SOMMAIRE
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Mercredi
29 octobre 2008 N° 2116/23512

FRANCE : CHRONIQUE JUDICIAIRE : Le leader noir Kémi Seba (photo), Président du MDI Mouvement des Damnés de l’Impérialisme, fondateur de l'ex-Tribu Ka dissoute, récemment converti à l'Islam, qui était assigné en référé (urgence), le mercredi 15 octobre 2008, par 2 associations juives, devant le Tribunal de Grande Instance TGI de Paris, a vu les 2 parties demanderesses déboutées le lundi 27 octobre 2008. Le juge des référés, Louis-Marie Raingeard, a renvoyé vers le juge du fond l'Union des étudiants juifs de France, UEJF, et l'association "J'accuse" présidée par Mark Knobel, chercheur au CRIF, Conseil représentatif des Institutions juives de France, qui demandaient le retrait d'une "vidéo d'une rare violence" intitulée "nuits de l'anti-impérialisme". Le procureur de la République de Paris, ministère public, avait demandé "sans réserve" la condamnation du site de Kémi Seba. Mais Louis-Marie Raingeard a rappelé que si la "critique du sionisme et de l'Etat d'Israël" était "licite", "un propos implicitement dirigé contre les juifs" est "illicite", précisant que le "juge de l'évidence" ne peut déterminer si la "vidéo litigieuse fait ou non allusion aux juifs de France et non aux seuls sionistes". "Le juge des référés n'a pas le pouvoir de qualifier de manifestement illicite un discours et des images qui ne pourraient être reconnues antisémites que par l'interprétation d'une collection d'indices", a jugé Louis-Marie Raingeard. Les demandeurs qui réclamaient 2 000 euros à Kémi Seba, dénonçaient une vidéo se référant à la nuit de cristal " Kristallnacht " qui visa les Juifs les 9 et 10 novembre 1938 dans l'Allemagne nazie où 7 500 magasins furent détruits, 267 synagogues incendiées et 91 juifs tués. "Aussi invraisemblable que cela puisse paraître", a déclaré en observateur le Secrétaire général l'Organisation civique SOS-Reporters.org, Pascal Mourot, le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme BNVCA présidé par Sammy Ghozlan, n'avait pas réagi à la diffusion de la vidéo annonçant le "premier jour de la mort du sionisme", alors que dans un communiqué paru le 26 septembre 2008 sur le site SOS-antisemitisme.org dirigé par Sammy Ghozlan, celui-ci déclarait que "la substitution du 'Sionisme' au 'Judaisme' et la confusion grossière entre 'juif et sioniste' ne dupent plus personne". Dans l'édition de Fil-info-France datée du vendredi 17 octobre 2008, la rédaction de Fil-info-France indiquait avoir constaté que, si la page "la banlieue se hezbollah-ise" sur laquelle la vidéo se trouvait, avait été modifiée en "Page Not Found", elle était réapparue sur une autre page du site du MDI à la demande de Kémi Seba, lequel précisait dans un communiqué joint : "La vérité, même vulgaire, reste la vérité, et n’a pas à s’excuser face au mensonge, au vol, au viol, au colonialisme, quand bien même ces derniers demeurent enrobés de velours. Voilà pourquoi je me ferai un plaisir d’aller défendre le message de fond de cette vidéo et de l’article incriminés, face à des gens qui n’aiment pas entendre la vérité…" Kémi Seba, leader charismatique de la lutte "anti-impérialiste et anti-sioniste", converti à l'Islam, qui a rendu un hommage au mouvement Hezbollah chiite libanais dirigé par Hassan Nasrallah, compte désormais plusieurs millions de résultats sur le Web ( Internet ). Kémi Seba, marié et père de famille, qui a d'autres rendez-vous judiciaires proches, a été plusieurs fois condamné à de la prison ferme et à une interdiction complète de ses droits civiques pour avoir diffusé en août 2006 des propos jugés "antisémites" sur son site internet et avoir reconstitué, selon les juges, la "Tribu Ka" interdite par décret présidentiel du 28 juillet 2006 à la demande du Ministre de l'Intérieur de l'époque Nicolas Sarkozy. NDLR. Kemi Seba reste le seul leader politique français à avoir été emprisonné au 21ème siècle pour ses idées et ses convictions.



CITATION DU JOUR :
"La bavure de police n'est pas la violence répondant à la violence, mais une violence volontaire, un usage disproportionné de la force, un meurtre, un viol, des coups et blessures". Pascal Mourot, secrétaire général de SOS-Reporters.org, Organisation de défense de la Liberté d'expression et d'Opinion à l'occasion du lancement le lundi 27 octobre 2008 du site internet Police-bavures.org". Le saviez-vous ? Les citations de Pascal Mourot, chroniqueur judiciaire, sont censurées dans les moteurs de recherche en France, pays des Droits de l'Homme ! Et pourquoi cette censure ?

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Source à citer : www.fil-info-france.com/



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