pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et financement du terrorisme" pour leur participation présumée à une cellule de soutien aux terroristes impliqués dans les attentats de Casablanca au Maroc. Les 8 hommes, un Turc et 7 Marocains ou Français d'origine marocaine sont soupçonnés d'appartenir à une cellule du Groupe islamiste combattant marocain (GICM) implantée en France, en banlieue. Mustapha Baouchi, 32 ans, Marocain, est considéré par la justice comme le chef de la cellule française. Il a été emprisonné en avril 2004, soupçonné par le juge d'instruction antiterroriste Jean-Louis Bruguière, d'avoir entretenu des liens privilégiés avec Nourredine Nafia, alias Abou Mouad, l'émir du GICM arrêté au Maroc. Le 16 mai 2003, 5 attentats suicides simultanés ont eu lieu dans le centre de Casablanca, capitale économique du Maroc, contre un hôtel international, un ancien cimetière juif, le Cercle de l'alliance israélite, 2 restaurants, dont "La Casa de Espana" qui appartient à un Juif marocain. Les attentats ont fait 45 morts parmi lesquels 12 kamikazes, et des dizaines de blessés. La justice française s'est déclarée compétente, 3 Français figurant parmi les victimes des attentats de Casablanca perpétrés par 15 kamikazes. NDLR. Jean-Louis Bruguière, juge d'instruction antiterroriste qui est un proche du nouveau Président de la République française Nicolas Sarkozy, a reçu en février 2005 le Prix du Conseil représentatif des institutions juives de France CRIF pour l'efficacité de son action dans la lutte contre le terrorisme.

LIBERTE D'EXPRESSION : L'ONG française SOS-reporters.org accuse François Rebsamen, maire socialiste de Dijon, région Bourgogne, de "violation" de l'Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948 et de l'Article 11-1 de la "Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne" (Nice) du 7 décembre 2000, articles qui prévoient que "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit". François Rebsamen est accusé par SOS-reporters.org d'une censure politique sans précédent du moteur de recherche Google.fr. Les résultats censurés sur plus de 300 pages sont : "Francois Rebsamen + police" ou médias ou presse ou photos ou citations ou liberté d'expression ou internet ou censure ou blog ou 2007 ou 2008 ou Dijon ou municipales ou ville Dijon ou fil info ou communauté ou grand-orient de France". En bas de page apparaît toujours cet avertissement de censure : "En réponse à une demande légale adressée à Google, nous avons retiré 1 résultat(s) de cette page". François Rebsamen est également visé par une plainte à Paris pour "provocation à la discrimination, à la haine et à la violence raciale".

POLITIQUE :
Plus de liens d'actualité



 
 
 

Retour France


Retour sommaire France juin 2007

Retour France sommaire 2007


Retour sommaire




QUOTIDIEN
INDEPENDANT

( ! ) Liens en bleu
CONDITIONS D'UTILISATION



> Retour à l'index ?
> Fil info par email ?
> Fil info sur votre site ?
> Rechercher sur ce site ?

HIER PASSIF ?
AUJOURD'HUI ACTIF !
DEVENEZ CORRESPONDANT
de PRESSE (bénévole)
Vous disposerez
librement
de votre page Internet...
Voir conditions
d'obtention
de la carte :
ICI

- Publicité -




 
Rappel : ces deux signes «» placés en bas de chaque page vous permettent de naviguer d'un numéro à un autre.