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De notre correspondant à Talence (34), Patrick DUPART


AFFSSAPS, son service vigilance ne connaît pas le Borate de sodium (mort au rat), bizarre pour une agence de sécurité sanitaire.... - 14 juin 2012


Juste un rappel de ce produit toxique mis dans le vaccin Gardasil:En tant qu'insecticide, on le mélange avec du sucre-glace à parties égales, sous forme de poudre blanche vendue en pharmacie, afin d'attirer blattes (ou cafards) dont le système digestif sera progressivement détruit. Dans le cas des rongeurs (rats, souris,...), ajouter une partie de plâtre au mélange, qui sera toujours placé dans un endroit chaud et sombre.

L'utilisation en tant qu'insecticide est également faite avec les charpentes en bois : dilué dans l'eau, le borax pénètre dans le bois et permet un traitement économique contre les insectes xylophages.

Le borax est reconnu comme un bon détergent et antiseptique.Ce produit toxique se trouve dans le vaccin Gardasil, vaccin que vous parents vous faites injecter dans le corps de vos enfants. TV KA SOS'

Toxicité, écotoxicité, précautions à prendre: il s'agit d'un agent chimique nocif, à manipuler avec des protections.

Le borax peut entraîner nausées, irritations cutanées, essoufflements, maux de tête et de graves lésions des organes en cas d'empoisonnement sévère10.

Depuis le 6 novembre 2008 les sels de bore sont classés toxiques pour la reproduction (catégorie 2) par la réglementation européenne et, comme tels, sont étiquetés toxiques (logo à tête de mort) avec les mentions suivantes qui doivent être clairement marquées sur les emballages :

R60 - Peut altérer la fertilité
R61 - Risque pendant la grossesse d’effets néfastes pour l’enfant
S45 - En cas d’accident ou de malaise, consulter immédiatement un médecin (si possible lui montrer l’étiquette)
S53 - Éviter l’exposition - se procurer des instructions spéciales avant utilisation
Le documentaire GasLand (2010) de l'américain Josh Fox montre que l'industrie américaine de l'extraction du gaz de schiste reconnaît l'usage du borax (sel de bore), dilué dans un mélange d'eau et de sable pour l'injection dans les puits d'extraction du gaz de schiste comme liquide d'hydrofracturation. Le borax est employé comme agent de réticulation, mais cette technique visant à libérer le gaz contenu a aussi pour conséquences de polluer les nappes phréatiques avec le liquide de fracturation. Pour un puits d'extraction, il faut entre 10 à 30000 mètres cubes d'eau, la moitié environ est récupérée après fracturation.

Norme sanitaire de potabilité : en France, le contenu en bore ne doit pas dépasser 1 milligramme par litre11.
Vaccination HPV: le borate de sodium sur la sellette... avec 5 ans de retard!Cinq ans après que le Gardasil ait commencé à être commercialisé dans les pays d'Europe occidentale, voilà que le Journal officiel français publie la question du député Rudy Salles au sujet de la présence du borate de sodium (=borax) dans le vaccin Gardasil.

Cette question (n°127937), publiée le 7 février dernier au journal officiel, est formulée ainsi:

"M. Rudy Salles appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la présence de sels de bore dans le vaccin Gardasil. Depuis le 6 novembre 2008, les sels de bore sont classés par la réglementation européenne comme toxiques. Les emballages des produits en comprenant doivent d'ailleurs porter à cet effet un logo à tête de mort avec les deux indications suivantes : R60 (peut altérer la fertilité) et R61 (risque pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant). Malgré ces contre-indications, le conservateur contenu dans le vaccin Gardasil, vivement recommandé par nos autorités sanitaires pour la protection contre l'infection du col de l'utérus par les papillomavirus, est le borax (borate de sodium). Un tel conservateur dans les vaccins contre les infections du col de l'utérus est d'autant plus inquiétant au regard des études cliniques préalables à la mise sur le marché. Cinq femmes tombées enceintes 30 jours après leur vaccination ont eu des bébés anormaux comme le rapporte l'avis du CTV et du CSHPF relatif à la vaccination contre les papillomavirus humains. M. Rudy Salles tient ici à rappeler à M. le Ministre le cas du Distilbène, médicament donné aux femmes enceintes pour éviter les fausses couches, qui ont été atteintes par la suite de cancers des voies génitales. Ces anomalies sont d'ailleurs toujours observables chez les enfants des femmes traitées ainsi que chez leur propres enfants et donc à la troisième génération. Il souhaite donc l'interroger sur les actions qu'il compte mettre en oeuvre pour éviter qu'avec le vaccin Gardasil un scénario comparable à celui du Distilbène ne se produise.

Gageons (hélas!) que ce Ministre de la santé qui est personnellement intervenu pour accélérer le remboursement du Gardasil, va plus que probablement utiliser l'argument erroné selon lequel il s'agirait de "doses infimes", basé sur l'adage périmé que "la dose fait le poison".

Quant à cette question parlementaire, soulignons tout de même sa nécessité et son bien-fondé même si ce genre d'interpellation intervient cependant très tardivement. Car lorsqu'on compare la pertinence de cette question avec les affirmations gratuites désespérantes d'une députée, pédiatre qui plus est (Edwige Antier pour ne pas la citer), on ne peut qu'apprécier doublement le bon sens de certaines questions, fussent-elles très tardives !

Il nous est en effet revenu de bonne source les réactions de Mme Antier à la présentation du biologiste Michel Georget, le 31 janvier dernier, à l'Assemblée nationale, concernant cette vaccination anti-HPV.

Lorsque Michel Georget a évoqué le précédent du Distilbène, Mme Antier a prétendu "qu'il mélangeait tout car le Distilbène n'était pas un vaccin", après avoir rétorqué au sujet d'autres risques concrets également évoqués, que Michel Georget voulait "jouer à leur faire peur". Mais elle a aussi déclaré, incrédule, "Vous n'allez pas me dire qu'on a pu faire une telle étude! ", là où Michel Georget en détenait pourtant toutes les références et les preuves nécessaires!

Mais voilà, c'est pourtant cette même pédiatre, apparemment davantage adepte de la politique de l'autruche que du salutaire principe de précaution, qui dispose d'un site internet avec la mention, un brin arrogante, "La pédiatre vous répond".

Oui certes, la pédiatre vous répondra peut-être . Mais la vraie question est : sait-elle vraiment ce qu'elle dit ou à tout le moins, l'ampleur de ce qu'elle ignore, ne serait-ce qu'en ce qui concerne le champ des vaccins ?


Patrick DUPART


 
 
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