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Notre
adresse email pour ce service est : communiquedepresse@fil-info-france.com
- La
FIDH renoue mardi 22
avril avec sa tradition
d'avant premières
Cinéma. (17 avril
2003)
-
- Le
principe : vous
présenter en avant
première un film que
nous avons aimé, qui,
engagé ou non, traite
d'un sujet qui rejoint
nos préoccupations.
-
- Mardi
22 avril à 20 heures
-
- la
FIDH vous présentera en
avant première
-
- LE
CHEMIN DE LA LIBERTE de
Phillip Noyce -
Australie, 2003
-
- au
Pathé Wepler
- 140,
boulevard de Clichy
- 75018
Paris
- Métro
Place de Clichy
-
- Tarif
: 8 euros entièrement
reversés à la FIDH pour
soutenir ses activités
de promotion et de
défense des droits de
l'Homme à travers le
monde.
-
- Tiré
d'une histoire vraie,
"Le chemin de la
liberté" est un
film bouleversant qui
retrace le périple
de trois petites
filles aborigènes qui
parcourent à pied plus
de 2000 kilomètres à
travers l'Australie pour
rejoindre leur
foyer. Arrachés à leurs
familles dans le
cadre d'un
programme gouvernemental
(nous sommes en 1931),
les enfants aborigènes
sont préparés par des
institutions
spécialisées à une
nouvelle vie dans la
société blanche, où
ils serviront comme
domestiques ou ouvriers
agricoles. Molly, 14 ans,
sa cousine Gracie, 10
ans, et sa jeune soeur
Daisy, 8 ans, se
retrouvent ainsi au camp
de Moore River, dont
elles décident de
s'enfuir. À leurs
trousses, Davis Moodoo,
le pisteur qui surveille
le camp, bientôt aidé
par la police et toute la
presse
Le sujet de
ce film plein d'humanité
rejoint l'une des
préoccupations
essentielles de la FIDH,
le droit des populations
autochtones, et cette
histoire est étrangement
d'actualité et
universelle.
"L'odyssée de ces
trois petites m'a
profondément touché,
explique le
réalisateur,. J'ai
souvent eu les larmes aux
yeux. La force de leur
exploit les rendait
exceptionnelles, mais ce
qui ma surtout
attiré, cest
luniversalité du
propos. En début de
lecture, jétais
très conscient du fait
que les petites étaient
aborigènes, mais au fur
et à mesure, elles ont
cessé dêtre
noires ou blanches, elles
sont devenues simplement
des enfants en détresse,
impuissantes, qui luttent
désespérément.
Cétait une
histoire poignante,
presque une fable, et
pourtant cest une
histoire vraie."
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