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De notre correspondant à Paris (75), Stéphane LOISON


9 mars 2011

Pour l’Amour de Gérard Philipe
Texte, mise en scène, scénographie et musiques Pierre Notte
A partir du 28 février 2011
Théâtre La Bruyère
5, rue La Bruyère
75009 Paris
Avec Bernard Alane, Romain Apelbaum
Sophie Arthur, Emma de Caunes, Raphael

D’abord, d’entrée, une seule fausse note dans cette magnifique production : le titre. C’est important un titre quand on écrit une si belle partition. Sonate au clair de Lune, Alborada del gracioso, la jeune fille aux cheveux de lin, La jeune fille et la mort, Dans les jardins de l’Alhambra… C’est mieux qu’opus 5, 6,7…

Pour cet opus, le titre, à l’instar de cette époustouflante production méritait plus d’inventivité, car sur la scène du Théâtre La Bruyère il y en a ! On passe de l’Allegro vivace, à l’Andante et à l’Allegro furioso avec maestria. Et quel quintette sur le plateau! Les premiers violons que sont les deux femmes Sophie Arthur et Emma de Caunes nous emportent dans un vertige de sonorités verbales époustouflantes. Et que dire des altos et violoncelles que sont Bernard Alane, Romain Apelbaum et Raphael qui apportent l’énergie « sostenuto » nécessaire à cette pièce échevelée où le verbe est à la hauteur de la grande roue de la vie.

La musique des mots que met en onde Pierre Notte est une des plus inventive, d’une profonde d’humanité, que l’on peut entendre en ce moment à Paris. Y’a du Chostakovitch dans ce quintette; Comme chez cet immense compositeur, la complainte de Pierre Notte paraît légère, même amusante, mais le drame est toujours sous-jacent ; La grimace cache l’épouvantable ; Ici, l’optimisme en l’homme pointe quand même son doigt et le verre sur une table en Formica de la cuisine des années soixante se transforme en verre de cristal de Bohème qui nous fait entendre une symphonie fantastique qui envahit la voûte stellaire du coté de la Grande Ourse.

Pour l’Amour de Gérard Philipe : une seule note : sept étoiles !



Stéphane Loison


 

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